Histoire économique Introduction C’est au XVIe siècle que la science économique se développe. On voit apparaître des ouvrages de réflexions économiques (ex : Jean Bodin : la monnaie 1596). Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que l’historien va analyser les faits grâce à l’économie. Les fondateurs de l’économie : fr : Quesnay (physiocrate) (1774) et Adam Smith (1790). La rupture entre l’histoire et l’économie va venir des économistes grâce à Ricardo (libéral). On va donc assister à des réflexions économiques pures qui donneront naissance à de nouvelles théories. Karl Marx (1883) : Il élabore une théorie ou les conflits politiques et les histoires sont reliés. Cette version a été longtemps utilisée pour expliquer la Révolution française. Cette vision est trop limitative et théorique. Pour les historiens, l’économie va devenir un sujet d’étude de premier plan grâce à un courant historique appeler école des annales. On considère que l’économie est un élément fondamental de la vie sociale. Avant, les historiens s’attachaient à l’histoire événementielle. Mais désormais on va s’intéresser à l’économie et à l’histoire des mentalités. Cette école a pu changer d’objet d’étude grâce à des nouveaux documents. Après 1945 un nouveau courant apparaît aux USA : clinométrie. C’est une nouvelle approche historique qui se dégage des approximations des historiens et qui utilise des données économiques. Il faut donc des données chiffrées ce qui ne permet d’étudier que les périodes récentes. Aujourd’hui on dit qu’il faut combiner l’histoire et l’approche mathématiques. Les quatre grandes périodes : - l’antiquité : 30 siècle avant JC à 476 après JC - Le moyen age : 176-1492 - Temps moderne : 1492-1789 - Epoque contemporaine : 1789 à nos jours Partie 1 : La France prè-industrielle - - Les quatre dynasties royales qui se sont succédé en France sont Les Mérovingiens : 481-751 : Les Mérovingiens sont les descendants de Méroc, le grand-père de Clovis ; Ils étaient très conquérants. Au fur et à mesure c’est le maire du palais qui prend le pouvoir : Charles Martel. Les carolingiens 751-987 (carolingien : Charles Martel) Les Capétiens : 987 – XVI Les Valois et les Bourbons Section 1 : L’économie Franques §1 : Le cadre géopolitique A°) La population 1°) L’époque mérovingienne Durant cette période, la Gaulle se dépeuple. Ce dépeuplement est dû aux vagues d’invasions qui font des ravages comme celle des vandales, des Visigoths ou des Huns. Mais au fur et à mesure, une fusion s’opère entre les populations barbares et les populations locales. 1 Ce dépeuplement est aussi dû aux épidémies comme la peste, qui fera des ravages au VI ou la lèpre. Au VII la population commence à augmenter grâce au retour de là paix et d’une meilleure économie. 2°) L’époque carolingienne Il y a beaucoup d’espace vide, la population se concentre à certains endroits. Il y a une expansion démographique due à la diminution des épidémies et des famines. On peut aussi noter que l’église véhicule son modèle du mariage qui a pour but la procréation. Il y a une très faible densité de population : 10 Hab. /km2 dans les zones incultes et 30 Hab. /Km2 dans les zones cultivables. À partir du IX siècle, les invasions reprennent ; cette fois ce sont les scandinaves : les Vikings notamment. À la différence des précédentes invasions, il n’y a pas de fusion avec la population locale. Les invasions et les guerres civiles créent un climat de peur ce qui n’est pas propice à l’augmentation de la population. B°) L’espace 1°) L’organisation politique Il n’y a pas d’unité territoriale car à chaque fois qu’un roi décède les territoires sont coupés en nombre de parties égales au nombre de fils. Ces partages ne sont pas arbitraires, ils sont géographiquement cohérents. Le royaume est plus idéologique que concret. Les Carolingiens vont essayer d’unifier les territoires. Ce sera chose faite par Charlemagne en l’an 800 avec la restauration de l’empire. 2°) Les Manses. Ce sont les biens des paysans. On y trouve la demeure des paysans avec de la vigne, des près et des bois. C’est beaucoup plus modeste que dans la réserve. Parfois il y a des droits d’usage de type communautaire qui permette aux paysans d’utiliser les terres communautaires qui n’appartiennent pas à d’autres paysans. Ces droits permettent d’assurer leur survie. Il y a deux types de manses : - Manses dit « ingénvilles » : vient du mot ingénue (désigne la personne née de parent libre). Ce sont les manses concéder à des personnes complètement libres - Manses dit serviles : concéder à des gens asservis. En Gaulle les manses ingenvilles sont les plus nombreuses. Les manses ingenuilles sont plus grands et les services qui sont du au maître sont saisonnier. Les manses serviles sont plus petites et les services du sont beaucoup plus lourds. À ces terres sont lier certaines obligations. Les tenanciers doivent payer des redevances au maître. Ces redevances correspondent au prix de la « location » de la terre, au prix des droits d’usage et au montant des anciens impôts. Le montant de ces redevances est fixe et elles sont payées aussi en nature (pas d’argent). En nature c’est-à-dire que les redevances vont prendre la forma d’un prélèvement sur la production agricole, viticole, produit artisanaux et sur les bêtes. Ces redevances pèsent assez lourd sur les épaules des paysans. Les paysans sont également tenus de rendre certain service au maître. Ces services s’agissent de travaux manuels ou sous forme de transport de biens ou de denrée. Tous ces services sont réalisés de manière gratuite. 2 Les manses sont à la fois des unités d’exploitation de la terre mais ce sont aussi des unités fiscales. Ils servent de socles pour déterminer tout ce qui est dû au maître. Elles ont subsisté jusqu’au XII. A partir de la, les manses laissent place à d’autres formes de tenures. C°) L’administration de la villa. 1°) Domaines royaux et ecclésiastiques Il y a une gestion directe ou par l’intermédiaire de régisseurs. Il y a une organisation un peu plus complexe. Dans les domaines royaux, chaque domaine est gouverné par un maire. Elles sont regroupées et forme une circonscription les fiscus. À la tête de chaque fiscus il y a un administrateur. Il administre au nom du roi et dispose donc de pouvoir assez étendu. Les très grandes abbayes laisse la gestion de leurs domaines à un maire. C’est un clerc qui chapote plusieurs domaines. Ce sont ensuite plusieurs moines qui vont contrôler l’ensemble. 2°) La villa une économie autarcique On pensait avant que la villa fonctionnât renfermer sur elle-même de manière autonome, mais ont c’est aperçu que ce n’était pas le cas car il y a toujours des services de transport qui sont mentionner. Ce sont les services de charroi. Les distances parcourues sont en moyenne de 80 à 100 kilomètres. Les grands propriétaires avaient de nombreux domaines, on sait qu’il voulait se procurer d’autres domaines dans d’autres régions afin de pouvoir acquérir d’autre denrée. Il fallait donc les transportées entre les domaines. Ex : Abbaye de saint Denis qui produisait du vin. Elle possédait des domaine en Provence afin d’avoir de l’huile et n Flandres afin de se procurer des tissus. Les domaines ne sont dons pas en autarcie. Mais ce sont surtout les abbayes qui fonctionnent de cette manière. Les seigneurs laïcs ont tendance à voyager entre les domaines qu’ils contrôlent. Ils consomment donc sur place au lieu de faire amener les denrées jusqu'à eux. Il faillit également écouler le surplus. Ceci permettait de ce procurer du numéraire. Les abbayes sont assez prospères grâce à ce système. L’économie domaniale débouche sur une économie d’échange. 3°) Les échanges à l’époque Franques. A°) Le commerce Les ventes ne concernent que les excédents. On ne cherche pas à produire plus que nécessaire et on essaie de consommer sur place car on a beaucoup de mal à conserver les denrées. On se ne déplace pas sans danger à causes des barbares. Donc les biens échangés sont peu nombreux, mais on sait qu’ils continus à circuler même à l’époque mérovingienne. Les gestionnaires des villae font du commerce pour ce procurer des produit absent du domaine comme du vin, de l’huile et du sel qui sert à conserver les aliments. Les citadins achètent tout ce qui est produit dans la villa. Il y a trois types d’acheteur : les propriétaire, les citadins et les paysans. A l’époque mérovingienne subsistent certaines régions avec une activité commerciale assez dense. Les objets artisanaux et les produits alimentaires circulent par le commerce ainsi que les armes. Les vêtements aussi circulent beaucoup grâce au commerce. La Provence et l’écosse sont des régions particulièrement productrice de tissus. Ces régions vendent l’essentiel de leur production au niveau locale mais également à 3 l’extérieur du royaume. Certain vendent leurs services comme les orfèvres, des charpentiers et des Tisserant. Tout ceci concerne les surplus. B°) Les lieux d’échange Les deux principaux lieux d’échanges sont les marchés et les foires et en petite quantité dans les échoppes. Il faut une autorisation écrite du roi pour organiser une foire car il appartient aux agents du roi d’assurer la sécurité sur les marchés, ceci inclus le règlement de litige et la perception des taxes. Aux 9 et 10 siècles, on constate qu’il y a une augmentation du nombre de foire. C’est donc les signes d’un accroissement du volume des échanges. Le roi concède le pouvoir d’autoriser les foires ainsi que de percevoir des taxes à des seigneurs. Il y a des foires extrêmement connues comme Saint Denis et Arles. On remarque qu’elles sont situées sur de grands axes commerciaux. À l’époque Franques il y a très peu de marchant car ce sont les paysans ou les propriétaires qui vendent directement. Ils en existent, mais ils se spécialisent dans les ventes interrégionales. Certains sont même spécialisés dans le commerce de produits de luxe comme la soie et les épices. Le commerce se maintient pendant la période franque bien qu’il soit réduit. C°) Les moyens d’échanges. 1°) La monnaie Le rôle de la monnaie décline entre les 5 et 10 siècles. L’unité monétaire est le sou d’or. Au départ les Mérovingiens utilisent la méthode du bimétallisme (argent et bronze). La valeur de la monnaie va diminuer ainsi que la quantité. Ce déclin peut expliquer par différents facteurs : -la frappe de la monnaie n’est plus ne monopole du roi mais devient accessible aux personnes privés (les grands seigneurs et les grandes abbaye ont se privilèges de même que de grand seigneur laïcs) Ils 800 atelier monétaire, ceci conduit à une disparité de la monnaie. Les titres monétaire varient d’un atelier à l’autre ce qui mène au déclin. - L’or disparaît entre le 5 et le 7 siècle en occident sauf en Italie. Il n’y a plus d’or car les gens thésaurisent l’or dans des réserves sous toutes ses formes. Tous les puissants veulent conserver les métaux précieux. Cette disparition est aussi favorisée par les tribus à payer aux envahisseurs (Sarrasins, Hongrois, Scandinaves, Normands) Ces différents facteurs font qu’il y a une pénurie générale d’or en occidents. Les pièces circulent beaucoup moins, mais elle reste la valeur de référence. Les échanges courants sont réalisé par les quelques pièce qui reste en circulation, les autres achats sont effectués grâce au troc. Lorsque les carolingiennes arrivées au pouvoir ils veulent améliorer la situation et vont instituer le monométallisme (l’argent). Ils vont créer de nouvelles monnaie de référence : la livre d’argent. Elle est subdivisée en denier, en obole et en Picte. Le système était très compliquer car les pièce avait différente fonction. La livre était une monnaie comptable et aussi une référence de poids. Le sou restait encore très utilisé. Il instaure aussi le retour le monopole régalien de frappe de la monnaie. Mais les rois carolingiens ne réussirent pas à rétablir ces monopôles. Il y a eut des concessions mais aussi de l’usurpation (certain seigneur se donne le droit de battre la monnaie). 4 Aux 9 siècles il y a des monnaies féodales. Pour les transactions importantes, on va utiliser le payement en nature. La monnaie conserve un rôle important en théorie, mais elle n’est plus utilisée. 2°) Le crédit Il sera beaucoup utiliser pendant la période franque. À Rome, on appelle l’usure : l’intérêt d capital prêter. Maintenant ce sont les intérêts quand ils sont excessifs. L’église va condamner le près avec intérêt. Elle va se baser sur un texte biblique. Pendant tout le moyen age, elle va répéter cette interdiction mais elle s’attachera surtout à contrôler les clercs. Cette pratique reste donc à peu près légale pour le simple croyant. Charlemagne prend des mesures qui interdisent le prêt à intérêt de manière générale et pour tout le monde. Est considérer comme usure tout intérêt demander. Le pouvoir royal répète cette interdiction. L’interdiction est sanctionnée. Le contrevenant est passible d’une amande. Après Charlemagne continu à interdire le près avec intérêt. Mais la réalité est différente, cette interdiction va rester lettre morte. Le prêt à intérêt va rester d’actualiser mais ceci se fait de manière détourné et discrète. Il est communément pratiqué car l’on manque de monnaie. L’épargne est également interdite. Section 2 : L’économie féodale (10ème au 13ème siècle) À la fin de l’empire carolingien, le territoire commence à ce disloquer e principautés (le Flandre et la Normandie). La dislocation s’est poursuivit avec l’apparition des compté qui sont devenues autonomes. Elle est avant des zones administrative qui étaient confié à des agents du rois : les comptes. Peu à peu ils ont proclamé leur pouvoir héréditaire. : Ex : compte d’engoue. On voit aussi l’apparition des seigneuries, les comptés eux même se sont disloquer. Le plein épanouissement des seigneuries est entre le 10ème et 11ème siècle. L’autorité se fait maintenant au niveau local avec les Chatelins. Ce sont eux qui possèdent le pouvoir de levée des impôts et de justice. L’autorité politique est redistribuée de manière la plus apte à protéger les populations des barbares. L’ensemble de société est structuré autour de la vassalité et des fiefs. Les fiefs ne concernent que les nobles, les paysans sont exclus des fiefs. L’entré en vassalité est célébré par une cérémonie. Le vassal s’engage à ne pas rentrer en conflit avec lui. Le seigneur lui donne un fief. Le vassal va devoir lui apporter une aide militaire et financière. Il devra également le conseiller (justice). La société est également divisée en ordre (groupe auquel sont rattachés des statuts particuliers). Le premier ordre est l’église, vient ensuite ceux qui combattent : les nobles, ils protège le peuple et le dernière ordre sont les paysans, ils doivent nourrir les 2 autres ordre. Il doit y avoir une harmonie entre les 3 ordres. Au milieu de cette société, il y a le roi. Il a un privilège du fait que c’est le seul seigneur à être sacré. Il va être au dessus des autres car il est sacré. Pendant toute cette période la royauté va reconstruire sont pouvoir. Le roi va contrôler la féodalité, il va se dégager du pouvoir spirituel et il va également créer une administration qui va lui permettre de gérer son territoire. § 1 Les facteur de la croissance10 ème 13 ème croissance La croissance démarre au milieu du Xème siècle. Elle est facilitée par la fin des invasions. Elle va se manifester autant sur le plan économique mais aussi sur le plan démographique. A°) L’expansion démographique et territoriale. 5 On voit l’expansion des surfaces agricoles. La population augmente partout en Europe, on observe également que les zones défrichées augmentent. 1°) La population Entre l’an 1000 et 1300 on estime que la population a été multipliée par 3. On serait passé en 950 de 22,6 millions à 61 millions en 1200. Pour la France sur cette même période on serait passé de 5millions à 15 millions. Il semble que cet accroissement de population se soit manifester surtout dans le Nord. L’augmentation de la population débouche sur un accroissement de l’activité économique. Cette population est mobile entre les zones rurales et urbaines. On constate que les villes se multiplient et que les villes existantes grossissent. Ces nouveau venu apporte un savoir faire nouveau dans les villes. Ceux qui restent dans les campagnes vont participer au défrichement. Il y a des mouvements migratoires beaucoup plus importants : - Expansion du territoire de l’occident chrétiens : reconquête du territoire conquis par les sarrasins. Dans le sud de la France il y a des transferts de population qui descende vers le sud. - Les Flamands, les Hollandais et Allemand vont eux vers l’Est. Cette population veut trouver des terres. 