Histoire économique

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Histoire économique
Introduction
C’est au XVIe siècle que la science économique se développe. On voit apparaître des
ouvrages de réflexions économiques (ex : Jean Bodin : la monnaie 1596). Ce n’est qu’au
XVIIIe siècle que l’historien va analyser les faits grâce à l’économie.
Les fondateurs de l’économie : fr : Quesnay (physiocrate) (1774) et Adam Smith
(1790). La rupture entre l’histoire et l’économie va venir des économistes grâce à Ricardo
(libéral). On va donc assister à des réflexions économiques pures qui donneront naissance à de
nouvelles théories. Karl Marx (1883) : Il élabore une théorie ou les conflits politiques et les
histoires sont reliés. Cette version a été longtemps utilisée pour expliquer la Révolution
française. Cette vision est trop limitative et théorique. Pour les historiens, l’économie va
devenir un sujet d’étude de premier plan grâce à un courant historique appeler école des
annales. On considère que l’économie est un élément fondamental de la vie sociale. Avant, les
historiens s’attachaient à l’histoire événementielle. Mais désormais on va s’intéresser à
l’économie et à l’histoire des mentalités.
Cette école a pu changer d’objet d’étude grâce à des nouveaux documents. Après 1945
un nouveau courant apparaît aux USA : clinométrie. C’est une nouvelle approche historique
qui se dégage des approximations des historiens et qui utilise des données économiques. Il
faut donc des données chiffrées ce qui ne permet d’étudier que les périodes récentes.
Aujourd’hui on dit qu’il faut combiner l’histoire et l’approche mathématiques.
Les quatre grandes périodes :
- l’antiquité : 30 siècle avant JC à 476 après JC
- Le moyen age : 176-1492
- Temps moderne : 1492-1789
- Epoque contemporaine : 1789 à nos jours
Partie 1 : La France prè-industrielle
-
-
Les quatre dynasties royales qui se sont succédé en France sont
Les Mérovingiens : 481-751 : Les Mérovingiens sont les descendants de Méroc, le
grand-père de Clovis ; Ils étaient très conquérants. Au fur et à mesure c’est le maire du
palais qui prend le pouvoir : Charles Martel.
Les carolingiens 751-987 (carolingien : Charles Martel)
Les Capétiens : 987 – XVI
Les Valois et les Bourbons
Section 1 : L’économie Franques
§1 : Le cadre géopolitique
A°) La population
1°) L’époque mérovingienne
Durant cette période, la Gaulle se dépeuple. Ce dépeuplement est dû aux vagues
d’invasions qui font des ravages comme celle des vandales, des Visigoths ou des Huns. Mais
au fur et à mesure, une fusion s’opère entre les populations barbares et les populations locales.
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Ce dépeuplement est aussi dû aux épidémies comme la peste, qui fera des ravages au VI ou la
lèpre. Au VII la population commence à augmenter grâce au retour de là paix et d’une
meilleure économie.
2°) L’époque carolingienne
Il y a beaucoup d’espace vide, la population se concentre à certains endroits. Il y a une
expansion démographique due à la diminution des épidémies et des famines. On peut aussi
noter que l’église véhicule son modèle du mariage qui a pour but la procréation. Il y a une très
faible densité de population : 10 Hab. /km2 dans les zones incultes et 30 Hab. /Km2 dans les
zones cultivables.
À partir du IX siècle, les invasions reprennent ; cette fois ce sont les scandinaves : les
Vikings notamment. À la différence des précédentes invasions, il n’y a pas de fusion avec la
population locale.
Les invasions et les guerres civiles créent un climat de peur ce qui n’est pas propice à
l’augmentation de la population.
B°) L’espace
1°) L’organisation politique
Il n’y a pas d’unité territoriale car à chaque fois qu’un roi décède les territoires sont
coupés en nombre de parties égales au nombre de fils. Ces partages ne sont pas arbitraires, ils
sont géographiquement cohérents. Le royaume est plus idéologique que concret. Les
Carolingiens vont essayer d’unifier les territoires. Ce sera chose faite par Charlemagne en l’an
800 avec la restauration de l’empire.
2°) Les Manses.
Ce sont les biens des paysans. On y trouve la demeure des paysans avec de la vigne,
des près et des bois. C’est beaucoup plus modeste que dans la réserve. Parfois il y a des droits
d’usage de type communautaire qui permette aux paysans d’utiliser les terres communautaires
qui n’appartiennent pas à d’autres paysans. Ces droits permettent d’assurer leur survie. Il y a
deux types de manses :
- Manses dit « ingénvilles » : vient du mot ingénue (désigne la personne née de parent
libre). Ce sont les manses concéder à des personnes complètement libres
- Manses dit serviles : concéder à des gens asservis.
En Gaulle les manses ingenvilles sont les plus nombreuses. Les manses ingenuilles sont plus
grands et les services qui sont du au maître sont saisonnier. Les manses serviles sont plus
petites et les services du sont beaucoup plus lourds. À ces terres sont lier certaines obligations.
Les tenanciers doivent payer des redevances au maître. Ces redevances correspondent au prix
de la « location » de la terre, au prix des droits d’usage et au montant des anciens impôts. Le
montant de ces redevances est fixe et elles sont payées aussi en nature (pas d’argent). En
nature c’est-à-dire que les redevances vont prendre la forma d’un prélèvement sur la
production agricole, viticole, produit artisanaux et sur les bêtes. Ces redevances pèsent assez
lourd sur les épaules des paysans. Les paysans sont également tenus de rendre certain service
au maître. Ces services s’agissent de travaux manuels ou sous forme de transport de biens ou
de denrée. Tous ces services sont réalisés de manière gratuite.
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Les manses sont à la fois des unités d’exploitation de la terre mais ce sont aussi des
unités fiscales. Ils servent de socles pour déterminer tout ce qui est dû au maître. Elles ont
subsisté jusqu’au XII. A partir de la, les manses laissent place à d’autres formes de tenures.
C°) L’administration de la villa.
1°) Domaines royaux et ecclésiastiques
Il y a une gestion directe ou par l’intermédiaire de régisseurs. Il y a une organisation
un peu plus complexe. Dans les domaines royaux, chaque domaine est gouverné par un maire.
Elles sont regroupées et forme une circonscription les fiscus. À la tête de chaque fiscus il y a
un administrateur. Il administre au nom du roi et dispose donc de pouvoir assez étendu. Les
très grandes abbayes laisse la gestion de leurs domaines à un maire. C’est un clerc qui chapote
plusieurs domaines. Ce sont ensuite plusieurs moines qui vont contrôler l’ensemble.
2°) La villa une économie autarcique
On pensait avant que la villa fonctionnât renfermer sur elle-même de manière
autonome, mais ont c’est aperçu que ce n’était pas le cas car il y a toujours des services de
transport qui sont mentionner. Ce sont les services de charroi. Les distances parcourues sont
en moyenne de 80 à 100 kilomètres. Les grands propriétaires avaient de nombreux domaines,
on sait qu’il voulait se procurer d’autres domaines dans d’autres régions afin de pouvoir
acquérir d’autre denrée. Il fallait donc les transportées entre les domaines.
Ex : Abbaye de saint Denis qui produisait du vin. Elle possédait des domaine en Provence afin
d’avoir de l’huile et n Flandres afin de se procurer des tissus.
Les domaines ne sont dons pas en autarcie. Mais ce sont surtout les abbayes qui
fonctionnent de cette manière.
Les seigneurs laïcs ont tendance à voyager entre les domaines qu’ils contrôlent. Ils
consomment donc sur place au lieu de faire amener les denrées jusqu'à eux. Il faillit
également écouler le surplus. Ceci permettait de ce procurer du numéraire. Les abbayes sont
assez prospères grâce à ce système. L’économie domaniale débouche sur une économie
d’échange.
3°) Les échanges à l’époque Franques.
A°) Le commerce
Les ventes ne concernent que les excédents. On ne cherche pas à produire plus que
nécessaire et on essaie de consommer sur place car on a beaucoup de mal à conserver les
denrées. On se ne déplace pas sans danger à causes des barbares. Donc les biens échangés
sont peu nombreux, mais on sait qu’ils continus à circuler même à l’époque mérovingienne.
