Evelien Frijters, 3218090 TK 4 29 – 5 – 2009 French adverbial puis between temporal structure and discourse structure 1. Introduction Dans cet article, on examine le connecteur français ‘puis’ et de quel rôle il joue entre les différentes phrases. A travers, on veut regarder de quelle manière le connecteur temporelle ‘puis’ réagit aux relations du discours. Notamment ‘puis’ est analysé quand ce connecteur est utilisé pour lier deux phrases aux passé simple. Encore, ‘puis’ est analysé en utilisant le SDRT. 2. Le champ de l’étude C’est très difficile de donner un seule traduction du mot français ‘puis’, parce qu’il n’est pas utilisé toujours la même façon aux autres langues. 2.1. Syntagme de ‘puis’ Les écrivains posent que ‘puis’ est plus un adverbe de phrase qu’un déterminant temporal. Cela est confirmé par le fait qu’on ne peut pas utiliser ‘puis’ dans une construction clivée. ‘Puis’ se porte dans la catégorie d’adverbes conjonctifs, parce que ces adverbes doivent suivre après une phrase / une contexte précèdent. De plus, on ne peut pas utiliser ‘puis’ d’une réponse à une question oui/non. 2.2. Sémantique ‘Puis’ est surtout utilisé en français pour indiquer une succession temporelle. 2.3. Corpus et délimitation Les exemples qui se sont données dans cet article, viennent des textes écrites de la littérature française. Ils sont conjugués au passé simple ou à l’imparfait et, bien-sûr, ils contiennent le mot ‘puis’. Parce que les écrivains ont seulement examiné les phrases au passé simple, ‘puis’ a toujours une valeur temporelle. 3. Observations préliminaires Donc ‘puis’ relie deux segments de discours d’une manière temporelle. Mais si on va voir ‘puis’ dans une structure de discours, c’est plus difficile d’indiquer son rôle. Les écrivains donnent trois hypothèses : 1) L’adverbe introduit un référent temporel qui localise l’évent. Ce référent temporel a lieu après un autre référent temporel. 2) L’adverbe introduit dès que le début une relation temporelle de succession entre les deux évents et un référent temporel. 3) L’adverbe est un marquer des relations de discours et cette relation (narration) suggère une succession temporelle de deux évents. Parce que ‘puis’ n’est pas capable d’introduire un référent temporel, la première hypothèse est déjà éliminé. Donc ‘puis’ n’est pas un adverbe de temps ‘normal’, parce qu’ils peuvent introduire un référent temporel. A l’hypothèse deux, ‘puis’ est seulement un marqueur temporel. Cet hypothèse est éliminé par laisser voir que ‘puis’ devient inutile si la succession temporelle est déjà claire en utilisant d’autres indications linguistiques. Il peut donc est supprimé, mais en contraire, il est aussi possible qu’il est ajouté sans que la phrase change sémantiquement. Dans autres cas, il est complètement faux d’ajouter ‘puis’, par rapport aux relations de discours. Ces caractéristiques sont tous pas compatibles d’adverbes de temps ‘normal’, ce que montre encore une fois que ‘puis’ n’est pas un adverbe de temps régulière. Donc l’interprétation de ‘puis’ comme seulement un adverbe de temps est éliminé et les écrivains vont examiner quel rôle joue ‘puis’ dans la relation de discours, en utilisant le SDRT. 4. Framework: SDRT 4.1. SDRS Le SDRS fait usage des relations de discours comme narration, élaboration, arrière-plan, continuation, résultat, contraste et explication. 4.2. Les relations de discours Dans l’étude, on fait seulement usage d’exemples de narration, résultat, élaboration et contraste. Narration : si deux évents ont lié par narration, c’est-à-dire qu’ils les suivent, ils prennent parti de la même histoire. Évents liés par narration doivent se succéder, sans avoir un trou temporel. De plus, les éléments de narration doivent avoir le même topique. En rapport avec narration on trouve occasion. Occasion est que un évent mène, naturellement, à un autre évent de succession. Par exemple : Jan frappa à la porte. Jan entra la pièce Résultat: Une relation de résultat entre deux évents, c’est-à-dire que l’évent deux est un résultat d’évent un. Ça donne une relation