2°) Le défrichement La poussée démographique entraîne une extension des terres cultivées ou alors a été engendrée par l’extension des terres cultivées. Dès le début du XI siècle une ère de grand travail agricoles va commencer et va s’étendre jusqu’au XIV siècle. L’existence des défrichements massifs est le signe le plus évident de la croissance économique. La surface des terres cultivables augmente énormément. L’expansion géographique de ces terres s’est faite de différentes manières : - soit ils se sont traduits par une création complète de nouveau terroir - soit il y a eut une expansion de la surface des villages déjà existant. On a pensé pendant longtemps que c’était les moines qui ont commencé à défricher, mais on tend à diminuer le rôle de l’église dans ce domaine. Ils ont eu néanmoins un rôle dans le premier essartage. Le défrichement a pris la forme de défrichements individuels par les paysans. Dans ce cas se sont de petits défrichements (X et X1 siècle). Le cultivateur agrandisse leur champs afin de subvenir au besoin de la famille. Quand il y a de nouveau, le seigneur leur donne une terre inculte qu’ils sont chargés de défricher. En recevant une terre, ils s’engage à travailler pour le seigneur. On trouve également des défrichements collectifs. Ces derniers sont l’œuvre des seigneurs qui prend conscience d’augmenter le nombre de terre cultivables sur sont territoire. À partir du XII siècle, on s’attaque à la grande forêt et aux marécages. On assiste à la création de villages entiers dans de nombreux endroits en France. Dans le cadre des défrichement collectif, on a les pionniers qui veulent s’enrichir un petit peu et le seigneur qui lui permet à travers les taxes d’augmenter ses recettes. Le plus actifs étaient le roi qui eu un rôle important dans le défrichement et dans la création de village. B°) L’amélioration de la productivité pendant la période féodale Cette amélioration a été rendue possible par un certain nombre d’innovation technique et aussi par un gonflement de la demande. 6 1°) Les innovations techniques domaine agricole : Ces innovations sont nombreuses. Ces progrès sont avoirs des répercutions immédiate dans l’alimentation de gens. Premièrement on remplace l’araire par la charrue. (Araire : creux de sillon très peu profond alors que la charrue vas beaucoup plus profond, ce qui va avoir une répercutions sur l’économie car les récolte sont meilleurs. L’attelage va être modifié se qui permet une meilleur une meilleur utilisation de la force animale en posant des fer sur les sabot et de jougs. On se met également à utiliser de l’engrais. On diversifie les cultures. Et il y a également la généralisation de la jachère et dès l’assolement triennale. Cette technique diminuera au XIX siècle. Ceci a permis l’amélioration des rendements. Ex : L’abbaye de Cluny : On s’aperçoit que dans une année moyenne : on sème 1 mesure de seigle, on en récolte 5 alors que maintenant on en récolte 10. On voit également l’apparition des moulins à eaux, à vent et à fer. Elles apparaître aux XII siècle. Elles vont très vite se généralisé. Elles permettent d’utiliser l’énergie à des fin diverse. On les emploie dans le domaine alimentaire, textile et dans la métallurgie. On voit aussi l’apparission des haut fournaux. Pendant cette période la métalurgie progresse et le fer va prendre une place de plus en plus important. On va en faire un usage domestique de plus en plus important. On va aussi utiliser la fonte. La navigation : Ce qui va être favorable au commerce international. (boussole, compas.) 2°) Accroissement de la demande - Le rôle des seigneurs Il y a des cours seigneuriales qui entourent les détenteurs du pouvoir. C’est de là que va arriver la demande. Cette cour est formée de la famille du seigneur ainsi que des vassaux. Les seigneurs redistribuent l’argent issu des recettes aux vassaux et à l’église. Peu à peu on trouve en occident plus facilement du marbre, de l’or, soie, ivoire, vin et étoffe précieuse etc. Le goût du luxe apparaît chez les seigneurs. Ils asspirent aussi à plus de confort. Pour ce les procurer, les seigneurs incitent les paysans à créer ce genre de biens. Le goût du luxe va être reprit par tous ceux qui veulent imiter la noblesse. À côté de la production de céréales, les paysans vont se mettre à produire autre chose, ce qui donne lieu au prélèvement de taxe. Et grâce à ces taxes, les seigneurs achètent ces produits de luxe. Au XII siècle, les châteaux se transforment. On construit maintenant les châteaux en pierre. Les seigneurs vont donc faire venir des artisans spécialisés. Les seigneurs font de plus en plus de mécénats. C’est soit un mécénat purement artistique, soit ils donne de l’argent pour la construction d’un sanctuaire(piété : ils cherche a avoir une activité spirituelle. En faisant cela les seigneur veulent être en bon thermes avec l’églises). Non seulement ce sont les seigneurs qui tire la vie économique mais c’est également dans la seigneurie que s’effectue la vie économique. §2) lieu de vie économique A°) Le rôle primordial de la seigneurie 7 A partir du XI siècle l’élément essentiel de la vie sociale, économique et politique c’est la seigneurie. Dans ce château il y a le seigneur, sa famille, ses vasseaux et ses serviteurs (la cour) ; Le château est aussi le lieur d’où le seigneur va exercer sont autorité. C’est au château que va aboutir les redevances. 1°) La recomposition foncière de la seigneurie. Durant la période franques la richesse est la terre, au moyen age elle l’est d’autant plus car elle représente la zone d’exercice de l’utilité. Les grands prop terrien consède ces terre de deux manièree : - en fièf - Tenure : c’est-à-dire qu’il peut concéder sa terre en vue de son exploitation économique. C’est la terre que l’on tiens à un double titre (du seigneur et des héritiers) Le seigneur concédant la terre est appelée seigneur foncier, mais il peut être aussi seigneur banal, c’est-à-dire être un seigneur ayant de la terre mais ayant aussi le pouvoir de ban. Ce pouvoir est un droit de commandement et l’oppression. Ceci correspond aux anciennes prérogatives de puissance publique. Cela signifie que le seigneur banal rend la justice, perçoit des amandes, il peut procéder à des réquisitions. Il peut également exiger les corvées. Il est sensé exercé ce pouvoir de ban en vue de maintenir l’ordre dans la seigneurie. La seigneurie s’organise autourde la réserve et autour des tenue La réserve : elle correspond à la partie du territoire exploité par le maître pour lui. Pour la cultivé, il a le choix entre deux moyen : il utilise des travailleurs salariés (peu utilisé) mais il peu aussi avoir recourt à la corvée. Le nombre de ces corvées est fixé par la coutume. Si les corvée ont pour but de cultiver la terre, elle sont appelé les jour à bras (cueillette, récolte), il y a aussi les jour à bœufs ou les paysants prête leuts bête au maître pour labourer sa terre. Il y a aussi les corvées de surveillance (gaie). Ces corvée peuvent être rachetées par les paysans. C’est à dire qu’au lieu d’exécuter leurs corvées, il paye le seigneur. L’argent introduit une certaine forme de liberté. Progressivement le mode d’exploitation de la réserve vas changer et donc les corvée entre dans le faire valoir directe. Peu à peu, les corvées vont disparaître. Certains seigneurs vont utiliser les systèmes de baux. À la différence de la corvée, les paysans peuvent choisir quels paysans va travailler sa terre. Si le travail ne lui plait pas, il peut changer les paysans. Il y a deux type de baux : - le fermage : surtout dans les régions riche et dans les grandes exploitation. Le paysan qui prend le bail (le preneur) va bénéficier d’un droit de jouissance d’une partie de la terre. Il exploite la terre et en plus il doit entretenir les bâtiments ainsi que de respecter le principe de rotation des cultures. La redevance qu’il verse est fixe - Le métayage : C’est un type d’exploitation qui se développe dans les régions les moins riches. C’est aussi, comme le fermage, un bail à durée déterminée. Le propriétaire apporte tout (la terre, les animaux, les outils et les semences). Dans ce contrat, le paysan ne possède rien. Le métayer n’apporte que sa force de travail. Ils payent une redevance en contrepartie de la terre, celle-ci est variable selon la récolte. Ces deux contrats sont à l’origine de tenures temporaires. Mais en France et en Europe, la règle générale est que les tenures sont perpétuelles. Les tenures : C’est le mot spécifique de l’époque féodale. Elles prennent le relais des manses. Ces terres font l’objet d’un contrat que l’on appelle le bail à sens. Ce contrat à un caractère exclusivement économique. Le cens est la redevance verser par les paysans au seigneur. Il reconnaît par la qu’il est soumis au seigneur. Elle est recognitive. Le cens peut être payé en 8 argent ou en nature, soit encore de manière mixte. Le cens peut être réévalué. Ce n’est pas un impôt, c’est la contrepartie de l’exploitation de la terre. Même si les tenures sont perpétuelle, le paysans le détient que le droit de jouissance de la terre (le droit de cultiver). Au début lorsque le paysan mourrait, la terre revenait au seigneur. Mais peu à peu à l’époque féodale, les censives sont devenus aliénable c’est à dire que le paysans pouvait vendre sa censives. Elle sont ensuite devenues héréditaire. Au moment de la succession il y a une taxe. Et XIII siècle,les censives sont entrée entièrement dans le patrimoine des paysans. Il y a aussi des alleux. Ce sont des terres sans seigneur mais elles tendent à disparaître. Il y a également les communaux (marrais, bois, friche, court d’eau). Les communaux sont utilisables par tout les paysans. Ils sont très utiles car ils procurent aux paysans des moyens de subsistance. Toutes ces terres sont finalement exploitées en commun. On aboutit à une agriculture un peu collective grâce à l’assolement triennal. 2°) Les redevance exigées au titre du ban. Lorsqu’il agit en tant que détenteur du ban , le seigneur va percevoir des revenue de tous les hommes vivant sur la seigneurie. Il a un puvoir trsè important ce qui se traduit par de nouvelle imposition s. Le seigneur assure laa sécurité des paysans en contre partie il touche des taxes. La taille est l’impôt le plus répandus. Elle est annuelle, payable en nature, elle est du par tout les habitants de la seigneurie sauf les nobles et les clercs. Le seigneur bénéficie aussi du droit de gîte c’est-à-dire que le seigneur en cas de déplacement, la population doit l’entretenir. Ce droit peut être remplacé par une taxe. Le seigneur bénéficie par ailleurs du droit de prise, c’est un droit de réquisition qui s’exerce en temps de guerre. Le seigneur peut aussi exiger des corvées d’ordre commun (entretient des routes, des pont), et peut imposer des service de guet. Il y a en fin les banalité, ce sont les redevances issus directement du droit de ban. Le seigneurs installe sur sa terre des équipement lourd (pressoir, moullin) et les paysans sont obliger d’utiliser les équipements. Ils sont obliger de payer pour les utiliser. Si un paysans créer des outils ou va sur une autre seigneurie il est suséeptible de devoir payer une amende. En contre partie, le seigneur doit assurer la protection des habitant de sa seigneurie et également des sujets qui sont de passage sur sa seigneurie. Mais il perçoit également des taxes à l’entrée et à la sortie de sa seigneurie. La ponction seigneuriale représente environ 50% de la production de la seigneurie. La seigneurie banale à permis le développement du commerce locale grâce à la sécurisation des territoire ainsi qu’a la création des marchés. Toutes ces redevances viennent du pouvoir de contrainte du seigneurs. B°) Les villes 1°) le renouveau urbain Il y a une renaissance des villes à l’époque féodale. Les villes vont connaître une très grande croissance entre le XI et XIII siècle. Les villes profitent de l’accroissement économique et de l’accroissement des échanges. Ainsi, les villes grandissent et vont lutter contre les seigneurs afin de gagner des liertées. Ce processus d’émancipation des villes est inérant à leurs développements. Il y eut énormément de tuerie. Ces combats ont permis à de très nombreuses villes d’obtenir des chartres (actes juridiques qui consignait les libertés acquise) ; on parle des libertés des villes. Ces chartes avaient pour principale objet d’assurer la liberté des prix pour les bourgeois. Les villes les plus autonomes sont les communes au nord et les consulats au sud. Les viles les moins autonomes sont les villes de prévôté c’est-à- 9 dire qu’elle sont surveillées par un prévôt (agent du roi). Les villes sont synonymes de liberté. Car lorsqu’elles ont obtenu des chartes elles ne sont plus sous la coupe d’un seigneur et de plus les bourgeois sont des gens libres. Les cerfs qui se sont enfuis de la seigneurie cherchent à allé s’installer dans les villes pour essayer d’acquérir une liberté totale. Ils se développe dans les villes de nouveaux services. Il y a de nombreuse activités artisanales, commerciales et même un début d’industrie. Ce sont aussi de grand centre intellectuel. Jusqu’ici l’urbanisation se faisait dans des endroits stratégiques ; au XIII les villes se développe dans des centre de commerce. Les diverse activitée ne peuvent se développé que grace à ces liberté. 2°) Les communautée de métiers Il y a des métier libre mais cela ne sont pas organise rmême si ils sont pris en compte par les autorités. Il y a les jurandes ou corporations. Ces communauté apparaissent comme la continuité du renouveau urbains. Au départ se sont souvent des confrérie qui sont des groupes d’artisant exerçant le même métier et adorant un même saint. Elles sont devenue fréquemment des regroupements de nature purement spirituelle. Elle ont évolué en associations professionnelles. Ces communautés de métier, elles réunissent les artisants ayant un même métier. On trouve aussi des guildes : qui sont des associations d’entraide. Elles on un carctère religion et économique. Les guildes se développe au début dans le nord de l’europe. Il y a en fin les hanses. Ce sont des associations professionnelles qui regroupent des marchant de plusieurs. Le plus puissante fut la hanse teutonique. Pour appartenir à une jurande il faut avoir été apprentit (l’apprentissage se fait très tôt. L’apprenti vit chez son patron, il est nourti par son patron. Celui ci à un pourvoir de commandement et de chatiment corporel sur l’apprentis. Après l’apprentit peu devenir compagnon après un contrat. La le compagnon perçoit un salaire. Certain compagnon vont effectuer le tour de France pour confronter sa technique avec celle d’autre ville. Ceux qui font le tour de France sont ceux qui veuelnt devenir maître. Pour cela il y a une épruve à accomplir : le chef d’œuvre permettant ainsi d’apprécié les aptitude de celui qui ce présente. Si l’on été reçu, on prêtait serment et on devenait maître. Il y a Deux assemblée. L’une formé de maître et de compagnons, elle régisseait les status de la profession. Elle concernait des rêgles sur les procédé de fabrication et sur le technique de vente. La seconde assemblé étaient celle de jurée. Celle ci repréentait la corporation en justice. Ils avaient un pouvoir de surveillance et de contrôle sur tout ceux qui sont incluen dans l’assoc. Les membres de jurant qui ne respéctaient pas les status étaient exclus de la communautés. Les communauté de métier avaient pur rôle de protéger le consomatieur ainsi que de protéger la production elle même. Les consomateur sont protéger par l’exigence du recrutement. Ils osnt protéger par le régle qui régissent les procéders de fabications. La production est protégeé car on évite la concurance étrangère. Il peut aussi s’agire de la protection contre la concurent ce interne. Les status peuvent réglementée la répartition des matières premières. Les jurée interdise toute les inventions pour que tout les membres soient égaux. Le blocage des invention et du progrès est très néfaste. 10 §3 Les échanges A°) L’état du commerce Dans le cadre de la villa l'essentielle du commerce se faisait à l’interieur de la villa, seul les surplus étaient vendu à l’extérieur. Au XI siècle il y a une reprise du commerce. 