Les gestionnaires des villae font du commerce pour ce procurer des produit absent du
domaine comme du vin, de l’huile et du sel qui sert à conserver les aliments. Les citadins
achètent tout ce qui est produit dans la villa. Il y a trois types d’acheteur : les propriétaire, les
citadins et les paysans. A l’époque mérovingienne subsistent certaines régions avec une
activité commerciale assez dense. Les objets artisanaux et les produits alimentaires circulent
par le commerce ainsi que les armes. Les vêtements aussi circulent beaucoup grâce au
commerce. La Provence et l’écosse sont des régions particulièrement productrice de tissus.
Ces régions vendent l’essentiel de leur production au niveau locale mais également à
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l’extérieur du royaume. Certain vendent leurs services comme les orfèvres, des charpentiers et
des Tisserant. Tout ceci concerne les surplus.
B°) Les lieux d’échange
Les deux principaux lieux d’échanges sont les marchés et les foires et en petite
quantité dans les échoppes. Il faut une autorisation écrite du roi pour organiser une foire car il
appartient aux agents du roi d’assurer la sécurité sur les marchés, ceci inclus le règlement de
litige et la perception des taxes. Aux 9 et 10 siècles, on constate qu’il y a une augmentation
du nombre de foire. C’est donc les signes d’un accroissement du volume des échanges. Le roi
concède le pouvoir d’autoriser les foires ainsi que de percevoir des taxes à des seigneurs.
Il y a des foires extrêmement connues comme Saint Denis et Arles. On remarque qu’elles sont
situées sur de grands axes commerciaux.
À l’époque Franques il y a très peu de marchant car ce sont les paysans ou les
propriétaires qui vendent directement. Ils en existent, mais ils se spécialisent dans les ventes
interrégionales. Certains sont même spécialisés dans le commerce de produits de luxe comme
la soie et les épices. Le commerce se maintient pendant la période franque bien qu’il soit
réduit.
C°) Les moyens d’échanges.
1°) La monnaie
Le rôle de la monnaie décline entre les 5 et 10 siècles. L’unité monétaire est le sou
d’or. Au départ les Mérovingiens utilisent la méthode du bimétallisme (argent et bronze). La
valeur de la monnaie va diminuer ainsi que la quantité. Ce déclin peut expliquer par différents
facteurs :
-la frappe de la monnaie n’est plus ne monopole du roi mais devient accessible aux personnes
privés (les grands seigneurs et les grandes abbaye ont se privilèges de même que de grand
seigneur laïcs) Ils 800 atelier monétaire, ceci conduit à une disparité de la monnaie. Les titres
monétaire varient d’un atelier à l’autre ce qui mène au déclin.
- L’or disparaît entre le 5 et le 7 siècle en occident sauf en Italie. Il n’y a plus d’or car
les gens thésaurisent l’or dans des réserves sous toutes ses formes. Tous les puissants
veulent conserver les métaux précieux. Cette disparition est aussi favorisée par les
tribus à payer aux envahisseurs (Sarrasins, Hongrois, Scandinaves, Normands)
Ces différents facteurs font qu’il y a une pénurie générale d’or en occidents. Les pièces
circulent beaucoup moins, mais elle reste la valeur de référence. Les échanges courants sont
réalisé par les quelques pièce qui reste en circulation, les autres achats sont effectués grâce au
troc. Lorsque les carolingiennes arrivées au pouvoir ils veulent améliorer la situation et vont
instituer le monométallisme (l’argent). Ils vont créer de nouvelles monnaie de référence : la
livre d’argent. Elle est subdivisée en denier, en obole et en Picte. Le système était très
compliquer car les pièce avait différente fonction. La livre était une monnaie comptable et
aussi une référence de poids. Le sou restait encore très utilisé. Il instaure aussi le retour le
monopole régalien de frappe de la monnaie. Mais les rois carolingiens ne réussirent pas à
rétablir ces monopôles. Il y a eut des concessions mais aussi de l’usurpation (certain seigneur
se donne le droit de battre la monnaie).
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Aux 9 siècles il y a des monnaies féodales. Pour les transactions importantes, on va
utiliser le payement en nature. La monnaie conserve un rôle important en théorie, mais elle
n’est plus utilisée.
2°) Le crédit
Il sera beaucoup utiliser pendant la période franque. À Rome, on appelle l’usure :
l’intérêt d capital prêter. Maintenant ce sont les intérêts quand ils sont excessifs. L’église va
condamner le près avec intérêt. Elle va se baser sur un texte biblique. Pendant tout le moyen
age, elle va répéter cette interdiction mais elle s’attachera surtout à contrôler les clercs. Cette
pratique reste donc à peu près légale pour le simple croyant.
Charlemagne prend des mesures qui interdisent le prêt à intérêt de manière générale et
pour tout le monde. Est considérer comme usure tout intérêt demander. Le pouvoir royal
répète cette interdiction. L’interdiction est sanctionnée. Le contrevenant est passible d’une
amande. Après Charlemagne continu à interdire le près avec intérêt. Mais la réalité est
différente, cette interdiction va rester lettre morte. Le prêt à intérêt va rester d’actualiser mais
ceci se fait de manière détourné et discrète. Il est communément pratiqué car l’on manque de
monnaie. L’épargne est également interdite.
Section 2 : L’économie féodale (10ème au 13ème siècle)
À la fin de l’empire carolingien, le territoire commence à ce disloquer e principautés
(le Flandre et la Normandie). La dislocation s’est poursuivit avec l’apparition des compté qui
sont devenues autonomes. Elle est avant des zones administrative qui étaient confié à des
agents du rois : les comptes. Peu à peu ils ont proclamé leur pouvoir héréditaire. : Ex : compte
d’engoue. On voit aussi l’apparition des seigneuries, les comptés eux même se sont disloquer.
Le plein épanouissement des seigneuries est entre le 10ème et 11ème siècle. L’autorité se fait
maintenant au niveau local avec les Chatelins. Ce sont eux qui possèdent le pouvoir de levée
des impôts et de justice. L’autorité politique est redistribuée de manière la plus apte à protéger
les populations des barbares.
L’ensemble de société est structuré autour de la vassalité et des fiefs. Les fiefs ne
concernent que les nobles, les paysans sont exclus des fiefs. L’entré en vassalité est célébré
par une cérémonie. Le vassal s’engage à ne pas rentrer en conflit avec lui. Le seigneur lui
donne un fief. Le vassal va devoir lui apporter une aide militaire et financière. Il devra
également le conseiller (justice). La société est également divisée en ordre (groupe auquel
sont rattachés des statuts particuliers). Le premier ordre est l’église, vient ensuite ceux qui
combattent : les nobles, ils protège le peuple et le dernière ordre sont les paysans, ils doivent
nourrir les 2 autres ordre. Il doit y avoir une harmonie entre les 3 ordres. Au milieu de cette
société, il y a le roi. Il a un privilège du fait que c’est le seul seigneur à être sacré. Il va être au
dessus des autres car il est sacré. Pendant toute cette période la royauté va reconstruire sont
pouvoir. Le roi va contrôler la féodalité, il va se dégager du pouvoir spirituel et il va
également créer une administration qui va lui permettre de gérer son territoire.
§ 1 Les facteur de la croissance10 ème 13 ème croissance
La croissance démarre au milieu du Xème siècle. Elle est facilitée par la fin des invasions.
Elle va se manifester autant sur le plan économique mais aussi sur le plan démographique.
A°) L’expansion démographique et territoriale.
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On voit l’expansion des surfaces agricoles. La population augmente partout en Europe,
on observe également que les zones défrichées augmentent.
1°) La population
Entre l’an 1000 et 1300 on estime que la population a été multipliée par 3. On serait
passé en 950 de 22,6 millions à 61 millions en 1200. Pour la France sur cette même période
on serait passé de 5millions à 15 millions. Il semble que cet accroissement de population se
soit manifester surtout dans le Nord. L’augmentation de la population débouche sur un
accroissement de l’activité économique. Cette population est mobile entre les zones rurales et
urbaines. On constate que les villes se multiplient et que les villes existantes grossissent. Ces
nouveau venu apporte un savoir faire nouveau dans les villes. Ceux qui restent dans les
campagnes vont participer au défrichement. Il y a des mouvements migratoires beaucoup plus
importants :
- Expansion du territoire de l’occident chrétiens : reconquête du territoire conquis par
les sarrasins. Dans le sud de la France il y a des transferts de population qui descende
vers le sud.