temporelle très clair : évent deux est toujours après évent un. L’adversaire du résultat est la relation d’explication. Cette relation fait exactement la contraire : par exemple : Max felt. John pushed him (Max tomba. John le poussa.) Élaboration: par exemple [L’été de cette année-là vit plusieurs changements dans la vie de nos héros.]S1[François épousa Adèle.]S2[Jean-Louis partit pour le Brésil]S3[et Paul s’acheta une maison.]S4 La première phrase est élaborée par la deuxième et la troisième phrase. La deuxième et la troisième phrase font ensemble un parti de la première phrase. Entre les deux, il a une relation de continuation. Continuation est une relation de discours ou deux évents sont égaux. Contraste : Contrast est une relation structurelle de deux évents qui se sont opposés et elle peut être introduire par un mot, comme ‘mais’. 5. Puis et les relations de discours compatibles L’hypothèse à la littérature est que ‘puis’ est un marqueur de narration. 5.1. Puis et Narration avec Occasion Les exemples données contiennent tous un action que est subi par le même sujet. Il paraît que les phrases successifs comme celles, ont souvent besoin d’un adverbe pour améliorer la continuation de la phrase, comme ‘puis’. En plus, les adverbes de temps comme ‘un peu plus tard’ n’est pas si fluide que ‘puis’, ce qui accentue encore l’aspect non-temporal de ‘puis’. Le SDRT a prédit que ‘puis’ serait inutile pour marquer une bonne structure temporelle à la structure de narration. Mais il paraît qu’on a besoin d’un mot comme ‘puis’ dans la phrase, si elle ne peut pas perdre son continuation. 5.2. Puis et Narration sans Occasion C’est plus difficile d’examiner ce cas, parce que si il n’y a pas d’occasion, selon le SDRT, il n’y a pas toujours une autre relation de discours. Si on supprime ‘puis’ de ces phrases, la phrase reste correcte. 5.3. Puis et les effets sémantiques de Narration Narration n’est pas simplement une succession temporelle et c’est pourquoi on doit aussi étudier les sujets comme ‘common topic’ et ‘spatio-temporal cohesion constraint’. Puis et topique : En général, les phrases qui se sont relié ont le même sujet. Mais prend l’exemple suivant : Anna s’endormit. Il se mit à pleuvoir. Cette phrase est bizarre, mais vue d’un façon sémantiquement, pas faux. Si on ajoute ‘puis il se mit à pleuvoir’ , la phrase change. Sans un contexte donné, la phrase est vraiment bizarre. Un autre exemple concernant la topique : Anna s’endormit. Puis elle se mit à ronfler. Cette phrase est mieux, du fait que le sujet de la seconde phrase est changé. Cela prouve que ‘puis’ est en effet un marqueur rhétorique de narration, parce qu’il marque l’intention du narrateur en relier deux évents dans la même histoire. Puis et le ‘no-significant-gap constraint’: Les effets temporelles de narration font impossible qu’entre évent 1 et évent 2, il y a un trou temporel. Une manière pour examiner l’impossibilité d’un ‘spatiotemporal gap’, est d’ajouter un troisième évent. Par exemple : Anna s’endormit. Il se mit à pleuvoir. * Elle venait juste de se réveiller. Cette succession est impossible, parce que pendant la pluie, Anna ne peut pas être réveillé et être dormi en même templs. Si on ajoute puis il se mit à pleuvoir. La nuit venait juste de tomber, il est possible, parce que la venu de nuit n’a pas aucun relation de la pluie ou Anna. Pour finir les écrivains ont étudié les exemples ou la succession temporelle disparaît, quand ‘puis’ est supprimé. 5.4. Puis et Contraste Les exemple ont tous le même sujet, donc les phrases n’ont pas une succession temporelle. Il paraît que ‘puis’ n’est pas inutile dans ces exemples, parce que par ‘puis’, il y a une succession temporelle. Même que si ‘puis’ est remplacé par ‘mais’, nous perdons la succession. Aussi aux exemples qui sont parallèles, on voit les mêmes résultats. Après les écrivains donne un exemple d’évents qui ne sont pas analogues . Dans ces exemples il est permis de supprimer ‘puis’, parce que la structure narrative reste. Il est clair qu’on doit faire plus recherches concernant ce sujet.