1°) La renaissance du commerce international. Le commerce va de nouveau vers la Méditerranée. Ce commerce s’était interrompu pendant plusieurs siècle. Il est de nouveau possible avec le recul des Arabes. Les croisades ont également joué en faveur de ce regain de commerce. Ce sont des entreprise guérrière mais également spirituelle. Elles ont influencés positivement le commerce internationales. Ce ragin commerciale s’est surtout manifester en Italie qui a reprit des contacte commerciaux avec l’égypte constantinople… L’europe importaient les produit de luxe et exportaient les peaux , des armes etc. Un autre foyer de commerce important est la Normandie. Entre le Nord et le Sud se sont esquisser de grande route commerciales. Mais le transport était très compliquer se qui a conduit les marchants à ce réunir à date ficxe à un endroit donner, ce qui a donner naissance au foire. Dans ces foire on échange les produit venant du grand commerce mais aussi des produits régionaux. En France les foires les plus importantes sont située en Champagne et dans la brie car ces régions se trouvent à mie chemin entre la Flandre et l’Italie. Ces foires sont des plaques tournantes du commerce internationales. Ces foires ont rayonner sur l’Europe entre le XII et le XIV siècle. Elles sont aidé des autorité publique. Le roi de France lui même s’y est intéresser en garantissant la sécurité physique des marchants qui viennenet. Ces foires profitent d’une organisation particulière. Au XIV siècle les foires commencent à décliner. Ceci est du au sédentarisation du commerce et aussi à cause de la guerre de cent ans. Après le XIV, ont va trouver d’autre axes commerciaux et on vas utiliser d’avantage les bateaux pour le commerce internationales. Le grand commerce se développe considérablement à l’époque féodale mais on ne peut pas dire qu’l se éveloppe partout avec la même vigueur. Le commerce renait, ce qui conduit au renouvellement des techniques commerciales 2°) LE développement des techniques commerciales. Ce dévelopement devient nécessaire car les échanges deviennent de plus en plus nombreux sur des trajets beaucoup plus long. Une seule personne à beaucoup de mal à assumer seule les risques commerciaux. Les italiens sont les premiers à crer des sociètes commerciales. Ces associations commerciales se ratache à deux grandes formes : - la commande : c’est une association que l’on utilisait pour le commerce maritime. Il y a avait au minimum deux associer. Un passif : celui qui apporte les capitaux et un actif : le marchand qui entreprenait le voyage et qui allait réaliser concrètement la transaction. L’intérêt est que celui qui fournit l’argent reste sur place et on partage les risque. C’est un contrat limité dans le temps ou a une seule affaire. Celui qui apporte les fond reçoit 3/4 des bénéfice alors que le marchand recevait 1/4. C’est une forme de contract qui était particulièrement adapté pour le commerce maritim - La compagnie : Elle rassemble des marchands. Cecis sont issus d’une même famille. Tout les associé verse du capital mais la s’est qu’ils osnt tous responsable et ils osnt responsable pour le tout c a d que l’acte d’un associé entraine la responssabilité de tout les autres. Les memebres de la compagnie reçoivent de dividande seulement à la 11 disparition de la compagnie. C’est un contract apparaissant en Italie. Mais ce contrat était plus utilisé dans le commerce térrestre. A l’époque féodale les société sont petites. Il en éxiste de grosse mais elles sont rares. Les forme de commerce initiales va se brouiller. On va voir apparaître de nouvelle forme de société commerciale mieux adapter au besion du commerce. Certaine entreprise vont se tourner vers des activité industrielles. Les banques vont se développer, mais il n’y a pas de banque d’affaire. De plus il n’y a pas d’emploie du capital pour le faire fructifié. B°) Les moyens d’échanges 1°) La monnaie À la fin de l’époque carolingienne, le droit de battre monnaie est détenu par les seigneurs. En occident il y a aura donc autant de monnaie qu’il y aura de grand fief. Cela n’avait pas beaucoup de répercution car le commerce se faisait localement. Mais dès que le commerce longue distance à reprit on a vu accroitre le rôle des changeur qui déterminait le cour commerciale des monnaies en se basant sur la réputation, le rapport entre l’offre et la demande, de leur taille(prix du métal et du prix de la pièce de monnaie), de leur aloi (la proportion de métal précieux dans la pièce) et de leur cour (valeur légale). Les rois reprennent le contrôle de la monnaie. Les rois carolingiens avaient tenté mais avaient écoué ; Ce sont les capétiens qui vont assainir la monnaie. Ils disent que la monnaie royale à cour forcé dans tout le royaume. Ils décident également de limité les monnaies seignoriales c’ést à dire qu’lelles n’ont cours que dan s la seigneurie. On vas accroitre le répréssion contre les aux monnayeur (bouillis vif). Ceci s’est révélé éficace car à la fin de l’époque carolingienne il y a 340 monnaie alors qu’XIV siècle il n’y en a plus que 30. Voir chapitre Chapitre 3 : l’économie des temps moderne Début : fin XV Fin : 1789 Cette époque s’ouvre avec la renaissance. Elle est appelée ainsi car a cette époque là on redécouvre toutes les grandes œuvre intellectuelle de l’antiquité. Elle se caractérise aussi par la mise en valeur de nouvelles valeurs morales. C’est une période ou la place de l’homme change de place, il aquiére une place centréle dans le monde. Il se développe aussi l’humanisme. Celui ci va se développer grâce à l’imprimerie. On passe ensuite à la période classique. Ce sont les notions d’ordre qui deviennent primordiales. Au XVIII se développe la philosophie des lumières. C’est avec la philo des lumières que vont être développé les valeurs de bonheur et de progrès. Ceci va aussi se traduire par le libéralisme. Sur le plan politique on assiste à plusieurs événements : - les geurres de religions : du au développement du protestantisme : elles se transforme peut à peu en guerre civiles. Ces guerres on ruiner une partie de l’activitée 12 - économique pendant une cionquazntaine d’année. Ces guerres s’arrête grace à l’édit de nantes. La fronde : c’est une guerres civiles strictement politique qui émane des parlement et des aristocrates. Les un et les autres vont contester le pouvoir monarchique. Ceci se passse au milieu du XVII. C’est une source de désordre économique et politique pendant une vingtaine d’années. Sur le plan économique on distingue 3 phases : - le XVI siècle : Il y a un effacement de l’ancien système économique qui se fait progressivement. Section 1 : Les agents de l’économie Vers le milieu du XV il y a une amélioration de la démographie. Ceci permet à la France de retrouver son niveau démographique du XIV siècle. La France jusqu’au du XVIII siècle va connaître des crises démographique. Ces crises seront très sporadiques. Ces crises sont du aux famines, épidémies et guerres. La population va se stabiliser entre 15 et 20 millions. C’est seulement à partir du XVIII siècle que la croissance démographique sera continue. En 1790 la population Française est de 28 millions. Avec ces 28 millions la France est le pays le plus peuplés d’Europe. Cette augmentation est aussi un faccteur de déstabilisation éco car l’éco agricole ne peut pas suivre. Elle va aussi faire naître un déséquilibre entre les villes et la campagnes. §1 : L’état Le mercantilisme va connaître son appogé entre le XV et le XVIII. Les souverins vont mettre en œuvre des politiques conforme avec cette idées. Le mercantilisme va être mis à mal par le liberalisme A°) Le mercantilisme Celui ci repose sur un objectif précis. Il faut que l’état s’enrichisse par l’accumulation de métaux précieux. On ne cherche pas a produire de la richesse mais acculumé des capitaux qui existe déjà. Il faut les attirer puis les conserver sur le térritoire nationales. De cela résulte trois principes : - la conquête de métal précieux doit être la première préoccupation de l’état - Tout mettre en œuvre pour la conservation des stocks de métal. - Pour parvenir a atteindre ces buts il faut une économie dirigé ce qui aboutit au dirigisme. Il faut que l’état s’incère dans l’économie. Les états mercantiles vont réglementer le commerce et l’industrie. Ils vont aussi contrôler les douanes. Il faut freiner les importations et favoriser les exportations. Ces principes sont communs a toutes les grandes nation européenne du XIX. Cette période commence avec Louis XI puis se tasse. Ces pratiques mercantilistes vont atteindre leur apogée sous le règne d’Henri IV(1589-1610) et de Louis XIV. Sous le règne d’Henri IV on va asssiter à la systématisation du mercantilisme. Elle est l’œuvre de 2 personnes : Sully et Laffémas. Sully va instauré un contrôle des dépenses et des recettes de l’états. Il va favoriser l’industrie de luxe (soie, tapisserie) car ils s’exporte facilement. Pour le commerce interieur il va cherhce a l’améliorer en rénovant tout les voies de communications (route cannaux prot). Avec sully connaît un redréssement économique. 13 Certaine région s’étaient éffondrer pendant les guerres de religions. Elles se relèveront grace au commerce plus fleurissant. Laffémas fut le successeur de Sully. Il va s’intéresser au commerce et aux manufacture. Ils prend plusieurs mesure de type mercantiliste. Il va autoriser la libre entrée des matière première mais va en interdire la sortie. L’importation des produit manufacturés sont interdite. Il veut favoriser la production national en favorisant l’entrée des matièrees première et facilité l’exportation des produit fini. Les villes comme Lyon qui s’étaient spécialisé dans le commerce internationale sont contre ses mesures. Jean bapioste colber est un homme très important. C’est le ministre eplus important du roi. Il cumul d’autre fonction. Il dirige également la marine et la maison du roi. Il est polivalent. Il est entièrement gagnè par les idées mercantiliste. Il va élaborer une politique très dirigiste et protectionniste. Il va également centraliser le pouvoir politique et économique. En matière agricole : Colbert ne s’interrese pas beaucoup au activité agricole. Seulement à travers les produit que l’on peut en retire au niveau militaire. Il va s’interresser au arras et au forêt (marine). En mati ère commerciale Colbert se montre plus présent. Pour lui il faut retirer les taxe sur les produit importer qui vont être utiliser en manufacture, énormément taxé les produits finis importer et alléger les droits de douane sur les produit fini exporté. Il a une attitude extrêment protectioniste. Cette politique va déclencher une guerre entre les pays bas et la France. Colbert va crer de grandes compagnies commerciale spécialiser dans le commerce maritime internationale. Elles vont toute faire faillite mais néanmoins ses éffort ne vont pas être vint car ces effort vont dynamiser le commerce français qui va se développer tout au long du XVIII siècle. Dans le domaine industriel, le Colbertisme va remporter les plus grand succès. Il va créer les manufactures, ce sont les prémisses des industries. Elles vont former le premier tissu industriel français. À la fin du XVII siècle, il y a environ 400 manufactures dans le royaume. Certaines manufacture sont rester très connus. Les manufacture sont dans les secteurs de pointe : manufacture des goblains et de saint gobain. L’objectif de Colbert cherhce une autonomie de la France (d’éviter d’importer). Il se penche aussi sur les secteurs anciens de l’industrie c a d la métalurgie et l’activité textile. Finalement avec Colbert la carte industrielle de la France existe déjà. L’industrie française est extrêmement performante jusqu’au milieu du XVIII. Dans le domaine de finance, colbert tente d’améliorer le système financier de l’états. Il parvient à équilibrer le budjet de l’état. Il va limiter la dette publique. Sur le plan fiscal, Colbert éssaye de rendre l’organisation fiscal plus égal. Ces tentative sont de courte durée car a sa mmort elle disparaisse définitivement. Après Colbert le système fiscal sera inégalité et en déficit. En 1683, après sa mort, les résultats de la politique de Colbert sont très positif . Néanmoins les actions de Colbert vont peu à peut s’éffacter. Ceci est du a plusieurs choses : - la révocation de l’édit de Nantes : on revient à l’intolérence religieuse. Ceci va conduire à la fuite de 200 000 protestants. Il emporteront leurs capitaux avec eux - Les guerres mener par Louis XIV : Le relations avec les pays en guerre sont détruites. - La mise en place d’une réglementation tatillone qui va paraliser l’industrie française. On aboutit a une stagnation de l’industrie. Ceci tombe mal car c’est l’époque des grande inovatio technique. - Le Colbertisme est batut par le liberalisme Dès le début du XVII siècle des voix s’élève pour réclamer la libertée du commerce. AU XVIII sicèle se développe l’idée que les manufacture doivent être autonomes. Ce n’est qu’a partir de 1751 que les principes libéraux font triompher. B°) La physiocratie et le libéralisme 14 Cette nouvelle conception s’établie au milieu du XVIII. On voit apparaître le laisser passer laisser faire. La physiocratie est la version française du libéralisme. Il y a2 type de physiocrate : - les théoriciens : François Quesnay : + 1774 - Les pragmatiques : il veulent faire passer le libéralisme dans les fait : Turgot (+ 1781°) 1°) Principies physiocratiques « physio » : nature « cratie » : puissance , pouvoir Pour les physiocrate les phénomène économique sont dérive de ceux de la nature. On voit que la physiovratie s’oppose au mercantilisme car dans la physiocratie ce qui est important c’est la connaissance de la nature et l’activité économique qui en découle. Pour eux la terre est l’unique source de toutes les richesse. L’enrichissement vient du travail de la terre. Ainsi, seul la production agricole est la véritable production. C’est la sacralisation de la terre. Pour les physiocrate l’argent de produit rien. Toute les autre activitée (sauf l’agriculture) ne sont que des activitées de transformation de la production agricole. La propriété est indispensable pour Quesnay. Du fait de la politique mercantiliste, les dirigeant précédant on laisser l’agriculture de côté. Quesnay déplore que dans le secteur agricole il y ai beaucoup de possibilité d’expansion mais qu’elle stagne. Il propose de passé une agriculture de subsistance à une agriculture de production. Pour y parvenir, Il estime qu’il faut reconnaître la liberté de culture. Il faut que chaque cultivateur puisse cultiver comme il l’entende et cultiver se qu’il veut. Si tout ce passe bien selon Quesnay, on va sortir de la simple éco de subsitance et les agriculteurs vont pourvoir faire des profits. Mais il va plus loin car il dit qu’il faut aussi la sortir d’une protection juridique pour que les individus puissent travailler librement. Il faut donc que les paysants et les artisans ne soient plus sous la contrainte des maîtres. Il faut libérer les métier de l’organisations des jurandes, et il faut libérer les manufacture de la contrainte étatiques. Il veut que l’état supprime toutes les contrainte qui pèse sur les paysans et les inductries. Quesnay apporte deux restriction à la liberte qu’il réclame, il pense que l’état doit conserver un droit de regard sur l’économie extérieur, et que son idéologie ne doit se mettre en place que dans la paysanerie. Il aurait pourtant falllu libérer l’artisanat que était enfermer dans un carcans depuis le moyen age. Il n’y a pas d’adapttion technique. Il y a une sclérose de l’économie qui à pour réaction la tentative de Turgot. 2°) La tentative libérale. Le mouvement physiovratique s’ai exprimer par une réflexion théorique. En tout cas on costate au XIX siècle qu’un certain nombre d’action sont menée dans le secteur agricole et qu’il y a la mise en place d’une véritable économie agricole. Il apparaît que le gouvernement vuille organiser le secteur agricole. Il y a la création d’école vétérinaire et de commitée d’agriculture. On publie des ouvrage d’agronomie. Le gouvernement va essayer de briser certaine règle ancore en vigeur depuis le moyen age. Il va organiser le partage et l’achat des communaux. Il va permettre la cloture des terre ce qui permet une agriculure individuelle. D’autre mesure essaye de brisée les habitudes ancestrales. Mais cela ne profite qu’aux riches agriculteurs. Le gouvernement se fait également l’écho de la physiocratie dan s le domaine de l’industrie en mettant en place des mesure pour « libérer » l’industrie. Turgot à déjà mis en œuvre ces idée dans sa circonscription. Il va être nomé par le roi Louis XVI pour réformer l’économie. Pendant deux ans (1774-1776) la France va connaître le libéralisme. Turgot va s’entourer d’un petit commiter de personne favorable au libéralisme. Elles sont fatouchement opposer au notion de corporation. Turgot est très favorable aux libertées indivitudelles. Il va 15 commencer par decréter la liberté du commerce des Grains. Mais ceci va provoquer des soulevement car il n’y a pas d’adaptation du marché. Sa deusième mesure c’est la suppression d’une corvée qui était du au roi , celle de l’entretient des routes. Turgot va creer un impot général payer en argent pour l’entretient des route. Il décide de mettre fin à toutes les marchandises qui ne sont pas produites dans les corporations. Sa mesure la plus importante est celle de l’abolition des corporations, c’est donc la liberté d’entreprendre et la liberté de fabrication. Mais ceci va suciter un immence tollé. Les gens ne veulent pas l’abolitions des corporation. Les maîtres de corporations vont s’y opposer mais les compagnons également. Il est possible que les compagnons se soient fait endoctriner par leur maîtres et ils étaient aussi très attacher à ce cadres de travail. Ils tiraient également une fièrter d’appartenir à une corporation. Il y a une opposition des corporations elle même mais également celle des parlement (ce sont des institution qui sont composer de juriste qui sont sensés enregistrer les textes de lois.) Ces parlement n’avait au départ qu’un droit d’enregistrement des textes. Petit à petit quand les parlements refusait d’enregistrer un texte, ils écrivaient une lettre au roi pour expliquer pourquoi ils étaient. Puis peu à peu les lettres devinrent politiques. Les Parlements sont devenus peu à peu des bastions d’opposition contre le roi. De ce fait toute les réforme tenté par le roi sont bloqué par les parlement. Louis XVI a forcé le parlements a accepter le texte mais Louis XVI est forcé de renvoyer Turgot, ce qui a pour conséquence la remise en place des corporation mais d’une manière plus souple. Turgot en renvoyer en 1776 aprèsLe gouvernement royale ésite entre libéralisme et dirigisme. Cette ésitation est visble dans le secteur du grain et du textile. Pour stimuler ces exportations la France passe en accord avec l’angleterre. La France va baisser ces tarifs douanier. Mais la encore il y a une forte contestation générale. A la fin de l’ancien régime, les cadres traditionnels sont encores très présents. Ils constituent une contrainte mais sont également un forme de protection. On voit aussi que le système est globalement éssouflé, la France à de gros problême économique. C’est une période de crise. Cette crise se manifestepar le modèle économique. Il y a une crise des institution (la monarchie est conteste) mais aussi les ordres. A cela s’ajoute une crise financière extrêmement importante. L’état est au bord de la Banqueroute. On arrive donc a une impasse. Pour résoudre les questions urgentes, Louis XVI convoque les états généraux en juin 1789. Ce qui va aboutir la révolution qui va remettre en cause la royauté. §2 : Les sociétés Colbert au XVII siècle a voulut étendre se mode de production que sont les jurandes et les a renforcer. Les jurandes ont des monopole donner par l’état. De manière général la monarchie a favoriser l’appartion et le maintient des jurandes au début du XVIII siècel . C’est le principale mode de production économique jusqu’au début du XVIII siècle. Elles peuvent êtres très nombreuses dans certaines villes comme Paris. Il y en a d’autre beaucoup plus libérales comme Lyon ou il y a trsè peu de comunautée de métiers. Ces communautées veulent acquérir des privilèges. Dans certain cas les jurandes sont très utiles comme chez les appoticaire qui ont besoin d’un contrôle. Certaines de ces activités connaissent une concentration de capital et de main d’œuvre. C’est le cas de l’imprimerie, de la papetrie et du textile. Les corporations sont extrèmement importantes jusqu'à la fin de l’ancien régime mais leur images est ternis car on les accuse de vouloir simplement garder leur privilège. Au milieu du XVIII siècle le gouvernement interdit la création de nouvelles jurandes. C’est la révolution qui supprimera définitivement les jurandes. A°) Les sociétés de personnes. 