- Les Flamands, les Hollandais et Allemand vont eux vers l’Est. Cette population veut
trouver des terres.
2°) Le défrichement
La poussée démographique entraîne une extension des terres cultivées ou alors a été
engendrée par l’extension des terres cultivées. Dès le début du XI siècle une ère de grand
travail agricoles va commencer et va s’étendre jusqu’au XIV siècle. L’existence des
défrichements massifs est le signe le plus évident de la croissance économique. La surface des
terres cultivables augmente énormément. L’expansion géographique de ces terres s’est faite
de différentes manières :
- soit ils se sont traduits par une création complète de nouveau terroir
- soit il y a eut une expansion de la surface des villages déjà existant.
On a pensé pendant longtemps que c’était les moines qui ont commencé à défricher, mais on
tend à diminuer le rôle de l’église dans ce domaine. Ils ont eu néanmoins un rôle dans le
premier essartage. Le défrichement a pris la forme de défrichements individuels par les
paysans. Dans ce cas se sont de petits défrichements (X et X1 siècle). Le cultivateur
agrandisse leur champs afin de subvenir au besoin de la famille.
Quand il y a de nouveau, le seigneur leur donne une terre inculte qu’ils sont chargés de
défricher. En recevant une terre, ils s’engage à travailler pour le seigneur.
On trouve également des défrichements collectifs. Ces derniers sont l’œuvre des
seigneurs qui prend conscience d’augmenter le nombre de terre cultivables sur sont territoire.
À partir du XII siècle, on s’attaque à la grande forêt et aux marécages. On assiste à la création
de villages entiers dans de nombreux endroits en France. Dans le cadre des défrichement
collectif, on a les pionniers qui veulent s’enrichir un petit peu et le seigneur qui lui permet à
travers les taxes d’augmenter ses recettes. Le plus actifs étaient le roi qui eu un rôle important
dans le défrichement et dans la création de village.
B°) L’amélioration de la productivité pendant la période féodale
Cette amélioration a été rendue possible par un certain nombre d’innovation technique
et aussi par un gonflement de la demande.
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1°) Les innovations techniques
domaine agricole :
Ces innovations sont nombreuses. Ces progrès sont avoirs des répercutions immédiate
dans l’alimentation de gens. Premièrement on remplace l’araire par la charrue. (Araire : creux
de sillon très peu profond alors que la charrue vas beaucoup plus profond, ce qui va avoir une
répercutions sur l’économie car les récolte sont meilleurs. L’attelage va être modifié se qui
permet une meilleur une meilleur utilisation de la force animale en posant des fer sur les sabot
et de jougs. On se met également à utiliser de l’engrais. On diversifie les cultures. Et il y a
également la généralisation de la jachère et dès l’assolement triennale. Cette technique
diminuera au XIX siècle. Ceci a permis l’amélioration des rendements.
Ex : L’abbaye de Cluny : On s’aperçoit que dans une année moyenne : on sème 1 mesure de
seigle, on en récolte 5 alors que maintenant on en récolte 10.
On voit également l’apparition des moulins à eaux, à vent et à fer. Elles apparaître aux
XII siècle. Elles vont très vite se généralisé. Elles permettent d’utiliser l’énergie à des fin
diverse. On les emploie dans le domaine alimentaire, textile et dans la métallurgie. On voit
aussi l’apparission des haut fournaux. Pendant cette période la métalurgie progresse et le fer
va prendre une place de plus en plus important. On va en faire un usage domestique de plus en
plus important. On va aussi utiliser la fonte.
La navigation : Ce qui va être favorable au commerce international. (boussole,
compas.)
2°) Accroissement de la demande
- Le rôle des seigneurs
Il y a des cours seigneuriales qui entourent les détenteurs du pouvoir. C’est de là que va
arriver la demande. Cette cour est formée de la famille du seigneur ainsi que des vassaux. Les
seigneurs redistribuent l’argent issu des recettes aux vassaux et à l’église.
Peu à peu on trouve en occident plus facilement du marbre, de l’or, soie, ivoire, vin et
étoffe précieuse etc. Le goût du luxe apparaît chez les seigneurs. Ils asspirent aussi à plus de
confort. Pour ce les procurer, les seigneurs incitent les paysans à créer ce genre de biens. Le
goût du luxe va être reprit par tous ceux qui veulent imiter la noblesse. À côté de la
production de céréales, les paysans vont se mettre à produire autre chose, ce qui donne lieu au
prélèvement de taxe. Et grâce à ces taxes, les seigneurs achètent ces produits de luxe. Au XII
siècle, les châteaux se transforment. On construit maintenant les châteaux en pierre. Les
seigneurs vont donc faire venir des artisans spécialisés. Les seigneurs font de plus en plus de
mécénats. C’est soit un mécénat purement artistique, soit ils donne de l’argent pour la
construction d’un sanctuaire(piété : ils cherche a avoir une activité spirituelle. En faisant cela
les seigneur veulent être en bon thermes avec l’églises). Non seulement ce sont les seigneurs
qui tire la vie économique mais c’est également dans la seigneurie que s’effectue la vie
économique.
§2) lieu de vie économique
A°) Le rôle primordial de la seigneurie
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A partir du XI siècle l’élément essentiel de la vie sociale, économique et politique
c’est la seigneurie. Dans ce château il y a le seigneur, sa famille, ses vasseaux et ses serviteurs
(la cour) ; Le château est aussi le lieur d’où le seigneur va exercer sont autorité. C’est au
château que va aboutir les redevances.
1°) La recomposition foncière de la seigneurie.
Durant la période franques la richesse est la terre, au moyen age elle l’est d’autant plus
car elle représente la zone d’exercice de l’utilité. Les grands prop terrien consède ces terre de
deux manièree :
- en fièf
- Tenure : c’est-à-dire qu’il peut concéder sa terre en vue de son exploitation
économique. C’est la terre que l’on tiens à un double titre (du seigneur et des héritiers)
Le seigneur concédant la terre est appelée seigneur foncier, mais il peut être aussi seigneur
banal, c’est-à-dire être un seigneur ayant de la terre mais ayant aussi le pouvoir de ban. Ce
pouvoir est un droit de commandement et l’oppression. Ceci correspond aux anciennes
prérogatives de puissance publique. Cela signifie que le seigneur banal rend la justice, perçoit
des amandes, il peut procéder à des réquisitions. Il peut également exiger les corvées. Il est
sensé exercé ce pouvoir de ban en vue de maintenir l’ordre dans la seigneurie.
La seigneurie s’organise autourde la réserve et autour des tenue
La réserve : elle correspond à la partie du territoire exploité par le maître pour lui. Pour la
cultivé, il a le choix entre deux moyen : il utilise des travailleurs salariés (peu utilisé) mais il
peu aussi avoir recourt à la corvée. Le nombre de ces corvées est fixé par la coutume. Si les
corvée ont pour but de cultiver la terre, elle sont appelé les jour à bras (cueillette, récolte), il y
a aussi les jour à bœufs ou les paysants prête leuts bête au maître pour labourer sa terre. Il y a
aussi les corvées de surveillance (gaie). Ces corvée peuvent être rachetées par les paysans.
C’est à dire qu’au lieu d’exécuter leurs corvées, il paye le seigneur. L’argent introduit une
certaine forme de liberté. Progressivement le mode d’exploitation de la réserve vas changer et
donc les corvée entre dans le faire valoir directe. Peu à peu, les corvées vont disparaître.