16 Ce qui est déterminant c’est la qualité des associés. Ce type de sociétées est parfaitement définit néammoins une société de personne n’est pas toujours décelable. A cette époque on ne dit pas de quelle type de société il s’agit ; les textes sont assez floue. Les choses commences a changer avec Colbert, il va organiser le droit des sociétés. Il va être a l’origine d’une grande ordonance : l’ordonance du commerce. Son bit est d’unifié le droit commercial. Il organise les sociétés de personnes et laisse complétement de cotées les sociétés de capitaux. Les sociétés de personnes osnt la forme de société la plus répendus. Il y en a trois catégories : - La société générale : société en nom collectif : dans ce cas la société doit porté un nom d’un associé. Dans ce type de société tout les associés sont commercant. Elle est créer pour un petit nombre d’année. Dans ce cas les associés sont solidaire. Tout le monde est reponsable des actes de chacun. Comme se sont des société de personnes, si un associé meurt il faut dissoudre la société. Le capital n’est pas important, ce qui est important c’est le savoir faire des associés. Ce sont souvent des société familliale. On les utilise pour tout type d’activitée commerciale. - La société anonyme : on l’appelle anonyme car il n’y a pas de statut écrit. Elle sont anonyme car elles sont souvent constituer que pour une seule affaire. On les créer pour un but précis. Ex : société de guerre de courses : société que l’on fait avec des corsaires. (Les corsaires agissent pour le compte du gouvernement). Le corsaire va attaquer des bateau sous ordre de l’état. Quand l’opération réussit, le corsaire a l’autorisation de vendre les biens qu’il a acquis. Les bénéfices sont partager entre le corsaire et son équipage et les spéculateur. On utilisait donc la société anonymes pour garder un certain secret. Evidement les société de ce genre pouvait faire apparaître des abus. - La société en commandite : Dans cette société, il y a deux type d’associté ; Il y a ceux qi vont gérer la société et puis il y a ceux qui vont simplement apporter les capitaux. C’est une société de personnes mais dans laquelle ont fait apporter des capitaux de l’extérieur. Ceux qui donne l’agent sont les commanditaires et ceux qui gère la société sont les commandité. La responsabilité des commanditaires est limité au montant des capitaux qu’ils apportent. Mais les commandités sont solidaire. Ces sociétés pallient l’absence banque comme institution ; il n’y a pas de crédit. Comme il est interdit au menbre de la noblesse et du cleger de faire du commerce, ce type de société leur permet de placer leur argent et de le faire fructifier. La structure de cette société est utilisé dans l’ancien régime dans le domaine du commerce coloniale. Cettte société se trouve a mis chemin entre les société de personne et les sociétés de capitaux. B°) Les sociétés de capitaux Dans ces société la personne des associés n’est pas primordiale. Ce qui est important c’est la capitale qu’ils mettent en commun. A la fin d’ancien réfime il y a deux forme de sociétés de capitaux 1°) Les sociétés créer par le roi Elles sont créer par l’autorité centrale pour le commerce coloniales. Elles sont ignauré par l’ordonnance de Colbert car elles ont caractère un peu spéciale car seul le roi a le capaital. Les première société de ce type apparaisse en hollande. La France va prendre modèle car les expérience mener sont très fructueuse. Colbert va donc créer de grandes compagnies commerciales. Il institut la compagnie des indes orientale et occidentales ect… Ces comagnie fonctionnent toutes a partir d’un modèle. En premier lieu , il y a toujours un acte royale qui 17 préside à leur fondation ; ce sont donc des société publique. Cette acte ffondateur fixe également leurs status. Le capital est divisé en actions et de plus les actions sont librement vendables. La responsabilité des associés est limité par leur montant en apport. Il y a une assemblée générale des actionnaires pour examiner les comptes des actionnaires. C’est généralement le roi qui est majoritaire. Ce sont des société qui font du commerce mais elles sont aussi chargé d’administrer des térritoire colloniaux. Cela signifit que le roi vas leur actroyer des prerogative de puissance publique : ex : la compagnie du sénégal aura le droit de rendre la justice. Certaine de ces compagnie auront le droit de dirigé une armée. De plus elles obtiennent des monopôles commerciaux pour un temps limités dans les térritoire dont elle est chargée. Les société de capitaux ont pour origine directe ces compagnie coloniales. Avec le développement de l’industrie ont va avoir besoin de société ayant le pouvoir des dréner beaucoup de capitaux. On va donc assiter à la création de sociétés privées. 2°) sociétée de capiaux purement prives Elle ne tirent pas leur origine de ces sociétée coliniales. Ces société résulte de l’évolution des sociétées de personnes . Elles connaissent un démarage difficile sous louis XIV. Puis au millieu du XVIII siècle leur nombre croient du au libéralisme croissant. La France comence a s’industrialiser et ses société vont être utiliser pour rassemblé l’argent dont on a besoin. Toutes les classes sociales sont intéressées par les sociétés de capitaux car elles représente une source de revenue. Leur mode d’organisation facilité d’investissement en liquidité. Dans ces société on organise un système de négociabilité des parts. Pour être attractive les société de capitaux mettent en œuvre le système de non responsabilité au de la du capital investit. Par contre tout n’est pas clairement déffinit comme la notion d’action (prise d’intérêt ou obligation donné par la société à l’actionnaire) De même la notion de capital social n’est pas très bien définit. On a du mal à considéérer le capital étant propiété de l’entreprise et non celle des actionnaire. Au XIX les actions sont nominatives, pour les vendres la procédure est très lourdes. On voit à la fin de l’ancien régime la création des action au porteurs (c’est un titre portant simplement un numéro). A la veille de la révolution, le titre au porteur fait partie intégrante de la vie économique. Les sonciété par actions sont dirigé par des administrateur, des conseil d’administration et des assemblée d’actionnaire. Il y a une grande différence par rapport au soc coloniale c’est que les actionnaires ont un véritables pouvoir. Ces soicété n’apparaissent pas dans l’odonnance de collebert et se sont donc créer dans un vide juridique. C°) Les société à priviléges 1°) Les manufactures Ce sont des entreprises qui rassemble en un même endroit des métiers différent. De plus elle produise des produit avec la protection du roi. Le fait nouveau est le rassemblement de plusieur corps de métier. Elles se multiplient sous l’influence de colbert. Ellees échappent aux système des jurandes, elles sont donc autonomes. Ce sont des établissement privilégié par la royautée qui se traduit par un monopole. Elles sont le bien souvent appeler maison du roi, dans ce cas l’état est totalement propriétaire ; ce sont en grande partie les arsenaux. Les autres manufactures sont appelees manufacture royales mais elles n’appartiennent pas au roi , elles sont privée. Elles s’appellent royales car elles ressouvent des aide financière du roi ansi que des privilège. Ces priviléges sont le plus souvent des monopoles de vente (dans une province ou dans tout le royaumes), accessoire (dispensé des règlement de fabrications), des exemptions fiscales, anoblissement du fabriquant ou naturalisation des ouvriers étrangers. L’état dans les manufacture se trouve particulièrement attentif au recrutement, ils cherche a attirer les ouvriers les plus qualifiés. Il veut que les manufacture soient des entreprises de 18 l’exélence. Colbert n’hésite pas à débauché des ouvriers à l’étrangers. Ils y a aussi les manufactures privilégiers qui ne ressoivent par d’argent de la part du roi mais seulement des privilèges. Toutes ces manufactures sont surveillées de très près. Elles sont intéressantes car elles sont représentatives de l’esprit français mais aussi car certaine était très importante. Techniquement ces sociétés sont des sociétés en commandite. Section 2 : cles secteurs d’activité. En angleterre au milieu du XVIII siècle commence la révolution inductrielle, elle a été précéder d’une révolution agricole en 1760 en reméttant en cause le principe des champs ouverts. On passe alors aux système de clotures de térrain puis au remenbrement des parcelles. Ceci va transformé le paysage agricole. C’est le démarage de la révolution inductrielle. Cette révolution va permmetre l’innovation de technologie nouvelle (ex : machine à vapeur). On voit alors l’apparrition du machinisme qui va affecter la manière de travailler. Ex : l’industrie textile en angleterre. On voit aussi la multiplication des haut fournaut. On constate également que dans ces deux secteur (métalurgie et textile) il y a une augmentation de la demande. §1 : l’agriculture Au XVIII l’agriculture a une place prépondérent e dans l’économie française. La population rurale représente 85% de la population. Globalement le système agricole apparaît figée mais on voit peu à peu une croissance A°) Les structure traditionnelles 1°) Les survivances du régime seigneurial A la fin de l’ancien régime le régime seignorial s’est maintenu en tant que structure sociales. A partir du XVI on ne trouve plus que très peu de cerf. Par contre la sancive éxite toujours se qui reconnaît au seigneur un droit sur la terre. Cette taxe éxigte toujours au XVIII mais il est vexatoire car il ne se justifie plus. Les paysans continus également à versé la dime et les champars. Les droits s’entremêlent monarchie, égise, artocrates. Les impots que les paysans doivent payer au roi augmente. Pour récolté les impôts, le roi utilise des fermiers généraux. Il se démunaire par la différence entre ce qui est du et se qu’ils s’arrive à récolter. Les paysans sont très taxés mais il y a une minaurité qui est celle des fermier qui arrivent à l’enrichir et donc à louer de vaste domaine. On voit donc la formation d’une petite caste de paysans riche et donc d’un capitalisme agraire. Mais ces paysans sont peu nombreux car la plus part des paysans vivent très modestement, on peu même dire que la petite paysannerie s’appauvrie. À la fin de l’ancien régime, il y a très peu de capital investit dans ce secteur 2°) Des modes d’exploitation traditionnelle. L’agriculture n’a pas tellement évolué depuis le moyen age. Elle est principalement céréalière qui s’explique par le fait que le population s’en nourisse quasiment exclusivement. Commen au moyen age les rendement sont faibles car les sols très exploiter ne sont que très peu enrichie en engrais. De même les terre continue d’être exploiter selon un mode collectif du au problême de l’assolement triénal. Au XVIII siècle on asiste en angleterre à une tranformation du système agricole avec le cloturage des térrain. L’bojectif est d’augemnté la 19 rentabilitée des terres. La France qu’en a elle ne suit pas le mouvement. Les modes de cultures restent traditionel. Les prix varient fréquement en fonction des récoltes et en fonction des diverses ponctions exercées. Ceci est encore accentuer par le cloisenement du marché en France, ce qui fait que dans certaine année une région peu manquer de denrée alors que dans une autreson peu être exedentaire sans qu’il y a ai de transfère. B°) L’amorce d’une croissance agricole. On voit que les intellectuels et l’autorité publique essaie de changer les choses. Il y a une ammorce Section 2 les échanges A°) Les marchés intérieurs 1°) Les lieux d’échanges isolés. Il y a comme dans le moyens age une très grand nombre de foires et de marché ; Ces marché se situent dans les villes et sont souvent de petite taille et permettent l’échange de biens de consommation immédiates. Qu’ils s’agissent des marchés ou des foires ,ils restent des lieux d’échanges officiels qui reste sous le contrôle des autorités publique. Ils permmetent de rassembler une offre et une demande très disperser. Sous l’ancien régime il y a une multitude de marché locaux. Les villes sont également des lieux d’échanges. Elles sont très rarement sous l’ancien régime des centres inductrielles, elles sont tout d’abord des centres administratifs, culturel, commerciaux et comme au myen age les villes sont toujours des zones d’activitées commerciales intenses. Elles ont un role de dinamisation de l’économie, elles permettent l’évolution de la production des campagne. Le grands commerce est pratiquer par le négociant, les grossistes, les banquier, les armateurs. Cees gens ont des activitées multiple et menent des opérations mais s’occupe aussi de faire de l’assurance ,du change ou du commerce de commission (il execute des ordre donné par un autre marchant). Ils se déplassent dans les rares endroits ou l’on peu faire du commerce de grtandes échelles. Mais dans le royaumes il y a une multitudes de petit marché mais est très peu communiquant entre les zones. Le cloisonement des marché est accentué par la différence de mesures entre certaine régions. De même les transport reste difficile et chère. On utilise les vois d’eaux. Autres difficulté : existence de taxe sur le circulations des marchandises, il y a des payages, des douane intérieur et des octroie à la porte des villes. Les payages au XVIII sont très nombreux et situé sur les routes. Il y a également trois zones douanière dans le royaumes on l’on doit payer des taxes. Celle ci ne seront suprimer que par la révolution. Toutes ces taxes peuvent atteindre 30% du prix des marchandise. Ces taxes sucite une très intense contrabande qui est véritable plaie comme pour le sel, le tabac et le coton. L’ensemble va entretenir les morcellements des marchés. Le gouvernement monarchique vas essayer de prnedre des mesures pour y remédiers. 2°) Les mesures d’améliorations tentée par le gouvernement monarchique Une des première mesure prise va être matériel : facilité le transport des biens en améliornat les transport routier en contruisant de nouvelle route et en baissant le cout des transport. Le pouvoir monarchie va s’intéresser au tracer des routes et va les classer par ordre d’importance. Ces routes hiérarchisers vont être équipé différement selon leur importance. L’état pour réorganiser le réseau routier va instaurer un budjet spécial. Il va crer en plus une administration particulier afin de s’oocuper du réseau routier. Les progrets sont lent et le 20 réseau ne s’améliore que peu à peu. On constate des porgret que sur les grands axes. On va réussir à réduire le cout de transport dans tout le royaumes. Le gouvernement va tenter de racheter certain payage et de les supprimer et si il ne paut pas les racheter il vérifit sa légitimité. Dans la deuxième moité il n’éxite plus que 2000 payges dans le royaumes. Lorsqu’on rapport le commerce intérieur par raport au commerce extérieur on constate qu’il replésent 4/5 des échanges. Même si il est important en volume il ne génère que de petit profit à la différence du commerce extérieurs. B°) Moyen d’échnages 1°) La monnaie Conceernant la monaie métalique, il faut évoquer la cirvulation des métaux précieux à partir desquels on la crer . Au début des temps moderne jusqu’au XVI on constate un afflut d’or en Europe issus des colonies. En suite jusqu’au début du XVII , il y a une diminution de l’or por l’argent. Le cuivre qu’en a lui est aussi dans une période de valorisation car il est utiliser dans l’industrie et pour la frappe de la petite monnaie. Pendant le XVII il y a une crise du numéraire. A cause de l’accroissement des domaines coloniaux et donc des échanges, il n’y a plus assez de monnaie. Au XVIII il y a une reprise du numeraire grace au mine d’or du brésil. Il faut retenir que pendant les temps moderne, l’extraction, l’exploitation, et la mise en circulation des métaux précieux est un pent important de l’écoomie. Le XVII est une période de ralentissement économique car il y a beaucoup de guerre. Il y a également une instabilité monétaire, sauf en Angleterre. Au début du XVIII on tente une réforme monnétaire en France, celle ci va assainir la situétion et onrevient donc a ue certaine stabilisation. Mais les moyens de payement reste insufisant. Même après l’afflue de métal précieux du Brésil , il manque toujours de la monnaie. Cette crise a favoriser l’apparition de la monnaie fiduciaire. Elle va provoquer la transformation du crédit. On voit aussi l’apparition de la lettre dechange. C’est une oppération qui met une relation plusieur personne . c’est une oppération de change et une oppération de crédit. Elle va évoluer car elle devient négociable, elle va donc finir par circuler comme un billet. Cela est rendu possible par deux moyens c’est l’endossement et le réescompte. Le lettre de change se développe e plus en plus au cours du XVII et XVIII est elle devenue le moyen principale pour faire circuler des capitaux dans le grands commerce. Les billet sont utiliser deans l’ancien régime pour les transactions de moidre importances. Tout les billet ne sont pas de nature commercal car il peuvent être utiliser entre particuliers. Il n’y a pas qu’un seul billet. Le billet de banque vient de l’origine du billet existant déjà sous l’ancien régime : le billet au porteur, il est utiliser dans le commerce et entre les particulier. Il met en relation que 2 personnes. A la différence de la lettre de change il n’y a pas de condition de lieu ni de monnaie. Le payement peut donc être éffecctuer par le souscripteur lui même et au même endroit. L’état aussi a voulu émettre des billets sous l’ancien régime ; le sysème le Law (john law : ministre des finances sous Louis XV). C’est un système de billet destiner à redresser l’économie du pays. John Law veut crer des moyens d’échanges abondant et qui peuvent ciruculer rapidement. La monnaie va avoir un ro^le très important pour JL, a se point qu’il estime qu’il faut s’assurer de sa quantité et non de sa qualitée. Il pense que la monnaie va trouver son souffle par les éhanges qu’en va engendrer. Concrétement il va essayer de mettre sur pied une banque a qui l’état va donner le privillège d’émetre des billet de banque remboursable à vue et au porteur avec une valeur nominale du billet fixée sur une monnaie de compte. C’est la première banque étatique française. Le procédés est bien accepté par le publique. Au début la banque est privée puis elle va devenir publique : Banque Royale. 21 Elle va emmetre une quantité d’argent de plus en plus importante. L’activité banquère marche bien mais elle soutenue également par le commerce coloiale. Mais les actions qui soutienne la banque chute et on assite donc a une crise de confiance vis à vis de la banque. C’est donc un echec financier cuisant qui va susiter une méfiance des français vis ç vis des billet des banques. Avec la chutes de la banque royales, la France pert sont premire organes régulateur de l’économie.On revient au espèce monétaire que l’on connaissant avant. 2°) Institution financière qui existe sous l’ancien régime Les deux nouvelles institutons financière sont la bourses et le système banquaire. La bourse : Le marché des capitaux se développe dans une contexte libérale et d’industrialisation. Cela se matérialise par la création de la bourse dans toute les grandes place économiques. La première est celle d’amstèredam. Celle de Paris sera créer en 1724. La bourse ne s’occupe pas seulement des actions et des créance, on vend aussi des marchandises en gros et des valeurs mobilière. Ex : la compagnie des indes : ces actions sont coté en Bourse. En réalité les société cotées en bourse sont très peu nombreuses. Les acteurs sont les particuliers (négocians , marcahnt, banquiers), les officier (ceux qui on acheter une charge à l’état que l’on appel office) Ils interviennent obligatoirement sur des actions émises par l’état). La banque : pendant les temps modernes l’activité bancaire est du au négoc. Néanmois un certain nombre d’entre eux finissent par se spécialiser dans l’emprunt et le crédit. Ceci est rendu possible par leur réputation de confiance. Il n’y a aucune condition ni réglementation de l’activitée banquaire. La banque est ouverte a tous y compris aux nobles. AU XVII siècle la grande ville de l’activité banquaire est paris. C’est la plus importante en Europe.Les banque parisiennes sont structurer sous la forme de sociétée de personnes . Les plus connus au XVIII : Banque vernet : elle a des client dans plus de 70 villes europenne. Elle a une caisse de dépôt, elle pratique le crédit a court therme…) Après l’échec de Law on ne voulait pas recommencer les même érreur mais l’état se rendait compte d’avoir un organe de régulation et donc d’avoir une banque publique. L’angleterre au XVII c’était spécialisé dans la pluralitée des banque. Plusieur banque émettait des billet différents. En France, conformément a sa mentalité s’ext orienter vers une seule banque avec un monopole mais l’état ne voulait pas éffrayer les gens avec cette nouvelle tentative, on n’a donc utiliser une autre dénomination que banque : la caisse d’excompte, sous trugot en 1776. C’était une société en commandite par action qui était chargé de recevoir des dépôt et de pratiquer l’escompte (présenter son titre avant échéance). L’idée était de créer des garanties pour soutenir les billets émis par la caisse d’escomptes. Cette caisse a recu le monopole de l’émission des billet. Lors de cette seconde expérience, l’utilisation des billet était réserver au gens fortunée, la banque émettait donc des billets de grandes valeur. Ces grosses coupure circulait entre négociants et gens fortuner. La caisse d’escompte avait aussi pour mission de réguler l’escompte c’est à dire qu’elle était chargé de réguler le crédit à court therme. C’est une demande de turgot qui permet de réguler le taux de rémunération du crédit commercial. A paris le commerce à pu trouver des crédit peut cher ce qui à stimuler le commerce. Le système était assez saint au départ mais il y a une dérive, l’état c’est rendu compte des avantage qu’il pouvait tirer de cette caisse d’escompte et va peu à peu être utiliser pour aider le gouvernement et en contrepartie il va autoriser la caisse à émettre plus de billet. Les emprunt de létat se sont multiplier , il est trsè endété à la fin de l’ancien régime. La caisse fin par avoir une très mauvaise réputation au près de commerçant. Elle va être dissout pendant la révolution en 1793. Il y a donc eut deux tentative de banque centrale sous l’ancien régime qui on toute les deux échouées. Cependant la caisse d’escompte à eut comme effet pôsitif de réabituer au billet de banque. On peut dire également que la caisse d’escompte est l’ancètre de la Banque de France. 22 Après tout cela (guerre, expérience bauquaire ratées …), le déficite des finance pubique va s’accroitre. L’état va donc émettre des emprunt public mais a force personne de prète plus rien à l’état. Pour trouver une solution au problême financier le roi est obliger de convoquer les états généraux. Ils s’ouvrent le 5 mai 1789 mais la question financière ne sera pas résolue. §3 : L’industrie B°) L’industrie et le commerce La convention prend des mesure drastique, elle fixe les prix. A la fin de septembre 1793 l’assemblée va votée la loi du maximum général. Elle va fixée de manière autoritaire le prix des denrées mais aussi le prix de salaires. Elle prend les prix de 1790 qu’elle augmente d’un tiers et les salaires de 1790 qu’elle augmente de la moitier. On observe l’augmentation de la dissète après cette loi car le marché noire se développe et les denrées sont de plus en plus rares. Une commission est créer qui est chargé de créer un tarif général. Ceci consiste a tarifier de manière légale, les prix et les salaires. Malgrés cela le marché noire continue à se développé et les salaires trop bas suscite des révoltes chez les ouvriers. Toutes la vie économique du pays (extérieur et intérieurs) est régie par deux commission, celle de l’agriculture et celle du commerce. C’est a cette époque que s’installe la térreur. L’état se fait également propriétaire des insdustrie liée à la guerre, il contrôle l’industrie privée en fixant les prix et les salaire et contrôle également le commerce extérieur. Mais la convention ne réussit pas à amélioré la situation. L’instrue et le commerce sont directement affecter par les changement politiques et cours. Il y a également à cette époque une crise du numéraire qui s’ajoute à une crise du crédit. Tout cela se conjuque et finit par bloquer le commerce et l’industrie. La France va mettre un certain temps pour retrouver sont niveau de 1789. La production industrielle retrouvera son niveau en 1789 an 1814. C°) Les finances A la fin de l’ancien régime, le pays est au bord de la banqueroute. Mais les problême financier ne sont pas endiguer par la révolution. Les constituants ont réformer le système fiscale, cela s’avert néttement insufisant car les impots ne rentre pas dans les caisse de l’état. L’assemblée est donc obliger de recourir a des expédiant pour trouver de l’argent rapidement. Ces expédiant sont - les empruns publiques - dons a l’état : au début la noblesse et la bourgeoisie vont faire des dons assez généreux - contribution patriotique : impots révolutionnaire qui serai payer spontanément : résultat très insuffisant et cette contribution va devenir obligatoire A plus long therme, la solution trouver par les révoltionnaires est de trouver de l’argent par la vente des biens nationnaux et des assignats. Ces ventes constituent les principales ressource de l’état pendant la récolution. Dans les biens nationaux on trouve les biens confissquer à l’église, les biens de la noblesse émmigré et ceux des condamné par les tribunaux révolutionnaires. C’est parce que la nation avait confisqué les biens de l’église que l’état c’était engager à rémunérer les prêtre. La somme des divers enpruns publiques avait été divisé en titre les assignats ,ceux ci corespondait à l’intérêt des empruns publiques. Tout a basculé lorsque les assigant sont devenu une monaie légale. On commencé à leur donné unn cour forcé puis on a supprimé le cout des intérêt qui pésait sur eux. Il sont devenu de la monaie. 23 La révolution se met à émettre des billets de plus en plus rapidement. Il arriva un moment ou les billets n’était plus soutenue par les biens nationaux. De plus lorsque les biens étaient vendus, les assignats correspondant n’étaient pas retirer. Il y eut donc une énorme inflation environ 45% e 1790 et 1795. Cette politique fut une catastrophe, le cours des assignats s’éffondre. Les principales ressources entre 1792 et 1795 sont la vente des biens de émmigré, les buttins de guerre et ses assignats qui se multiplie. La période révolutionnaire se caractérise par un désordre national. De plus l’impôts échappe à l’état centrale et donc en 92, 93 ,94 l’état continus a émettre des emprunts qui sont maintenant obligatoire. La ressource la plus importante reste les assignats. Malgrès ces diverses mesures, la convention ne parviendra pas à remettre de l’ordre dans les finance. Thermidoriens La politique des thermidoriens est modérée. Ils savent qu’il ne pleuvent plus maintenir se système d’économie dirigée. L’opposition augmente car l’opignon est très défavorable à ces mesures autoritaire et par conséquant le gouvernement thermidoriens supprime la loi de maximimum général et on rétablie la liberté du commerce extérieur. En matière financière, les thermidoriens éssayent de rétablir la situation mais l’inflation est toujours très importante. Il n’ont pas le temps d’attendre les résultat de leurs actions car ils sont chassé par le directoire (pouvoir éxecutif confier à 5 directeur). Le directoire va réussir à régulatisé l’économie et les finances. La ligne général du directoire est le libéralisme conforme à la bourgeoisie. A partir de 1795 c’est la bourgeoisie qui domine le pays. Au point de vue agricole, le directoire laisse les paysant complétement libre mais il y a tout de même une suveillance. Du point de vindustrielle, c’est également le laisser faire qui est instaurer. L’état a une attitude insitative ; Du point de vue du commerce cherche à moralisé les pratique commerciale. Malgrès ces différentes mesure, l’activitée économique n’est pas très rayonnante, c’est surtout dans le domaine financier que le directoire a été éficace. Son action principale est la création du franc en 1795 face à l’échec financier des assignat. A cette époque, le franc est seulement une unitée de compte. On brise publiquement la planche à assignat qui était sysnonime de ruine. Accéssoirement le gouvernement réorganiser va les salaires. Il institue le payement des salaire en focntion de la valeu du blé. Le directoire prned donc des mesure saine mais concrétement les finance ne sont pas au beau fixe. Le gouvernement a donc encore recourt aux empruns. Il réorganise le système fiscale et met un budjet stable. Malgrès cela la situation s’agrave et finalement en 1799, le directoire est aculé à la faillite. Cela dit , ce gouvernement pose les base d’une organisation financière saine. En 1799, il y a le coup d’état de Bonnaparte Section 2 : Le consulat et l’empire Le directoire avait tenté de redrésser la situation, mais elle s’améliore pas vraiment. Cette situation s’arengera sous l’enpire et le consulat (1799-1804). La confiance va renaitre sous le consulat. On attend que Napoléon pacifie le pays. Napoléon va bénéficier d’un contexte favorable : ,victoire militaire (paix), nouvelle monaie (assainissement financier) §1 :organisation financière L’action du premier consule va porter sur trois point : -la création d’un administration des impot directe - dévelepoment des impots indirecte 24 - la réorganisation des crédit 1°) administration des impots directe Napoléon a réformé le système fiscale. Il va confier les impots à des fonctionnaires spécialisés. On va renoncé à une collaboration spontané des impots et on va travailler vers une organisation très forte et structurer. Il va créer une administration des impôts dans chaque département. Toutes ces organisation départementale sont diréectements réliées au ministres des finances. Ces nouvelles administration vont rattrapé le retard qui à été pris durant les année précédente. Grâce à ces administrations en 1801, les impôts qui sont voté sont mis en recouvrement à la fin de l’année. A partir de 1804 on décide que tout les gens qui percevront les impots, nommé sans exeption par le premiers consul. Cela permet d’assurer un contrôle directe sur la perception des impotes, L’état se réaproprie définivement des contributions directe. Le pouvoir central echoisit toute les personne qui s’occupe du rétablissement et du recouvrement des impots. Les impots directe de l’époque napoléonnienne sont - l’impots foncier : c’est un impôt créer par le révolution et maintenu s par napoléon. Napoléon va améliorer de système. Il créer de cadastre - impôts sur la fortune : contribution directe mobilière. - On rétablit la patante : un impôt sur l’activitée commerciale - On créer l’impôts sur les portes et les fénêtres Napoléon crer les outils néssassaire à la gestion des impots. Dans l’ensemble, il y a eut une diminution l »gère des impots directe, mais cette diminution est compensé par les impots indirecte B°) Les impots indirecte La plus part des impots indirecte avaient été supprimé par la révolution. Le directoire et le consulat vont les rétablir. On va donc otorisé la perception des octroit sur les produits de première nésséssité et on va rétablir une taxe sur les produit alcoolisé. On rétablit également l’impôt sur le sel. Et quelques années plus tard on instaure le monopole du tabac qui est subit à une taxe. Une fois ces impots rétablis, il faut les gérer. On va maintenir l’aincien système qui consiste à confier aux régis la gestion des impôtes indirecte C°) La monaie , le crédit et la banque de France Il a jouer un rôle centrale dans la restauration du crédit d’état et de la monnaie. Il fait voté en Mars 1803 un loi consernant le France. C’est la charte monétaire de 1803 : - Le Franc devient l’exclusive unité d’échange. - La valeur du franc sera stable pendant un certain nombre d’année. Très vite le franc devient la meilleur monae européenne. C’est une monaie saine et stable Napoléon va s’attacher à réduire la dette publique pour cela , il créé la banque de France en 1800. AU départ la banque de France est une banque privé. Elle a un capital très important qui est divisé en action et que le publique peut aquérir. De plus les dirigeant sont élus par les actionnaire. Dès l’origine elle va bénéficier du soutient de l’état. Ces relations vont changer peu à peu. Au debut, elle gère le dépôt, l’escompteet peut émettre de billet. Au début l’état est un client mais cela va changer peu à peu. L’état lui a ccorde le monopole d’émission des billet de banque, en suite Napoléon va décider que les dirigeants seront élus par les 200 actionnaires les plus riches, puis il va instaurer un gouverneur nommé directement 25 par Napoléon. Tout cela fait que la banque de France perd son status de banque privée. Il y a aussi création de sucursalle de la banque de France dans les provinces. C’est comme cela entre 1804 et 1808 que la banque de France est devenue La banque de La France. Les remières années sont couronnée de succés , ensuite la situation est relativement bonne jusqu’en 1812. en suite la situation se dégrade. Mais elle reste une institution éfficace jusqu’au de but du 20 siècle. Elle va permettre de maintenir une stabilité. C’est la grande réussite de la banque de France. §2 : Les secteurs d’activitées A partir 1799 l’économie de la France se relève mais les résultat varient selon les dommaine. A°) l’agricultures En matière agricole, le gouvernement intervient peu (c’est l’indice d’un vision un peu percantiliste instaurer par napoléon). Ces interventions se limite à l’encouragement de la culture des pommes de terre et de la bétrave a sucre. C’est aussi le début du recul de la jachère qui vient du fait qu’un sort d’un système collectiviste et que l’on utilise de plus en plus d’engrais. En ce qui concerne l’élevage, Napoléon s’y interesse dans le dommaine ou cela peut servir à l’armée. Il créer donc des écoles vétérinaire et de haras. C’est donc une intervention limité dans le domaine agricole. Pendant toutes la période Napoléonienne, l’agriculture reste stationnaire. B°) L’insutrie Le gouvernement se trouve beaucoup plus interventionniste. Napoléon n’a cesser de mener des campagnes militaire et donc tous se qui concerne l’armement et les munitions est très importants à ces yeux. Napoléons veut dominer l’Europe, mais le vent tourne à partir de 1812 contre la Russie. Ces guerres on causé la mort direct ou indirecte de 800 000 mort Français durant le consulat et l’empire. Durant la révolution, il y aurait eut 600 000 morts. Au total entre 1792et 1815 1 400 000 hommes disparaissent en France. On conprend donc que dans ce contexte l’industrie militaire est très importante ; de plus Napoléon veut faire de la France une puissance industrielle très forte. Napoléon Créer le livret ouvrier qui perméttait de les surveiller. Consernant les entrepreuneur , il fait voter une loi en 1810 qui réserve la propriétée du sol à l’état. C’est à partir de 1810 qu’on met en place le système de concéssion. Les matières première nésséssaire à l’industrie ont du mal à rentrée en France à cause des guerre de plus la France est isolée et donc les innovations technologique ne viennent jusqu’en France. En effet les autres nations européennes ont instaurées un blocus. On voit l’apparition de l’industrie chimique que l’état va aider. Napoélon en matière industrie à sut alier le dirigisme et le libéralisme. Il faut retenir que l’économie napoléonienne est soutenus par l’activitée militaire et par l’instauration d’un certain protectionnisme. La France est un système économique artificièle. A la fin de l’empire la France possède quelques centre industrielle modernes. Quand la France va s’ouvrir au monde, certain secteur vont s’éssoufler et disparaître. C’est le cas de l’industrie textile. Pendant la période Napoléonienne,la France va adopté une attitude protectionnisme.Ce protectionisme va se pourvisvre après le chute de l’empire. 