Certains seigneurs vont utiliser les systèmes de baux. À la différence de la corvée, les
paysans peuvent choisir quels paysans va travailler sa terre. Si le travail ne lui plait pas, il peut
changer les paysans. Il y a deux type de baux :
- le fermage : surtout dans les régions riche et dans les grandes exploitation. Le paysan
qui prend le bail (le preneur) va bénéficier d’un droit de jouissance d’une partie de la
terre. Il exploite la terre et en plus il doit entretenir les bâtiments ainsi que de respecter
le principe de rotation des cultures. La redevance qu’il verse est fixe
- Le métayage : C’est un type d’exploitation qui se développe dans les régions les moins
riches. C’est aussi, comme le fermage, un bail à durée déterminée. Le propriétaire
apporte tout (la terre, les animaux, les outils et les semences). Dans ce contrat, le
paysan ne possède rien. Le métayer n’apporte que sa force de travail. Ils payent une
redevance en contrepartie de la terre, celle-ci est variable selon la récolte.
Ces deux contrats sont à l’origine de tenures temporaires. Mais en France et en Europe, la
règle générale est que les tenures sont perpétuelles.
Les tenures : C’est le mot spécifique de l’époque féodale. Elles prennent le relais des manses.
Ces terres font l’objet d’un contrat que l’on appelle le bail à sens. Ce contrat à un caractère
exclusivement économique. Le cens est la redevance verser par les paysans au seigneur. Il
reconnaît par la qu’il est soumis au seigneur. Elle est recognitive. Le cens peut être payé en
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argent ou en nature, soit encore de manière mixte. Le cens peut être réévalué. Ce n’est pas un
impôt, c’est la contrepartie de l’exploitation de la terre.
Même si les tenures sont perpétuelle, le paysans le détient que le droit de jouissance de la
terre (le droit de cultiver).
Au début lorsque le paysan mourrait, la terre revenait au seigneur. Mais peu à peu à l’époque
féodale, les censives sont devenus aliénable c’est à dire que le paysans pouvait vendre sa
censives. Elle sont ensuite devenues héréditaire. Au moment de la succession il y a une taxe.
Et XIII siècle,les censives sont entrée entièrement dans le patrimoine des paysans.
Il y a aussi des alleux. Ce sont des terres sans seigneur mais elles tendent à disparaître. Il y a
également les communaux (marrais, bois, friche, court d’eau). Les communaux sont
utilisables par tout les paysans. Ils sont très utiles car ils procurent aux paysans des moyens de
subsistance. Toutes ces terres sont finalement exploitées en commun. On aboutit à une
agriculture un peu collective grâce à l’assolement triennal.
2°) Les redevance exigées au titre du ban.
Lorsqu’il agit en tant que détenteur du ban , le seigneur va percevoir des revenue de
tous les hommes vivant sur la seigneurie. Il a un puvoir trsè important ce qui se traduit par de
nouvelle imposition s. Le seigneur assure laa sécurité des paysans en contre partie il touche
des taxes. La taille est l’impôt le plus répandus. Elle est annuelle, payable en nature, elle est
du par tout les habitants de la seigneurie sauf les nobles et les clercs. Le seigneur bénéficie
aussi du droit de gîte c’est-à-dire que le seigneur en cas de déplacement, la population doit
l’entretenir. Ce droit peut être remplacé par une taxe. Le seigneur bénéficie par ailleurs du
droit de prise, c’est un droit de réquisition qui s’exerce en temps de guerre. Le seigneur peut
aussi exiger des corvées d’ordre commun (entretient des routes, des pont), et peut imposer des
service de guet. Il y a en fin les banalité, ce sont les redevances issus directement du droit de
ban. Le seigneurs installe sur sa terre des équipement lourd (pressoir, moullin) et les paysans
sont obliger d’utiliser les équipements. Ils sont obliger de payer pour les utiliser. Si un
paysans créer des outils ou va sur une autre seigneurie il est suséeptible de devoir payer une
amende. En contre partie, le seigneur doit assurer la protection des habitant de sa seigneurie et
également des sujets qui sont de passage sur sa seigneurie. Mais il perçoit également des taxes
à l’entrée et à la sortie de sa seigneurie. La ponction seigneuriale représente environ 50% de la
production de la seigneurie.
La seigneurie banale à permis le développement du commerce locale grâce à la sécurisation
des territoire ainsi qu’a la création des marchés.
Toutes ces redevances viennent du pouvoir de contrainte du seigneurs.
B°) Les villes
1°) le renouveau urbain
Il y a une renaissance des villes à l’époque féodale. Les villes vont connaître une très
grande croissance entre le XI et XIII siècle. Les villes profitent de l’accroissement
économique et de l’accroissement des échanges. Ainsi, les villes grandissent et vont lutter
contre les seigneurs afin de gagner des liertées. Ce processus d’émancipation des villes est
inérant à leurs développements. Il y eut énormément de tuerie. Ces combats ont permis à de
très nombreuses villes d’obtenir des chartres (actes juridiques qui consignait les libertés
acquise) ; on parle des libertés des villes. Ces chartes avaient pour principale objet d’assurer
la liberté des prix pour les bourgeois. Les villes les plus autonomes sont les communes au
nord et les consulats au sud. Les viles les moins autonomes sont les villes de prévôté c’est-à-
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dire qu’elle sont surveillées par un prévôt (agent du roi). Les villes sont synonymes de liberté.
Car lorsqu’elles ont obtenu des chartes elles ne sont plus sous la coupe d’un seigneur et de
plus les bourgeois sont des gens libres. Les cerfs qui se sont enfuis de la seigneurie cherchent
à allé s’installer dans les villes pour essayer d’acquérir une liberté totale. Ils se développe
dans les villes de nouveaux services. Il y a de nombreuse activités artisanales, commerciales
et même un début d’industrie. Ce sont aussi de grand centre intellectuel. Jusqu’ici
l’urbanisation se faisait dans des endroits stratégiques ; au XIII les villes se développe dans
des centre de commerce. Les diverse activitée ne peuvent se développé que grace à ces liberté.
2°) Les communautée de métiers
Il y a des métier libre mais cela ne sont pas organise rmême si ils sont pris en compte par les
autorités.
Il y a les jurandes ou corporations. Ces communauté apparaissent comme la continuité du
renouveau urbains. Au départ se sont souvent des confrérie qui sont des groupes d’artisant
exerçant le même métier et adorant un même saint. Elles sont devenue fréquemment des
regroupements de nature purement spirituelle. Elle ont évolué en associations
professionnelles. Ces communautés de métier, elles réunissent les artisants ayant un même
métier.
On trouve aussi des guildes : qui sont des associations d’entraide. Elles on un carctère
religion et économique. Les guildes se développe au début dans le nord de l’europe.
Il y a en fin les hanses. Ce sont des associations professionnelles qui regroupent des
marchant de plusieurs. Le plus puissante fut la hanse teutonique.
Pour appartenir à une jurande il faut avoir été apprentit (l’apprentissage se fait très tôt.
L’apprenti vit chez son patron, il est nourti par son patron. Celui ci à un pourvoir de
commandement et de chatiment corporel sur l’apprentis. Après l’apprentit peu devenir
compagnon après un contrat. La le compagnon perçoit un salaire. Certain compagnon vont
effectuer le tour de France pour confronter sa technique avec celle d’autre ville. Ceux qui font
le tour de France sont ceux qui veuelnt devenir maître. Pour cela il y a une épruve à
accomplir : le chef d’œuvre permettant ainsi d’apprécié les aptitude de celui qui ce présente.
Si l’on été reçu, on prêtait serment et on devenait maître.
Il y a Deux assemblée. L’une formé de maître et de compagnons, elle régisseait les
status de la profession. Elle concernait des rêgles sur les procédé de fabrication et sur le
technique de vente. La seconde assemblé étaient celle de jurée. Celle ci repréentait la
corporation en justice. Ils avaient un pouvoir de surveillance et de contrôle sur tout ceux qui
sont incluen dans l’assoc. Les membres de jurant qui ne respéctaient pas les status étaient
exclus de la communautés.
Les communauté de métier avaient pur rôle de protéger le consomatieur ainsi que de
protéger la production elle même. Les consomateur sont protéger par l’exigence du
recrutement. Ils osnt protéger par le régle qui régissent les procéders de fabications. La
production est protégeé car on évite la concurance étrangère. Il peut aussi s’agire de la
protection contre la concurent ce interne. Les status peuvent réglementée la répartition des
matières premières. Les jurée interdise toute les inventions pour que tout les membres soient
égaux. Le blocage des invention et du progrès est très néfaste.