26 C°) Le commerce Dans un premier temps napoléon veut avoir la main mise sur le commerce. A partir de 1800 et 1803, il y a une multiplcation des traités de commerce entre le France et les autre spays européens. A partir de 1803, Napoléon veut organiser totalement le commerce, c’est àd ire que lui même décide des biens exporter et importer ainsi que sur les prix. Il considère le commerce comme une arme politique. Aucun commerce se fait entre la France et l’angleterre. Toute sa politique commerciale va s’orienté vers le but de faire chutter l’angleterre. Par réaction, la France est sujette à un blocus. Ces éffets se font rapidement sentir et en 1806 le commerce extérieur est très toucher. La croissance économique va donc chutter. Entre 1812 et 1814, le commerce extérieur en volume est deux fois moins important du’en 1789. Il n’y a plus de relation entre les nations européenne et entre les colonie dont il va d’ailleur perdre une partie. En rechache le commerce intérieur va bénéficier du protextionisme. Sur un plan matériel, il est favoriserpar les progret du réseau routier, elles sont hiérarchisé, et donc mieux entretenus. On généralise le système métrique et on réforme les tribunaux de commerce. Napoléon va travail sur les instruments qui permettent de développer le commerce. Napoléon fait reuve de dirigisme sur le commerce intérieur. On règlement le commerce des denrées. Il va prendre des mesure autoritaire sur les produit que l’on peut exporter ou pas. Il va aussi faire en sorte de développer le crédit. Quand Napoléon quitte le pouvoir il a asainit la situation et a créer les outils permttant une reprise monnaitaire et une reprise du crédit. Vendredi 28 Novembre : 15h10 : « je ne veux pas passer pour un boureau… que je suis » Les mesures favorable à une rerpise économiques - consolidation du Franc - création de la banque de France qui détient le monopole de la création des billet, qui aide le commerce vaec lescomte et qi fait des avance au trésor publique - L’encouragement de l’industrie : il y a une augmentation du machinisme et un début de concentration des entretrises Ces mesure sont contrebalancée par les effets des guerre : - le blocus contre les anglais que aboutit a une corte de protectionisme farouche - perte des colonie - même si Napoléon a une administration performante et a un groupe industriel porhce du régime, pour la politique napoléonienne, la bourgeoisie n’est pas satisfaite des résultats et se désolidarise du régime. Entre 1789 et 1815, les décision les plus importante sont dans le domaine sociale et politique. Il y a tout de même un point de rencontre entre la politique et l’économie : c’est le statut de la terre. L’honnête homme, c’est le propriétaire terrien qu’il soit petit ou grand : c’est le bourgeois. Le visage de l’entrepreneur va devenir de plus en plus important a mesure que la France va s’industrialisé. Chapitre 2 : Le XIX siècle Entre 1815 et 1914, un fait nouveau intervient, la croissance économique ne repose pllus sur l’augmentaition de la productivité agricole mais u rl’industrialisation. L’industrie devient moteur del’économie. C’est le phénomène caractéristique du XIX siècle (1815 –1914) Section 1 : L’industrialisation 27 Le XIX, sur le plan militaire est relativement, perturber seulement en 1870 par la guerre contre la Prusse. C’est donc une période ou l’économie peut s’panouire plus facilement. Ceci va profiter à l’industrie §1 : Les trois phase de l’industrialisation A°) 1815-1848 Durant cette période l’industrialisation démarre mais elle n’est pas globale. Elle ne concerne que quelques secteurs : les secteurs produisant des biens de consommation courante : le sucre et les bougies. Le second secteurle plus dinamique est celui de l’industrie textile. Il y a deux catégorie : les tissues traditionelle qui sont en expantion et les tissus moderne (coton) qui sont produit de manière plus industrielle et qui est donc le secteur de pointe de l’industrie textile. La métalurgie se dévelope également. Elle sert surtout a créer des biens de consomations courante. Les usages des biens métallurgique ont des usage qui tendent à se diversifier. Les bassins traditionel sont toujours le centre de la France et lemassif centrale. De nouveau bassin font leur aspparition dans le Nord qui vont distancer les anciens Bassins. Il y a deux marqueur de la croissance : - le nombre d’employer dans le secteur industriel augmente - les investissments dans le secteur industriel augmente a partir des années 1820, ce qui permet l’équipement de certain secteur d’activitée ; L’industrie se développe mais elle reste néanmoins relativement traditionnelle. On considère que l’industrie se coule dans les strucure traditionelle se qui a amorcer un développement beaucoup plus important. Ce développement à lieu dans les année 1850 et 1860. B°) 1850 – 1860 Cette décénie à été déterminant e dans le dveloppement économique rancçais. L’industrialisation va se transformée. C’est un tournant dans l’industrie mais égalment dans le système banquaire, se qui permet de financer l’industrie et le commerce. Le chemin de fer conait une croissance très imortante, il s’étant partout en France. C’est le chemin de Fer qui permet le développement du commerce et de tirer l’industrie. L’agriculture est également très performante. Cette décinie est appelé la décénie dorée. Dans l’industrie ,la métalurgie a maintenant le rôle primordial. Il y a une modernisation de l’ensemble du secteur métalurgie ; on utilise le coke au lieu du bois. On assiste aussi a la mécanisationdu secteur métalurgique. Ces facteur font faire en sorte que la production va augmenter. La France sera bien placé au niveau Européen. On découvre également l’acier. Dans le secteur de la métalurgie on assiste à la formation de « trusts ». Au XIX, la métalurgie va faire un bon fabuleux. Il y a plein de débouchée nouveau : dans la construction navale, dans la construction des ponts, immeubles, halles, gares, monuments (tour eiffel). Les deux orientations principale de la métallurgie visent la construction du chemin de fer (rails et locomotive) et la construction de machine à vapeur dont l’industrie dans son ensemble commence a s’équiper massivement. On constate en outre, une augmentation de la productivitée et une augmentation des investissement qui s’intensifie pendant la décénie dorée. Grace a cette mécanisation, la valeur des produits industriel est modifier. Dans un produit fini, la part du capital est plus importante que la part du travail. 28 Cette décénie est une phase d’industrialisation accélérer de la France. On voit apparaître une période d’éssoufflement jusqu’en 1890. on enregistre les premiers signe de la reprise dans les année 1890. On assiste donc à une nouvelle croissance de l’industrialisation. C°) 1890-1913 Il existe plusieurs signe de le reprise. On voit apparaître de nouveau secteur d’activité industrielle comme le secteur automobile. Très rapidement la France est le premier exportateur de voitures dans le monde. Le secteur automobile est l’un des piliers fondamentaux de l’industrie Française. Les principaux constructeur sont Peugot, Renaut et Panhard. C’est déjà un secteur qui est dinamique dans le domaine de la recherche. Dès le dépard les automobile sont chère, mais très étonement, l’automobile n’est pas réserver à une élite. Le secteur de l’automobile a aussi des repercutions dans d’autres secteurs : métalurgie, cahoutchou. Il est donc en tête de l’économie française à la fin du XIX siècle. En raison de l’accroissement de la demande en automibile oblige les constructeurs a transformer les ateliers initiaux en usines. Cette méthode est basé sur le fordisme (taylorisme). Cette thèse est basé sur le temps qu’un ouvrier met pour faire une tache seule et unique : travail à la chaine. C’est donc ford qui met se système en place. Dans ses usine chaque ouvrier effectue une tache très simple. Il faut donc créer de grande usine pour réunir tout les ouvriers nécéssaire. Cela marque le commencement de la production de masse (début XX). La production de voiture a stimuler la production de matère première nécéssaire à la fabrication de ces voitures : acier et cahoutchou. Entre 1890 et 1913, de nouvelle industrie se développe comme l’aéronautique et l’électricté. La consomation d’électricité est en très peu d’année multipliée par 5. AU XIX on invente la pile électrique, le générateur, la dynamo et les premières centrales hydroélectriques. En second lieu, des activitée industrielles traditionnelle conaissent un regain d’activité comme l’industrie textile (coton) et la métalurgie. Le secteur métalurgique redémare en raison du fait que la métalurgie diversifie son activité. Sur un plan géographique on constate que l’industrie se concentre. De ce fait, cela facilite les entente (cartels). Cela vaut pour la métalurgie et pour toute les activitée d’extractions des minerais. Les cartels repréente un caractère défensifs et sont le plus souvent tolérer voir protéger par les tribunaux par ce qu’on y voit un moyen d’améliorer la production et d’améliorer les ventes. En revanche il y a une faibles concentration des entreprises elle même. En réalite il n’y a plas vraiment de règle fixe sur la concentration industrielle. Globalement entre 1890 et 1913, l’industrialisation progrèse mais on ne peut pas dire que la France est une économie entièrement industrialisé tout simplement car la part du secteur agricoleest encore trop importante. Finalement, il faut retenir que le XIX est période de grande évolution technologique : bateau à vapeur (transforme le commerce international), le télégraphe ( premier cable reliant Angelterre et France : 1851, puis Europe-Amérique : 1866), le téléphone (1880) , la radio et de la télévision et enfin la réfigération (la première conséquence concerne le commerce international de la viande). Le monde matériel va assez peux évoluer jusqu’en 1970. §2 : Le soutient de l’industrialisation A°) L’essor du réseau des transport C’est une activité éscenciel qui a été orchetrer par l’état. Cela a permit la maitrise de l’espace national. Jusqu’en 1830 l’esentiel des changement a consiter à l’amélioration des moyens de comunication éxistant comme les routes, les coixd’eau et les canaux. 29 1°) amélioration des route Après la révolution et l’empire les route sont dégradés. Elle font donc l’objet d’un mesure de rénovation mais elles ne sont pas considérer comme unne priorité. Cependant on peut noté la réduction des cout des transport terrestre, par conséquent le traffic des marchandise et des voyageurs va augmenter. Il faut aussi noté l’invention du mac Adam. Ces routes sont très vite concurencé par les chemin de fer 2°) les voie d’eau Elles sont dans une phase de déclin ; en revanche l’état s’intéresse de plus en plus aux canaux car on va les utiliser dans un but industrielle. Ces canaux vont permetre le désenclavement des régions industrielles. Il faut surtout retenir le construction et le grand dévelopement des voie de chemin de fer. C’est la grande priorité de l’état au XIX, ainsi que les entreprises. La construction commence en 1837. La construction du chemin de fer est Européen. Les premiers troncon ont une finalité industrielle. Tout va changer lorqu’un on se met à transporter des voyageurs. Les frère Péreire décide de créer une ligne allant de Paris à saint germain en laie. En 1837 cette ligne est inaugurée par la famille royale et imédiatement c’est un grand succés. On s’appercoit que c’est un transport qui permet de gagner du temps et de l’argent. A partir de ce moment la d’autre capitaliste vont s’intéresser au chemin de fer comme les Rotschild qui vont construire la ligne Paris Versaille. Peu à peu les chemin de fer vont devenir affaire de l’état. En 1842, l’état vote une loi qui va définir des status des chemins de fer en France. Cette loi décide que les entreprise privé pourront entreprendre ces création. Mais on décide de mettre sur pied des conséssion, qui vont être accorder après présentation de projets. L’état va donc observer un droit de regard sur le ligne et les prix pratiquée par les entreprise. L’état va même aller jusqu'à imposer les prix et le tracé. L’état a contraint les entreprises a se fournir en acier Français malgrès qu’il soit plus cher. Les lignes qui sont créer sont des lignes qui partent de paris. Le rail attire énormement de capitaux. A partir de 1842, il y a 28 entreprise qui créer des lignes. Ce sont des SA dans lesquelles ont peu acheter des actions. L’achat d’action est devenue le placement premier de la bourgeoisie. En 1860, le réseau est quasiment achever. Le premier effet de la création du chemin de fer est la stimulation du secteur métalurgie mais surtout la création d’un marché nationale unique non cloisoné. Il permet aussi de fournir beaucoup d’emplois pendant environ 25 ans. Il y avait a l’origine une 30aine de compagnie privée ; on a voulue réorganiser les chose et dans les année 1850 il ne reste que 6 entreprise dons la PLM (Paris , Lyon, Marseille). Ces compagnies sont très rentables, cela dit, elles ont été très rentable que lorsqu’elles ont exploiter les grandes lignes, dès lors que l’ont se met a créer de petite lignes, les dividende commence a baisser. Face a ces dificultés, l’état va commencer a s’investir de plus en plus dans le développement de ce résaux notament a partir de 1870. L’état se met a subventioner la création de petite ainsi que leur esploitation. Le loide 1842 avait acorder des concetion a des entreprise privée pour des durée limitée. En 1938, les concession arrive a therme. On créer alors la SNCF qui regroupe l’ensemble de 6 société privées. C’est une compagnie publique puisque l’état en possède 51 % du capitale. Cette société a deux mission : achévé la construction et instaurer un budjet équilibrer. Rapidement la SNCF va avoir des problêmes financiers chronique. 30 Le réseau férér permet de développer le transport des denrée agricole. Il existe quelque ombre au tabelau. L’essor du chemin de fer a drainer énormément d’épagne mais cela a nuit a certain investissement dans d’autre branche. B°) L’essor des investissement On décèle Trois phase. Dans la première moitier on voit un essor régulier de l’investissement : 1850-1860. Dans les années 1850 les investissement augmente dans tout les domaines. Il y a en suite un tassement puis un regain à la fin du siècle. Cette croissance est permit par : - la modernasation du système banquaire, - -l’épargne augmente peu a peu et les particulier commence à s’interresser au finances et place leur argent plus facilement qu’au part avant. - l’intervention de l’état ainsi qu’une justice clémente Cette acccroissement est considérer comme un évenement important. Les société sont en majorité des société anonyme ce qui permet de drainer des capitaux. La situation initiale de la législation sur la création des entreprise était faite d’un loi qui obligeait d’avoir une autorisation pour créer une entreprise. Mais en 1867 une autres lois est créer qui permet la création libre d’entreprise. L’autofinancement reste durant cette période assez important Tout ces facteurs font que les investissement augmente. C°) L’agriculture La France au XIX est encore un pays très rurale. Dans lapremire moitier du XIX on enregistre assez peu de progret technique mais cela n’empèche pas qu’il y ai un dévelopement agricole. Les année les plus faste sont entre 1881 et 1896. Cette croissance est probablement a relier avec la modernisation des technique culturales. Pendant la première moirier du XIX on a encore 47% des terres qui sont exploiter selon le système de la rotations triénales. La principales énergie utiliser est la traction animales jusqu’en 1850. Quelques régions se développe avant les autres : la région parisienne et l’alsace par exemple. Dans la seconde moitier du siècle on voit une augmentation des progret technique qui sont surtout dut a de nouvelle culture. Ce n’est que dans la deusième moitier du siècle que la jachère recule. On commence a utiliser l’engrais. Les mode d’exploitation de la terre vont changer. Le métayllage et le fermage recule en faveur du faire valoir direct. On sort d’une agriculture presque ancestrale. Il y a une augmentation des moyenne et grande exploitation. On commence a drainer les sols de plus en plus fréquement. Le bœuf et les chevaux sont toujours l’énergie principale mais il y a un début de mécanisation. Elle n’est pas énorme mais elle sufisante pour peser dans l’économie. On voit également un éxode rural massif. Il s’intensifit à paritr de 1850. Ils partent car il y a une forte préssion démographique dans les campgne qui contribut de faire baisser le niveau de vie des ruraux qui décident alors de s’éxiler. Après la guerre de 1870, il y a une phase de stagnation de la production ainsi qu’une baisse des revenus des ruraux. L’agriculture a été un moteur de croissance pour l’industrie car elle a été demandeuse de produit industriels. 