10
§3 Les échanges
A°) L’état du commerce
Dans le cadre de la villa l'essentielle du commerce se faisait à l’interieur de la villa,
seul les surplus étaient vendu à l’extérieur. Au XI siècle il y a une reprise du commerce.
1°) La renaissance du commerce international.
Le commerce va de nouveau vers la Méditerranée. Ce commerce s’était interrompu
pendant plusieurs siècle. Il est de nouveau possible avec le recul des Arabes. Les croisades ont
également joué en faveur de ce regain de commerce. Ce sont des entreprise guérrière mais
également spirituelle. Elles ont influencés positivement le commerce internationales. Ce ragin
commerciale s’est surtout manifester en Italie qui a reprit des contacte commerciaux avec
l’égypte constantinople… L’europe importaient les produit de luxe et exportaient les peaux ,
des armes etc. Un autre foyer de commerce important est la Normandie. Entre le Nord et le
Sud se sont esquisser de grande route commerciales. Mais le transport était très compliquer se
qui a conduit les marchants à ce réunir à date ficxe à un endroit donner, ce qui a donner
naissance au foire. Dans ces foire on échange les produit venant du grand commerce mais
aussi des produits régionaux. En France les foires les plus importantes sont située en
Champagne et dans la brie car ces régions se trouvent à mie chemin entre la Flandre et l’Italie.
Ces foires sont des plaques tournantes du commerce internationales. Ces foires ont rayonner
sur l’Europe entre le XII et le XIV siècle. Elles sont aidé des autorité publique. Le roi de
France lui même s’y est intéresser en garantissant la sécurité physique des marchants qui
viennenet. Ces foires profitent d’une organisation particulière. Au XIV siècle les foires
commencent à décliner. Ceci est du au sédentarisation du commerce et aussi à cause de la
guerre de cent ans. Après le XIV, ont va trouver d’autre axes commerciaux et on vas utiliser
d’avantage les bateaux pour le commerce internationales. Le grand commerce se développe
considérablement à l’époque féodale mais on ne peut pas dire qu’l se éveloppe partout avec la
même vigueur. Le commerce renait, ce qui conduit au renouvellement des techniques
commerciales
2°) LE développement des techniques commerciales.
Ce dévelopement devient nécessaire car les échanges deviennent de plus en plus
nombreux sur des trajets beaucoup plus long. Une seule personne à beaucoup de mal à
assumer seule les risques commerciaux. Les italiens sont les premiers à crer des sociètes
commerciales. Ces associations commerciales se ratache à deux grandes formes :
- la commande : c’est une association que l’on utilisait pour le commerce maritime. Il y
a avait au minimum deux associer. Un passif : celui qui apporte les capitaux et un
actif : le marchand qui entreprenait le voyage et qui allait réaliser concrètement la
transaction. L’intérêt est que celui qui fournit l’argent reste sur place et on partage les
risque. C’est un contrat limité dans le temps ou a une seule affaire. Celui qui apporte
les fond reçoit 3/4 des bénéfice alors que le marchand recevait 1/4. C’est une forme de
contract qui était particulièrement adapté pour le commerce maritim
- La compagnie : Elle rassemble des marchands. Cecis sont issus d’une même famille.
Tout les associé verse du capital mais la s’est qu’ils osnt tous responsable et ils osnt
responsable pour le tout c a d que l’acte d’un associé entraine la responssabilité de tout
les autres. Les memebres de la compagnie reçoivent de dividande seulement à la
11
disparition de la compagnie. C’est un contract apparaissant en Italie. Mais ce contrat
était plus utilisé dans le commerce térrestre.
A l’époque féodale les société sont petites. Il en éxiste de grosse mais elles sont rares. Les
forme de commerce initiales va se brouiller. On va voir apparaître de nouvelle forme de
société commerciale mieux adapter au besion du commerce. Certaine entreprise vont se
tourner vers des activité industrielles. Les banques vont se développer, mais il n’y a pas de
banque d’affaire. De plus il n’y a pas d’emploie du capital pour le faire fructifié.
B°) Les moyens d’échanges
1°) La monnaie
À la fin de l’époque carolingienne, le droit de battre monnaie est détenu par les
seigneurs. En occident il y a aura donc autant de monnaie qu’il y aura de grand fief. Cela
n’avait pas beaucoup de répercution car le commerce se faisait localement. Mais dès que le
commerce longue distance à reprit on a vu accroitre le rôle des changeur qui déterminait le
cour commerciale des monnaies en se basant sur la réputation, le rapport entre l’offre et la
demande, de leur taille(prix du métal et du prix de la pièce de monnaie), de leur aloi (la
proportion de métal précieux dans la pièce) et de leur cour (valeur légale). Les rois reprennent
le contrôle de la monnaie. Les rois carolingiens avaient tenté mais avaient écoué ; Ce sont les
capétiens qui vont assainir la monnaie. Ils disent que la monnaie royale à cour forcé dans tout
le royaume. Ils décident également de limité les monnaies seignoriales c’ést à dire qu’lelles
n’ont cours que dan s la seigneurie. On vas accroitre le répréssion contre les aux monnayeur
(bouillis vif). Ceci s’est révélé éficace car à la fin de l’époque carolingienne il y a 340
monnaie alors qu’XIV siècle il n’y en a plus que 30.
Voir chapitre
Chapitre 3 : l’économie des temps moderne
Début : fin XV
Fin : 1789
Cette époque s’ouvre avec la renaissance. Elle est appelée ainsi car a cette époque là on
redécouvre toutes les grandes œuvre intellectuelle de l’antiquité. Elle se caractérise aussi par
la mise en valeur de nouvelles valeurs morales. C’est une période ou la place de l’homme
change de place, il aquiére une place centréle dans le monde. Il se développe aussi
l’humanisme. Celui ci va se développer grâce à l’imprimerie.
On passe ensuite à la période classique. Ce sont les notions d’ordre qui deviennent
primordiales. Au XVIII se développe la philosophie des lumières. C’est avec la philo des
lumières que vont être développé les valeurs de bonheur et de progrès. Ceci va aussi se
traduire par le libéralisme.
Sur le plan politique on assiste à plusieurs événements :
- les geurres de religions : du au développement du protestantisme : elles se transforme
peut à peu en guerre civiles. Ces guerres on ruiner une partie de l’activitée
12
-
économique pendant une cionquazntaine d’année. Ces guerres s’arrête grace à l’édit
de nantes.
La fronde : c’est une guerres civiles strictement politique qui émane des parlement et
des aristocrates. Les un et les autres vont contester le pouvoir monarchique. Ceci se
passse au milieu du XVII. C’est une source de désordre économique et politique
pendant une vingtaine d’années.
Sur le plan économique on distingue 3 phases :
- le XVI siècle : Il y a un effacement de l’ancien système économique qui se fait
progressivement.
Section 1 : Les agents de l’économie
Vers le milieu du XV il y a une amélioration de la démographie. Ceci permet à la France de
retrouver son niveau démographique du XIV siècle. La France jusqu’au du XVIII siècle va
connaître des crises démographique. Ces crises seront très sporadiques. Ces crises sont du aux
famines, épidémies et guerres. La population va se stabiliser entre 15 et 20 millions. C’est
seulement à partir du XVIII siècle que la croissance démographique sera continue. En 1790 la
population Française est de 28 millions. Avec ces 28 millions la France est le pays le plus
peuplés d’Europe. Cette augmentation est aussi un faccteur de déstabilisation éco car l’éco
agricole ne peut pas suivre. Elle va aussi faire naître un déséquilibre entre les villes et la
campagnes.
§1 : L’état
Le mercantilisme va connaître son appogé entre le XV et le XVIII. Les souverins vont mettre
en œuvre des politiques conforme avec cette idées. Le mercantilisme va être mis à mal par le
liberalisme
A°) Le mercantilisme
Celui ci repose sur un objectif précis. Il faut que l’état s’enrichisse par l’accumulation de
métaux précieux. On ne cherche pas a produire de la richesse mais acculumé des capitaux qui
existe déjà. Il faut les attirer puis les conserver sur le térritoire nationales. De cela résulte trois
principes :
- la conquête de métal précieux doit être la première préoccupation de l’état
- Tout mettre en œuvre pour la conservation des stocks de métal.
- Pour parvenir a atteindre ces buts il faut une économie dirigé ce qui aboutit au
dirigisme. Il faut que l’état s’incère dans l’économie.
Les états mercantiles vont réglementer le commerce et l’industrie. Ils vont aussi contrôler les
douanes. Il faut freiner les importations et favoriser les exportations. Ces principes sont
communs a toutes les grandes nation européenne du XIX.
Cette période commence avec Louis XI puis se tasse. Ces pratiques mercantilistes vont
atteindre leur apogée sous le règne d’Henri IV(1589-1610) et de Louis XIV.
Sous le règne d’Henri IV on va asssiter à la systématisation du mercantilisme. Elle est l’œuvre
de 2 personnes : Sully et Laffémas. Sully va instauré un contrôle des dépenses et des recettes
de l’états. Il va favoriser l’industrie de luxe (soie, tapisserie) car ils s’exporte facilement.
Pour le commerce interieur il va cherhce a l’améliorer en rénovant tout les voies de
communications (route cannaux prot). Avec sully connaît un redréssement économique.
13
Certaine région s’étaient éffondrer pendant les guerres de religions. Elles se relèveront grace
au commerce plus fleurissant. Laffémas fut le successeur de Sully. Il va s’intéresser au
commerce et aux manufacture. Ils prend plusieurs mesure de type mercantiliste. Il va autoriser
la libre entrée des matière première mais va en interdire la sortie. L’importation des produit
manufacturés sont interdite. Il veut favoriser la production national en favorisant l’entrée des
matièrees première et facilité l’exportation des produit fini. Les villes comme Lyon qui
s’étaient spécialisé dans le commerce internationale sont contre ses mesures.
Jean bapioste colber est un homme très important. C’est le ministre eplus important du roi. Il
cumul d’autre fonction. Il dirige également la marine et la maison du roi. Il est polivalent. Il
est entièrement gagnè par les idées mercantiliste. Il va élaborer une politique très dirigiste et
protectionniste. Il va également centraliser le pouvoir politique et économique.
En matière agricole : Colbert ne s’interrese pas beaucoup au activité agricole. Seulement à
travers les produit que l’on peut en retire au niveau militaire. Il va s’interresser au arras et au
forêt (marine). En mati ère commerciale Colbert se montre plus présent. Pour lui il faut retirer
les taxe sur les produit importer qui vont être utiliser en manufacture, énormément taxé les
produits finis importer et alléger les droits de douane sur les produit fini exporté. Il a une
attitude extrêment protectioniste. Cette politique va déclencher une guerre entre les pays bas
et la France. Colbert va crer de grandes compagnies commerciale spécialiser dans le
commerce maritime internationale. Elles vont toute faire faillite mais néanmoins ses éffort ne
vont pas être vint car ces effort vont dynamiser le commerce français qui va se développer
tout au long du XVIII siècle. Dans le domaine industriel, le Colbertisme va remporter les plus
grand succès. Il va créer les manufactures, ce sont les prémisses des industries. Elles vont
former le premier tissu industriel français. À la fin du XVII siècle, il y a environ 400
manufactures dans le royaume. Certaines manufacture sont rester très connus. Les
manufacture sont dans les secteurs de pointe : manufacture des goblains et de saint gobain.
L’objectif de Colbert cherhce une autonomie de la France (d’éviter d’importer). Il se penche
aussi sur les secteurs anciens de l’industrie c a d la métalurgie et l’activité textile. Finalement
avec Colbert la carte industrielle de la France existe déjà. L’industrie française est
extrêmement performante jusqu’au milieu du XVIII. Dans le domaine de finance, colbert
tente d’améliorer le système financier de l’états. Il parvient à équilibrer le budjet de l’état. Il
va limiter la dette publique. Sur le plan fiscal, Colbert éssaye de rendre l’organisation fiscal
plus égal. Ces tentative sont de courte durée car a sa mmort elle disparaisse définitivement.
Après Colbert le système fiscal sera inégalité et en déficit. En 1683, après sa mort, les
résultats de la politique de Colbert sont très positif . Néanmoins les actions de Colbert vont
peu à peut s’éffacter. Ceci est du a plusieurs choses :
- la révocation de l’édit de Nantes : on revient à l’intolérence religieuse. Ceci va
conduire à la fuite de 200 000 protestants. Il emporteront leurs capitaux avec eux
- Les guerres mener par Louis XIV : Le relations avec les pays en guerre sont détruites.
- La mise en place d’une réglementation tatillone qui va paraliser l’industrie française.
On aboutit a une stagnation de l’industrie. Ceci tombe mal car c’est l’époque des
grande inovatio technique.
- Le Colbertisme est batut par le liberalisme
Dès le début du XVII siècle des voix s’élève pour réclamer la libertée du commerce. AU
XVIII sicèle se développe l’idée que les manufacture doivent être autonomes. Ce n’est qu’a
partir de 1751 que les principes libéraux font triompher.
B°) La physiocratie et le libéralisme
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Cette nouvelle conception s’établie au milieu du XVIII. On voit apparaître le laisser
passer laisser faire. La physiocratie est la version française du libéralisme. Il y a2 type de
physiocrate :
- les théoriciens : François Quesnay : + 1774
- Les pragmatiques : il veulent faire passer le libéralisme dans les fait : Turgot (+ 1781°)
1°) Principies physiocratiques
« physio » : nature
« cratie » : puissance , pouvoir
Pour les physiocrate les phénomène économique sont dérive de ceux de la nature. On voit que
la physiovratie s’oppose au mercantilisme car dans la physiocratie ce qui est important c’est la
connaissance de la nature et l’activité économique qui en découle. Pour eux la terre est
l’unique source de toutes les richesse. L’enrichissement vient du travail de la terre. Ainsi, seul
la production agricole est la véritable production. C’est la sacralisation de la terre. Pour les
physiocrate l’argent de produit rien. Toute les autre activitée (sauf l’agriculture) ne sont que
des activitées de transformation de la production agricole. La propriété est indispensable pour
Quesnay. Du fait de la politique mercantiliste, les dirigeant précédant on laisser l’agriculture
de côté. Quesnay déplore que dans le secteur agricole il y ai beaucoup de possibilité
d’expansion mais qu’elle stagne. Il propose de passé une agriculture de subsistance à une
agriculture de production. Pour y parvenir, Il estime qu’il faut reconnaître la liberté de culture.
Il faut que chaque cultivateur puisse cultiver comme il l’entende et cultiver se qu’il veut. Si
tout ce passe bien selon Quesnay, on va sortir de la simple éco de subsitance et les
agriculteurs vont pourvoir faire des profits. Mais il va plus loin car il dit qu’il faut aussi la
sortir d’une protection juridique pour que les individus puissent travailler librement. Il faut
donc que les paysants et les artisans ne soient plus sous la contrainte des maîtres. Il faut
libérer les métier de l’organisations des jurandes, et il faut libérer les manufacture de la
contrainte étatiques. Il veut que l’état supprime toutes les contrainte qui pèse sur les paysans
et les inductries. Quesnay apporte deux restriction à la liberte qu’il réclame, il pense que l’état
doit conserver un droit de regard sur l’économie extérieur, et que son idéologie ne doit se
mettre en place que dans la paysanerie. Il aurait pourtant falllu libérer l’artisanat que était
enfermer dans un carcans depuis le moyen age. Il n’y a pas d’adapttion technique. Il y a une
sclérose de l’économie qui à pour réaction la tentative de Turgot.
2°) La tentative libérale.
Le mouvement physiovratique s’ai exprimer par une réflexion théorique. En tout cas
on costate au XIX siècle qu’un certain nombre d’action sont menée dans le secteur agricole et
qu’il y a la mise en place d’une véritable économie agricole. Il apparaît que le gouvernement
vuille organiser le secteur agricole. Il y a la création d’école vétérinaire et de commitée
d’agriculture. On publie des ouvrage d’agronomie. Le gouvernement va essayer de briser
certaine règle ancore en vigeur depuis le moyen age. Il va organiser le partage et l’achat des
communaux. Il va permettre la cloture des terre ce qui permet une agriculure individuelle.