31 §3 : Le raentissement de la croissance industrielle A°) Les manifestations de la décélération La période la plus mauvaise sur le plan économique est la décénie 1880 1890. Quand on éxamine la production de certain secteur ou la consomation de certain produits clé on constate que la France pert sa compétitivité face a l’Allemagne et l’angleterre. Ces secteur sont les secteur agricole et de la fonte. La France se laisse distancer et acumule un certain retard. Le ralentissement du secteru agricole a un éffet néfaste sur l’économie, de plus les déboucher de l’industrie diminue du a la baisse de revenues des ruraux. Les produits français on du mal a s’exporter car à partir de 18970 beaucoup de pays entre dans un système protectioniste. Cela se solde donc par un ralentissement industriel en France. De plus les chemisn de fer sont presque achevés donc le secteur métalurgique décroit. A partir de 1880 le programme de soutient de la création des petites lignes s’arrètes. A la fin du sicèle il y a une stagnation de la mains d’œuvre. Le nombre de faillite d’entreprise augmente, les profit baisse dans la métalurgie et le textile. Or ces différent secteur intéragissent les uns avec les autres ce qui crer un cercle vissieux. Paradoxalement d’industrie se prote mal mais cela va la forcer a voluer. Il y a aussi une augmentation des salaires réels. ; les investissement s’oriente différament, on se prote sur les machine industrielles et cela va conduire l’industrie a se développer dans des sens différents ; c’est le cas des industrie textile et métalurgique. La métalurgie va se développer en Lorraine et le Textile dans les Voges. L’industrialisation ne s’arrète mais elle ralentie. Par contre il y a une véritable crise dans le secteur agricole. B°) Les causes de la décélération La principales cause du ralentissement industriel provient du ralentisseent agricole de 1870. Ce ralentissement est du a la concurrence internationale forte. L’agriculture française ne fait pas du tout le poid. Ceci contribut a l’éfondrement des cours du Blé. La France souvre de l’importaion des céréales a bas prix des pays d’outre mer. Cet aflux a été favorisé en France par un changement de politique doianière car a partir de 1860 la France s’ouvre au libre échange ; dès lors arrive des denrée exteemement compétitive. On voit don les revenus des agriculteurs chutter. Face a cette situation le secteur agricole ne s’adapte pas du tout au contraire, il se referme. L’état ne réagit que très tardivement. Les agriculteur au lieux d’inover et de baisser leur prix, charhe a subvenir à leur propre besoin. Il y a donc une crise dans le millieu agricole, il va y avoir dès lors une baisse de natalité dans le millieu rurale. De plus le libre échange qui est instaurer par l’Empereur Napoléon III qui signe à partir de 1860 plusieurs traités commerciaux avec l’angleterre et d’autre pays européens. Ces différents texte mettent fin à la politique protectioniste française. C’est une politique commerciale qui favorise les bonne entente politique avec la France. Les agroculeurs critique cette politique de napoléon III. Il y a cohincidence entre la signature de ces traité et la baisse des exportations industrielle et agricoles. L’agriculture française est très pénallisé par cette concurrence étrangère. La France recule sur le plan commerciale. De plus la France navique a contre courant car au même moment les autres pays européens se mettent au système protectioniste. A partir de 1880 on met de nouveau en place une politque plus protectioniste. Une autre des causes est la guerre contre la prusse. C’est une défaite cuisante contre la prusse. En 1871, le traité ente la France et la prusse est signé. La France doit versé à la prusse des indémniter très importante. Les années suivante vont être consacrer au versement de ces 32 indemniter. De plus la France pert l’Alsace et la Lorraine qui étaient une source de richesse pour la France. Elles abritaient une bonne part du secteur métalurgique ainsi que de nombreuse entreprise industrielles. En 1871, la métalurgie chute violement et ne se remettra de cette perte qu’en 1880. Concusion : la classe ouvrière La croissance de la classe ouvrière suit la progression du secteur industrielle. Les conditions de vie des ouvriers sont très dure. DU XVIII au XIX on passe de l’atelier a l’usine. On voit le développement du prolétariat (ceux qui ont pour seul biens leurs enfants). Leurs conditions de vie sont palpable grace aux écrits de Dickens et Zola. Ces conditions difficile se concrétise par des temps de travail très élevé, pas de congés payer et pas de retraite. On assiste néammoins a une ébauche de protection sociale. Elle se caractérise par le fait qu’elle est proposer par des bourgeois et non pas l’état. Par contre, le gouvernement, sous la préssions de ces gens va prendre des messures. Le livret ouvrier créer par Napoléon comportait des annotations noté par les patrons et la police. Ce livret est supprimer a la fin du XIX xiècle en 1890. C’est un libertée de mouvement qui est accorder au ouvrier. On voit aussi la suppréssion de le loi le Chapelier qui interdisait les regroupement d’ouvrier en 1864. A partir de 1864, les ouvriers ont le droit de s’assembler pour faire valoir leur revandication. On commence a réglementer le travail de enfants en 1841, on réglemente le nombre d’heure que peuvent effectuer les enfants. Concrétement les enfant de 12 à 16 ne devait pas travailler plus de 12 heures par jours. On va également réglementer le travail des femmes. L’assistance sociale n’éxiste pas au début. Certain patron ont pris des initiative et ont créer des sytème d’assistance sociale dans leurs entreprise c’est le paternalisme. Peu à peu les ouvriers vont s’organiser pour porter leur revandications. Il y a eut au cour du XIX siècle beaucoup de grèves, de révoltes et de manifestations. Les première ont lieux à Lyon en 18311834. Ce sont de véritable insurections. Les représailles sont très violentes. Peu à Peu des courant politique se créer comme le socialisme ( Marx et Proudhon). Ces cournat de penser naissent de la vision qu’ils ont sur la classe ouvrière. Leur but est de trouver des remède aux pervertions du capitalisme. Il y a également des partis qui se sont constituer. Leur éxistence sont tolérer par le gouvernement. A la toute fin du XIX se forme les premier syndicas ouvrier qui sont autoriser depuis 1864. Les revandication ouvrière se multipli au fur et à mesure du XIX . Leur principale revandication porte sur les changement dans leur conditon de travail. On voit la multiplication a la grève générale. Leur but est de paraliser l’économie du pays. Les résultat obtenus par ces divers moyens sont assez limités : - les enfant de moins de 13 ans ne travail plus car l’école est obligatoire laïc et gratuite depuis 1881 (Jules Ferry) - La diminution de la journée de travail : les ouvrier ne trvails plus que de 9 à 10 heures par jours - On commence a organiser un système d’assurance sur la protection du travail et de la maladie. Section 2 : Le commerce §1 : Le commerce intérieur Les nouveau myens de transport, la télégraphie et le téléphone favorise le commerce intérieur. Il n’y a donc plus d’enclavement du commerce. De plus l’urbanisation et du transport longue distance favorise le commerce 33 A°) Les nouvelles forme de commerce Pendant le XIX siècle on constate que le volume des produit sur le marché est de plus en plus important . ON n’est dans une période ou le niveau de vie augmente se qui va tirer la production. Il y a une urbanisation croissante se qui va augmenter le volume des biens en circulations sur le térritoire. A cour du XIX siècle l’auto consommation décline. Il y a une forme augmentation des produit sur le marché. Ces nouvelles forme de commerce se résume a la création de grand magazin et les magzins a sucursalles multiples. Une succursales est un établissement qui dépend du magasins initiale qui l’a créer. Le grand magasin est une création française. C’est un mode de distribution qui va s’exporter dans d’autre pays. L’histoire de la grande distributions commence par la création des magasins de nouveautée. Le premier a ouvrir est la belle jardinière. Elle ne fermera qu’en 1970. Le premier a développer la grande distribution est aristide Boucicaut. Il va créer le bon marché. Il va donc transformer les méthode de vente et de distributions. Jusqu'à Aristide Boucicaut on praticait la vente au procédé. Le vendeur avait un certain nombre de produit qu’il ne renouvelait pas. Il n’y avait d’étiquette ; on marchandait le prix. Le but du vendeur c’est de faire le maximum de bénéfice au coup par coup. De plus on vit avec une petite clientelle. Boucicaut va achetre un immeuble entier pour créer le bon marché. C’est donc une énorme surface. Il va ddéfinir en suite un certain nombre de règle de vente : - il faut des locaux très grands - trsè article variers, il faut tout trouver - les marchandise sont organiser en rayons : chaque rayon a son budjet, sa politique de vente et un responsable. - La clientèle est celle de la ville - On fait de la publicité - On va tout faire pour que les gens achéte : on peut acheter par catalogue… - On va favoriser les ventes en inventant les soldes : ceci correspond a une nouveauté dans la manière de vendre, c’est aussi une nouvelle vision de la trésorerie du magasin. Dans un grand magasin il y a des stock très importants, le principe est que ces stocks doivent tournés. Le magasins doit accépter de faire de petit bénéfice pour écoulé les stocks. Les grands magasins se multiplies très vite : on voit apparaître le BHV, les galeries Lafayette… Non seulement c’est une révolution dans les méthodes de ventes et de gestions mais c’est aussi dans le cadre des grand magasins que c’est développer le paternalisme. Dans les grand magasin mettent en place certain avantage en nature plus leur employer.Mais en contre partit cela s’accompagne sur un droit de regard sur la vie privée des emplyés. Certain mettent en place une caisse de retraite. Il faisait cotiser ces employers et une fois qu’il n’avaient plus l’age de travailler, ils touchait leurs cotisations. Ils font dont de leur fortune a des œuvres. Les grands magasins font des commandes massives se qui stimule l’industrie. Les magasins a succursales multiples se développe dans le seconde partie du XIX. Les premiers sont Felix Potin. Dans ces magasins ont fait des ventes a faibles bénéfices. Un des principe nouveaux est le renouvellement continuelle des stocks. Après sa mort, l’entreprise va continuer à croitre. En 1870 FP avait 1500 succursale sur le térritoire. Ces magasins représente une concurrence non négligable pour le commerce traditionnel. B°) Le commerce Traditionel 34 Il s’effectuait par le biais des foires. Mais celle-ci ne cessent de décliner. Elle conservent au XIX siècle un aspet purement locale. A partir de 1830 on ne trouve même plus de grossiste.ni de grand négociants. Elles sont déserter car les commecant utilise les nouveau moyens de communications. Les colporteurs : les gens se déplacaient de maisons en maisosn pour proposer leut produit. Ce mode de commerce décline au court du XIX. Ils se rendaient également dans le halles. Les bourses de marchandises ; leurs activitées s’ameunuises au cours du XIX siècle. Elles sont fagositer pat les grossistes. Les professions qui prennent de l’envergure sont toute les professions intermédiaire. Ils sont de plus en plus nombreux. Les représentants sont également en expansions §2 : Le commerce extérieur On voit une augmentation globale du volume du commerce extérieur. On distingue deux périodes A°) 1815 – 1860 Les exportations augmentes, elles concernent éssenciellement les produits industriels. La clientels visés est essencielement celles des pays anglo-saxons. Cette clientelles achéttes des produit de luxe, a forte valeurs ajoutée et des produit textiles. Durant cette période les importations sont limité. En effet le tarif douanier sont très importants. Pendant la monarchie de juillet on met en place une politique plus libérale. On réduit notament les tarifs douanier. Le libre échanges et le libéralisme s’accentue après la révolution de 1848, cela va avoir des repercution sur la politique commerciale. Le gouvernement décide à partir de 1860 de ce porter vers l’extérieur. Durant cette période 80 % des échanges se font avec les pays euriopéens. Lors que la France se tourne vers le libre échange, la France apparaît en retrait. B°) 1860 – 1914 Comme en matière agricole, les exportation ne vont pas suporter la concurrence étrangère. Il y a stagation des exportations. Cela dit les exportations de la France sont principalement des produit manufacturer et des produit de luxe ainsi que des instrument de hautes précision. Pour le reste, le commerce extérieur n’est pas très flotissant et est largement dépasser par l’Allemagne. En revanche la France deumeure durant cette période, le seconde exportateur de capitaux. Par ailleurs la France est obliger d’importer des denrée agricole. Dans le même temps l’industrie s’est contracter se qui va nuire au commerce international. La France va se lancer dans de véritable guerre douanière notament avec l’Italie. C’est un problême économique et politique. Les divers nations recherche des débouchers vers les colonies. La France va revenir a une forme de protectionisme et imédiatement cette attitude va avoir des effet positif ; - l’agriculture se relance - amélioration de la balance commerciale extérieur des produits industriels (elles doublent de 1887 à 1913) Les expérience de libres échange fait par la France se soldes par des échecs. Section 3 : L’organisation bancaire et Financière §1 : La banque et les organismes para-banquaire 35 L’idée qui se développe est que la Banque doit aidé les commercant. On voit l’apparition des banque d’affaire. Ce développe également la haute banque. Plus tard apparaisse les banque de dépôt et de crédit. Dans ces banques ont utilise l’argent de petit particuliers. Paraléllement a tout cela se crer des organisme para-banquiare, et l’état va très vite instaurer un contrôle sur ces organisme. A°) La Banque de France Napoléon veut asseoir son pouvoir sur la banque, il crer donc un poste de gouverneur nomé par napoléon lui même ainsi que deux poste de sous-gouverneur. On également l’apparition de succursales de la banque de France dans le provinces. La banque de France est très jalouse de son statut et elles s’oppose donc a la dénomination de banque pour d’autres établissement banquiare créer après elle. La loi de 1815 proroge le monopole de la banque de Frane à émmettre des billets. Une autre loi lui assurera se monopole jusqu’en 1945. La banque de France doit soutenir le Franc à létraznger et pratiquer une politique de régulation de la monaie sur le térritoire. Elle va également gérer les crédit. La seconde dérive concerne l’émission de billet. En effet elle va peu à peu obtenirr un monopole total. Elle va donc quand elle prète de l’argent à l’état, faire valoir ses revenditcation. C’est donc comme cela que la banque de France va obtenir le monopole de billet dans toute le ville de France en 1840. Puis en 1848, l’état l’autorise à absorber toute les banque départementale qui deviennent des succursales. Au millieu du XIX siècle la banque de Frnace à obtenue un monopole sur tout le térritoire. Cette situation est encore amplifier à partir de 1870. Ce n’ »est qu’a partir de 1914 qu’elle travail dans un but collectif et pour l’état. C’est une entreprise extrêmement puissante. Elle appartient à des particulier. Les action qui forme sont capitale sont très élevés et ne peuvent donc être acheter que par la grande bourgeoisie. Dans les assemblée générale on ne convoque que les plus grand actionaires ; les 200 plus importants. Ce sont eux qui choisisent les régents. On retrouve au XIX les Mallet et les rotschild qui sont rentré dans le banque de France au millieu du XIX, ainsi que le schneider. Ils élaborent une politique qui favorise les bénéfice de la banque. A Parir de 1870, les gouvernement républicain vont lutter contre l’homonie potence de la Bnaque de France. Les véritable changement vont s’oppérer à l’extrême fin du XIX ; la le pouvoir de l’état sur la banque va augmenter. On va simplement renforcer le pouvoir des gouverneur, ce qui amène une diminution du pouvoir des régents. On commence ainsi à s’orientée vers une fonction de banque beaucoup plus étatique. Après la guerre 1914-1918, la banque de France devient moins indépendante par rapport à l’état. En 1936, le Front populaire considère la Banque de France comme une deuxième bastille et veut la nationaliser. Après leur victoire aux élections, le frond populaire ne va pas la nationaliser mais il va supprimer le conseil de régence et le remplace par un conseil constituer de personne représentant divers environnement financier. Il faut attendre 1945 et la fin de la seconde guerre mondiale pour voir arriver la nationalisation proprement dite. Elle devient donc LA banque de LA France. Elle ne travail que au service de l’état. Au XIX la Banque de France va adopter le système d’étalon or. La monnaie n’est gagée que sur l’or. Le métale Or doit toujours être convertible en or monnaie ; l’or métal et l’or monaie doit circuler librement dans le marché internationale. Le papier monnaie doit toujours pouvoir être échanger contre de l’or. Cette idée se généralise et est adopter par d’autres pays comme l’Allemagne. 