D’autre mesure essaye de brisée les habitudes ancestrales. Mais cela ne profite qu’aux riches
agriculteurs. Le gouvernement se fait également l’écho de la physiocratie dan s le domaine de
l’industrie en mettant en place des mesure pour « libérer » l’industrie. Turgot à déjà mis en
œuvre ces idée dans sa circonscription. Il va être nomé par le roi Louis XVI pour réformer
l’économie. Pendant deux ans (1774-1776) la France va connaître le libéralisme. Turgot va
s’entourer d’un petit commiter de personne favorable au libéralisme. Elles sont fatouchement
opposer au notion de corporation. Turgot est très favorable aux libertées indivitudelles. Il va
15
commencer par decréter la liberté du commerce des Grains. Mais ceci va provoquer des
soulevement car il n’y a pas d’adaptation du marché. Sa deusième mesure c’est la suppression
d’une corvée qui était du au roi , celle de l’entretient des routes. Turgot va creer un impot
général payer en argent pour l’entretient des route. Il décide de mettre fin à toutes les
marchandises qui ne sont pas produites dans les corporations. Sa mesure la plus importante est
celle de l’abolition des corporations, c’est donc la liberté d’entreprendre et la liberté de
fabrication. Mais ceci va suciter un immence tollé. Les gens ne veulent pas l’abolitions des
corporation. Les maîtres de corporations vont s’y opposer mais les compagnons également. Il
est possible que les compagnons se soient fait endoctriner par leur maîtres et ils étaient aussi
très attacher à ce cadres de travail. Ils tiraient également une fièrter d’appartenir à une
corporation. Il y a une opposition des corporations elle même mais également celle des
parlement (ce sont des institution qui sont composer de juriste qui sont sensés enregistrer les
textes de lois.) Ces parlement n’avait au départ qu’un droit d’enregistrement des textes. Petit à
petit quand les parlements refusait d’enregistrer un texte, ils écrivaient une lettre au roi pour
expliquer pourquoi ils étaient. Puis peu à peu les lettres devinrent politiques. Les Parlements
sont devenus peu à peu des bastions d’opposition contre le roi. De ce fait toute les réforme
tenté par le roi sont bloqué par les parlement. Louis XVI a forcé le parlements a accepter le
texte mais Louis XVI est forcé de renvoyer Turgot, ce qui a pour conséquence la remise en
place des corporation mais d’une manière plus souple.
Turgot en renvoyer en 1776 aprèsLe gouvernement royale ésite entre libéralisme et dirigisme.
Cette ésitation est visble dans le secteur du grain et du textile. Pour stimuler ces exportations
la France passe en accord avec l’angleterre. La France va baisser ces tarifs douanier. Mais la
encore il y a une forte contestation générale. A la fin de l’ancien régime, les cadres
traditionnels sont encores très présents. Ils constituent une contrainte mais sont également un
forme de protection. On voit aussi que le système est globalement éssouflé, la France à de
gros problême économique. C’est une période de crise. Cette crise se manifestepar le modèle
économique. Il y a une crise des institution (la monarchie est conteste) mais aussi les ordres.
A cela s’ajoute une crise financière extrêmement importante. L’état est au bord de la
Banqueroute. On arrive donc a une impasse. Pour résoudre les questions urgentes, Louis XVI
convoque les états généraux en juin 1789. Ce qui va aboutir la révolution qui va remettre en
cause la royauté.
§2 : Les sociétés
Colbert au XVII siècle a voulut étendre se mode de production que sont les jurandes et
les a renforcer. Les jurandes ont des monopole donner par l’état. De manière général la
monarchie a favoriser l’appartion et le maintient des jurandes au début du XVIII siècel . C’est
le principale mode de production économique jusqu’au début du XVIII siècle. Elles peuvent
êtres très nombreuses dans certaines villes comme Paris. Il y en a d’autre beaucoup plus
libérales comme Lyon ou il y a trsè peu de comunautée de métiers. Ces communautées
veulent acquérir des privilèges. Dans certain cas les jurandes sont très utiles comme chez les
appoticaire qui ont besoin d’un contrôle. Certaines de ces activités connaissent une
concentration de capital et de main d’œuvre. C’est le cas de l’imprimerie, de la papetrie et du
textile. Les corporations sont extrèmement importantes jusqu'à la fin de l’ancien régime mais
leur images est ternis car on les accuse de vouloir simplement garder leur privilège. Au milieu
du XVIII siècle le gouvernement interdit la création de nouvelles jurandes. C’est la révolution
qui supprimera définitivement les jurandes.
A°) Les sociétés de personnes.
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Ce qui est déterminant c’est la qualité des associés. Ce type de sociétées est
parfaitement définit néammoins une société de personne n’est pas toujours décelable. A cette
époque on ne dit pas de quelle type de société il s’agit ; les textes sont assez floue. Les choses
commences a changer avec Colbert, il va organiser le droit des sociétés. Il va être a l’origine
d’une grande ordonance : l’ordonance du commerce. Son bit est d’unifié le droit commercial.
Il organise les sociétés de personnes et laisse complétement de cotées les sociétés de capitaux.
Les sociétés de personnes osnt la forme de société la plus répendus. Il y en a trois
catégories :
- La société générale : société en nom collectif : dans ce cas la société doit porté un nom
d’un associé. Dans ce type de société tout les associés sont commercant. Elle est créer
pour un petit nombre d’année. Dans ce cas les associés sont solidaire. Tout le monde
est reponsable des actes de chacun. Comme se sont des société de personnes, si un
associé meurt il faut dissoudre la société. Le capital n’est pas important, ce qui est
important c’est le savoir faire des associés. Ce sont souvent des société familliale. On
les utilise pour tout type d’activitée commerciale.
- La société anonyme : on l’appelle anonyme car il n’y a pas de statut écrit. Elle sont
anonyme car elles sont souvent constituer que pour une seule affaire. On les créer pour
un but précis. Ex : société de guerre de courses : société que l’on fait avec des
corsaires. (Les corsaires agissent pour le compte du gouvernement). Le corsaire va
attaquer des bateau sous ordre de l’état. Quand l’opération réussit, le corsaire a
l’autorisation de vendre les biens qu’il a acquis. Les bénéfices sont partager entre le
corsaire et son équipage et les spéculateur. On utilisait donc la société anonymes pour
garder un certain secret. Evidement les société de ce genre pouvait faire apparaître des
abus.
- La société en commandite : Dans cette société, il y a deux type d’associté ; Il y a ceux
qi vont gérer la société et puis il y a ceux qui vont simplement apporter les capitaux.
C’est une société de personnes mais dans laquelle ont fait apporter des capitaux de
l’extérieur. Ceux qui donne l’agent sont les commanditaires et ceux qui gère la société
sont les commandité. La responsabilité des commanditaires est limité au montant des
capitaux qu’ils apportent. Mais les commandités sont solidaire. Ces sociétés pallient
l’absence banque comme institution ; il n’y a pas de crédit. Comme il est interdit au
menbre de la noblesse et du cleger de faire du commerce, ce type de société leur
permet de placer leur argent et de le faire fructifier. La structure de cette société est
utilisé dans l’ancien régime dans le domaine du commerce coloniale. Cettte société se
trouve a mis chemin entre les société de personne et les sociétés de capitaux.
B°) Les sociétés de capitaux
Dans ces société la personne des associés n’est pas primordiale. Ce qui est important
c’est la capitale qu’ils mettent en commun. A la fin d’ancien réfime il y a deux forme de
sociétés de capitaux
1°) Les sociétés créer par le roi
Elles sont créer par l’autorité centrale pour le commerce coloniales. Elles sont ignauré
par l’ordonnance de Colbert car elles ont caractère un peu spéciale car seul le roi a le capaital.