36 Cette forme d’organisation a contribuer à la stabilliter monnaitaire qui caractèrise le XIX siècle. C’est donc aussi cela qui a favoriser le commerce extérieur ainsi que les investissement internationaux. B°) Les autres organismes bancaire 1°) Les banques d’affaire Ce sont les banque les plus importante pendant la majeur partie du XIX siècle car elle vont aider au développement industrielle. Elle doivent aider le progret industriel, elle doivent servir les affaires. C’est donc un nouveau secteur qui s’ouvre pour ces banque. Certaine vont se spécialiser dans le secteur des affaires. On e met à pensée que les banque doivent pratiquer le crédit à faible interet pour aider les commercant et les industrielles qui se lancent. Peu à peu l’intermédiaire naturel de l’investisseur va devenir le banquier. La première personne à se lancer dans cette activitée est Laffite. Il présente sont projet au conseil d’état. Laffite connaît se domaine puisqu’il a été gouverneur de la banque de France. Il veut que sa banque finance toute les nouvelles inventions dans le commerce, l’insutrie, l’agriculture ou la finance. Il n’accorderai de crédit que pour les activitée nouvelle. Mais le conseil d’état refuse le rpojet car le conseil d’état est assez conservateur mais aussi car Laffite est dans l’opposition. Il va donc qui attende quelques année pour concrétiser son projet. Il va recevoir l’apuis du roi Louis philipe, et il va donc crer sa première banque d’affaire : la caisse générale du commerce et de l’industrie en 1837. Mais cette banque va rapidement faire faillite. L’idée est reprise sous le second empire par les frères pérères. Il reprène l’idée de la banque d’affaire en 1852, le crédit mobilier. Il veulent aider tout les commercant et les entrepreuneurs. Elle a d’ailleur pour but d’investire elle même dans de nouvelles affaires. Elle va financer les grands travaux comme l’expansion des chamins de fer et la métalurgie. Les frères pérrère ont voulus concurencer la banque de France et ils ont cherhce à obtenir du gouvernement le monopole de l’aide financière à l’industrie et au commerce. La banque de France va s’y opposer et elle va donc faire préssion sur le gouvernement qui va refuser d’accorder le monopole au frère pérère. Le gouvernement va retirer son aide au Crédit mobilier et il fait faillite en 1866. Après cette faillite, il y a plusieur année sans qu’il y est de banque d’affaire en France. Mais le procéssus redémare avec la fusion de la banque de Paris et celle de Pays-Bas après la guerre contre la Prusse. Cette fusion va donner PariBas. Les activitée nouvelle se centre autour de l’électricité, du pétrole et de l’industrie chimique. L’idée est toujours de facilitée le développement d’industrie nouvelle. Paribas s’engage également dans le crédit à long therme se qui est nouveau à l’époque. Ces deux activité forme le noyau dur de la banque. En 1981, il y a aut la nationalisation de paribas pouis en 1987, sa reprivatisation. Cette fusion est du a un phénomène de concentration. Une autre banque d’affaire est la banque de l’indochine créer en 1875. Comme son nom l’iondique son objectif est de s’occuper des affaire économique et industrielle dans les territoire coloniaux asiatique. Elle va avoir le monopole de l’émission des billet dans ces colonie. Elle fusionna avec la compagnie de suez, se qui donna Indosuez. Elle fut nationaliser en 1982 et privatiser en 1988. 2°) La haute banque Se sont toujours des compagnie privée qui se sont constituer au XIX siècle. Se sont des banque de structure familiale qui sont des soicèté de persone. Elle forme groupe distainc des banque d’affaires. 37 On les distingue par la religion de leur propiétaire. La banque protestante est la plus renomé comme la banque Mallet ou schlumberger. La banque de religion isrélite on peut nomé la banque de rotschild. Ces banque on aussi une autre activitée. Elle préte de l’argent à l’état ou elle place l’argent de l’état. Depuis en trentaine d’année,beaucoup d’entre elle se sont reconvertie en banque de dépôt. Une des famille la plus marquante dans le monde de la finance est la famille rotschild. Ce sont plusieurs frère d’origine allemande qui vont s’instaler en France. Ils vont aider le gouvernement Français contre la guerre contre la Prusse et pendant la seconde république. La maison rotschild éxiste toujours, une partir qui gère les proteufeille de gens fortuner et ue autre partie qui s’occupe de gens beaucoup plus moyen. 3°) Les banques de dépôts et de crédit. Elle fonctionne toute avec le même principe. Elle recoivent les dépots et le crédit qu’elles offre a ceux qui en ont besion ne dépasse pas le montant des dépôt qu’elles ont recut. Elles cherchent a attirer les dépôt afin de pouvoir faire plus de crédit. Pour cela elles offre un intérêt sur le dépôt d’affaire. Les première ébauche de banque de dépôt apparaisse au millieu du XIX , ce sont les comptoires d’escompte. Leur capital est consituer pour 1/3 de l’état, 1/3 de la ville ou elles sont et 1/3 de particuliers. La première véritable banque de dépôt est créer en 1860 avec le CIC. Le CIC s’inspire d’un pratique anglaise, et va crer un réseau en France, de plus le nom de CIC n’est pas présent dans les province. En effet le nom qui est utiliser est celui du la banque locale avec laquelle elle a fusionner. L’expérience est une réussite pour plusieur raisons : Elle va mettre en œuvre une politique de groupe. C’est le CIC qui a eut le première l’idée de rémunérer les fonds inactifs. Grace a tout cela elle va réussir a attirer des fonds industriels et commercant. Mais le plus important a été la création du Crédit lyonais par Henri Germain. Avec cette création on va assister à la démocratisation de la banque. Il est le premier a pener qu’on peut auss i si’nterresser à la petite épargne. Il réalise que le niveau de vie des français a augmenter et que le patrimoine des grandes famille à été frationer. Tout cela fait que de plus en plus de gens possède de l’argents. L’idée est qu’en drainant tout ces petit pécule cela pourrait faire une somme conséquante. Henri Germain fonde alors à Lyon en 1863, le crédit Lyonais. Il va attirer les petits porteur en créant de petite agence de cartier. Il va aussi instituer un certain nombre de service aveec l’ouverture d’un compte : un coffre fort, un chéquier, virement gratuit. Il va également proposer des opération de bourse. L’ouverture du compte est subordonné à un dépôt de petite valeur, environ 50 franc Or. Très vite la banque va créer de nombreuses succursales. En fait le crédit lyonais éssait dès le départ de devenir un grand magazin banquaire. Tout est fait pour ne pas géner le client. L’expérience est une réussite, son capital va pouvoir augmenter et le nombre de ces succursalles aussi. Après le crédit de lyonais l’autre banque du même type vont se créer comme la société générale quia été nationaliser en 1945. 1965 : fussion de la BNCI et de la CNEP qui va donner la BNP. C°) Les organisme para-banquaire Il n’ont pas a l’origine d’exercer une activitée banquaire. Tout d’abord il y a le crédit municipal (mond de piéter), qui pratique le prèt sur gage. C’est une création napoléoniaine. Deux type de clientelle sont visée : les particuliers ainsi que 38 les commercants. Le crédit municipale emprunte a un taux très bas et préte à un taux très élevé. Le crédit municipale a le monopole du prèt sur gage. Il y a aussi la caisse des dépots et des consignations. C’est un organisme privée qui gère les somme d’argent déposer chez lui ou les somme d’argent qui sont affecter à une destination particulière ou des sommes que l’on doit immobiliser. L’argent des caisse de retraite et d’apargne est siture à la caisse des dépôt des consignation. Elles possède beaucoup de liquidité. Elles spécule et place cet agrents. Cet organisme a beaucoup d’influence dans le monde financier. La caisse d’épargne est aussi un organisme parabanquire. Elle est créer en 1818 par un groupe de financier philanthrope. Ils veulent aider les gens a constituer un épargne en cas de besion. Ce sont au départ des organise de prévoyance. Elles visent à l’origine les domestique et les ouvriers. La caisse d’épargne va répunérer l’épargne et on va créer le livret de la caisse d’épargne. Le second but de la caisse d’épargne est plus moralisateur, car un des grnad fléau du XIX est l’alcollisme et donc les fondateur pensent que si l’ouvrier ou le domestique dépose sont argent à la caisse d’épargne, il n’ira pas de dépenser pour boire. Un troisième but est aussi de faire basculer les ouvrier vers le concervatisme politique. On veut qu’en épargant, les ouvriers et le domestique soit préocuper par l’avenir de leur argent et donc ne veulent plus faire de révolution. On veut embourgeoiser les prolétaire. Ce système va très bien fonctionner. On va compléter le système en créant dans le dernier quard du XIX les ciasse d’épargne postale se qui va permttre au gens habitant à la campagne d’ouvrir une épargne. La caisse d’épargne est une sorte de paliatif à l’absence de sécurité sociale. Le dernier organisame para-banquiare est le crédit focnier. Il est créer au millieu du XIX siècle. C’est aussi un moyen qui a été créer pour palier la carence de l’état en matière d’assurance sociale. C’est un organisme dont le but est de procurer de l’argent aux propriétaire fonciers. C’est surtout une clientelle d’agriculteur. Cette argent est rembourser grace à des anuitée payable à long therme. Ces prèts sont garantit par le système des hypothèques. Ce système va avoir une importance considérable sur la société française de la fin du XIX et du début du XX car il n’éxiste par de retraite pour les profession libérales. Un médecin va par éxemple prendre un prèt au crédit foncier et achetre un immeuble. Pendant la durée du prèt, les loyer servent a rembourser le prét et lorsqu’il s’arrète de travailler le loyer sert de rente. L’essentiel de la bourgeoisie française à fonctionner comme cela entre les deux guerre. §2 Les assurance Deux phénomène sont a l’origine du dévelopement des assurance en France. La première c’est que la France va chercher à pacifier la vie du pays et on va pousser l’investissement. Les banquier vont donc chercher d’autre formules de financement. Cette techniques est importer de l’angleterre et de l’Allemagne. Les compagnie d’assurance on un double but. Les compagnie d’assurance on vocation de se prémunir des risque de la vie. Deuxièmement les assurances servent le capitalisme car se n’est pas l’assurer qui est propriétaire de l’assurance mais une société de commerce. La compagnie d’assurance fait un bénéfice par le rapport percut des assurer et l’argent que la compagnie doit verser en cas de domage. Au début du XIX le gouvernement français est assez réticent face au assurance. Il favoriser donc l’apparition des mutuelles. Ce n’est que plus tard que le gouvernement va autoriser la création de sociétée d’assurance. A°) Les mutuelles. 39 Avec la restauration, on revient a un gouvernement monarchique ce qui veut dire qu’on met en place un gourvenement qui promeut des valeeur chértienne et paternaliste. Il préfert donc le système des mutuelles. Car tout le monde se connais dans une mutuelle, de plus la mutuelle ne cherche pas à faire de gains. A partir de 1815, le gouvernement encourage l’apparition de mutuelles. On ne voit apparaire que des mutuelles couvrant les risque d’incendie. Laffite va créer un mutuelle qui s’appelle la royale. Le système est simple mais est aléatoire. On fait un contrats et a la fin on calcule la somme que l’on doit payer pour indemniser les dommages. Il n’y a pas de cotisations fixe. Donc très rapidement le système évolue dans deux direction dans le domaine de calcule des cotisation mutualiste. On va créer un fond de reserve. Leur domaine de couverture va s’étendre au meubles ainsi que les risque de gel, d’inondation… Peu à peu les mutuels vont perdre leur caractère initiale et vont se transformer en sosciété d’assurance à caractère mutuels. Elles ont donc un fonctionement identique au société d’assurance,mais il faut un carctère particulier pour y rentrer. Ex : mutuel agricole… Elles ont donc un caractère sécurisant pour les adhérants. A coté des mutuelles il y a le monde des technocrates et des financiers, et on vas donc admettre la création des scoiété d’assurance à primes fixe B°) Les compagnies d’assurance à prime fixe Dans ces compagnies l’assuré n’est pas actionnaire de la société et pay chaque année une prime fixe à partir d’un contrat. La société récolte toutes les primes d’assurance de ses cients. Elles vont investire dans de portefeuille d’action ou préter de l’argent en banque si elle s’y sont affilier. Elle sont donc vu comme de véritable entreprise. Certaine compagnie d’assurance éxiste toujours comme les AGF, le GAN… Ces sociéter fon voir leur domaine s’agrandire. Dans le domaine maritime ; on commence par permettre la création de sociéter prenant en charge le risque maritime. On voit en suite des société d’assurance vie. Au XIX siècle, l’assurance vie est très mal percut. Se sont des contract qui présente un risque particulier car si la compagnie fait faillite, le cotisat perts tout. Les compagnie d’assurance vont considérablement se dévloper car elle vont profiter des innovation technique du XIX ex : le gaz en ville : création d’un assurance contre les risque lié au gaz ; la création de l’automobile : création de l’assurance automobile… Il y a également des assurance lier au contexte particulier du XIX s iècle. Durant cette époque il y a beaucoup de mouvement insurectionelle. Les compagnie vont donc créer un contract sur les risque lier a la dégradation du matérielle en cas de grèse ou d’insurection. Il y a aussi un assurance créer pour couvrir les accidents professionnel. A partir de 1804, on aplique les principes généraux de la responsabilité civile. C’est à dire qu’il faut prouver la faute de celui qui a causé le dommage. Si cette personne est responsable, elle doit réparer la faute sous forme pécunière. A partir de 1865, a la demande de Napoléon III, les compagnie d’assuranec commence à prendre en compte ce risque de l’assurance professionnelle. Comme elles se font très rétissante, on vote une loi sur les accidents du travail. Cette loi se substitut à la responsabilité civile. Dans cette loi on va détreminer comment on va évaluer la responsabiliter et on va donner injonction au assurance de prendre en compte se risque. La responsabiliter est partager entre l’employeur et l’employer. On va donc établire une réparation forfaitaire qui se répartir entre l’employer et l’employeur.La moitier à la charge de l’ouvrier et la moitier à la charge de l’entreprise. La part qui est payer par le patron est payer par une assurance obligatoire. L’ouvrier de son coté est aussi obliger de souscrire une assurance. Donc celui qui est vistime est sure d’être indemniser. 40 Toute l’évolution va consister à faire pesée de plus en plus la balance vers l’employer. La cotisation des ouvrier va baisser et la cotisation des patroin vont augmenter. Finalement a la fin du XIX la France compte neviron 80 société d’assurance à prime fixe et de très nombreuse mutuelles. Ces mutuelles constituent des société maniant de masses de capitaux très important. Les compagnie d’assusrance sont constituer sous la forme de société par actions coté en bourse. Se placement est le placement privilégier du bon père de famille. Les assurance se multiplie et pour éviter un développement anarchique, la loi va freiner ce développement. On assiste à l’émergence du droit prive de l’assurance. Le développement du système banquaire et des assurance refléte la monniatarisation de l’économie. Le role de la monnaie devient de plus en plus important au cour de cette période. Quatre facteur se sont conjusguer et expliquer cette monétarisation : - l’urbanisation croissante : en effet le mode de vie urbain inplique des échange nationaux et internationaux. En ville il n’y a pas d’autconsomation et - elle baisse dans les campagne car l’agriculture se spécialise au XIX et que le agriculteur ont besoin d’acheter les produits qu’ils ne produisent pas - L’augmentation du niveau de vie et augmentation des échange de marchandise - La modification des système de distributions Le développement du role de la monnaie a pour indice plusieur chose. On voit au cours du XIX que la valeur des billet croit. Entre 1850 et 1913, la valeur des billets est multiplier par 13. On voit aussi l’aumentation de la vitesse de circulation de la monnaie pendant tout le XIX. Il y a ausssi de dévelopement du role considérable du capitalisme. Tout cela a pu se faire grace à la modernisation du système banquaire. 41