Les première société de ce type apparaisse en hollande. La France va prendre modèle car les
expérience mener sont très fructueuse. Colbert va donc créer de grandes compagnies
commerciales. Il institut la compagnie des indes orientale et occidentales ect… Ces comagnie
fonctionnent toutes a partir d’un modèle. En premier lieu , il y a toujours un acte royale qui
17
préside à leur fondation ; ce sont donc des société publique. Cette acte ffondateur fixe
également leurs status. Le capital est divisé en actions et de plus les actions sont librement
vendables. La responsabilité des associés est limité par leur montant en apport. Il y a une
assemblée générale des actionnaires pour examiner les comptes des actionnaires. C’est
généralement le roi qui est majoritaire. Ce sont des société qui font du commerce mais elles
sont aussi chargé d’administrer des térritoire colloniaux. Cela signifit que le roi vas leur
actroyer des prerogative de puissance publique : ex : la compagnie du sénégal aura le droit de
rendre la justice. Certaine de ces compagnie auront le droit de dirigé une armée. De plus elles
obtiennent des monopôles commerciaux pour un temps limités dans les térritoire dont elle est
chargée. Les société de capitaux ont pour origine directe ces compagnie coloniales. Avec le
développement de l’industrie ont va avoir besoin de société ayant le pouvoir des dréner
beaucoup de capitaux. On va donc assiter à la création de sociétés privées.
2°) sociétée de capiaux purement prives
Elle ne tirent pas leur origine de ces sociétée coliniales. Ces société résulte de l’évolution des
sociétées de personnes . Elles connaissent un démarage difficile sous louis XIV. Puis au
millieu du XVIII siècle leur nombre croient du au libéralisme croissant. La France comence a
s’industrialiser et ses société vont être utiliser pour rassemblé l’argent dont on a besoin.
Toutes les classes sociales sont intéressées par les sociétés de capitaux car elles représente une
source de revenue. Leur mode d’organisation facilité d’investissement en liquidité. Dans ces
société on organise un système de négociabilité des parts. Pour être attractive les société de
capitaux mettent en œuvre le système de non responsabilité au de la du capital investit. Par
contre tout n’est pas clairement déffinit comme la notion d’action (prise d’intérêt ou
obligation donné par la société à l’actionnaire) De même la notion de capital social n’est pas
très bien définit. On a du mal à considéérer le capital étant propiété de l’entreprise et non celle
des actionnaire. Au XIX les actions sont nominatives, pour les vendres la procédure est très
lourdes. On voit à la fin de l’ancien régime la création des action au porteurs (c’est un titre
portant simplement un numéro). A la veille de la révolution, le titre au porteur fait partie
intégrante de la vie économique. Les sonciété par actions sont dirigé par des administrateur,
des conseil d’administration et des assemblée d’actionnaire. Il y a une grande différence par
rapport au soc coloniale c’est que les actionnaires ont un véritables pouvoir. Ces soicété
n’apparaissent pas dans l’odonnance de collebert et se sont donc créer dans un vide juridique.
C°) Les société à priviléges
1°) Les manufactures
Ce sont des entreprises qui rassemble en un même endroit des métiers différent. De plus elle
produise des produit avec la protection du roi. Le fait nouveau est le rassemblement de
plusieur corps de métier. Elles se multiplient sous l’influence de colbert. Ellees échappent aux
système des jurandes, elles sont donc autonomes. Ce sont des établissement privilégié par la
royautée qui se traduit par un monopole. Elles sont le bien souvent appeler maison du roi,
dans ce cas l’état est totalement propriétaire ; ce sont en grande partie les arsenaux. Les autres
manufactures sont appelees manufacture royales mais elles n’appartiennent pas au roi , elles
sont privée. Elles s’appellent royales car elles ressouvent des aide financière du roi ansi que
des privilège. Ces priviléges sont le plus souvent des monopoles de vente (dans une province
ou dans tout le royaumes), accessoire (dispensé des règlement de fabrications), des
exemptions fiscales, anoblissement du fabriquant ou naturalisation des ouvriers étrangers.
L’état dans les manufacture se trouve particulièrement attentif au recrutement, ils cherche a
attirer les ouvriers les plus qualifiés. Il veut que les manufacture soient des entreprises de
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l’exélence. Colbert n’hésite pas à débauché des ouvriers à l’étrangers. Ils y a aussi les
manufactures privilégiers qui ne ressoivent par d’argent de la part du roi mais seulement des
privilèges. Toutes ces manufactures sont surveillées de très près. Elles sont intéressantes car
elles sont représentatives de l’esprit français mais aussi car certaine était très importante.
Techniquement ces sociétés sont des sociétés en commandite.
Section 2 : cles secteurs d’activité.
En angleterre au milieu du XVIII siècle commence la révolution inductrielle, elle a été
précéder d’une révolution agricole en 1760 en reméttant en cause le principe des champs
ouverts. On passe alors aux système de clotures de térrain puis au remenbrement des
parcelles. Ceci va transformé le paysage agricole. C’est le démarage de la révolution
inductrielle. Cette révolution va permmetre l’innovation de technologie nouvelle (ex :
machine à vapeur). On voit alors l’apparrition du machinisme qui va affecter la manière de
travailler. Ex : l’industrie textile en angleterre. On voit aussi la multiplication des haut
fournaut. On constate également que dans ces deux secteur (métalurgie et textile) il y a une
augmentation de la demande.
§1 : l’agriculture
Au XVIII l’agriculture a une place prépondérent e dans l’économie française. La
population rurale représente 85% de la population. Globalement le système agricole apparaît
figée mais on voit peu à peu une croissance
A°) Les structure traditionnelles
1°) Les survivances du régime seigneurial
A la fin de l’ancien régime le régime seignorial s’est maintenu en tant que structure
sociales. A partir du XVI on ne trouve plus que très peu de cerf. Par contre la sancive éxite
toujours se qui reconnaît au seigneur un droit sur la terre. Cette taxe éxigte toujours au XVIII
mais il est vexatoire car il ne se justifie plus. Les paysans continus également à versé la dime
et les champars. Les droits s’entremêlent monarchie, égise, artocrates.
Les impots que les paysans doivent payer au roi augmente. Pour récolté les impôts, le
roi utilise des fermiers généraux. Il se démunaire par la différence entre ce qui est du et se
qu’ils s’arrive à récolter. Les paysans sont très taxés mais il y a une minaurité qui est celle des
fermier qui arrivent à l’enrichir et donc à louer de vaste domaine. On voit donc la formation
d’une petite caste de paysans riche et donc d’un capitalisme agraire. Mais ces paysans sont
peu nombreux car la plus part des paysans vivent très modestement, on peu même dire que la
petite paysannerie s’appauvrie. À la fin de l’ancien régime, il y a très peu de capital investit
dans ce secteur
2°) Des modes d’exploitation traditionnelle.
L’agriculture n’a pas tellement évolué depuis le moyen age. Elle est principalement
céréalière qui s’explique par le fait que le population s’en nourisse quasiment exclusivement.
Commen au moyen age les rendement sont faibles car les sols très exploiter ne sont que très
peu enrichie en engrais. De même les terre continue d’être exploiter selon un mode collectif
du au problême de l’assolement triénal. Au XVIII siècle on asiste en angleterre à une
tranformation du système agricole avec le cloturage des térrain. L’bojectif est d’augemnté la
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rentabilitée des terres. La France qu’en a elle ne suit pas le mouvement. Les modes de
cultures restent traditionel. Les prix varient fréquement en fonction des récoltes et en fonction
des diverses ponctions exercées. Ceci est encore accentuer par le cloisenement du marché en
France, ce qui fait que dans certaine année une région peu manquer de denrée alors que dans
une autreson peu être exedentaire sans qu’il y a ai de transfère.
B°) L’amorce d’une croissance agricole.
On voit que les intellectuels et l’autorité publique essaie de changer les choses. Il y a une
ammorce
Section 2 les échanges
A°) Les marchés intérieurs
1°) Les lieux d’échanges isolés.
Il y a comme dans le moyens age une très grand nombre de foires et de marché ; Ces
marché se situent dans les villes et sont souvent de petite taille et permettent l’échange de
biens de consommation immédiates. Qu’ils s’agissent des marchés ou des foires ,ils restent
des lieux d’échanges officiels qui reste sous le contrôle des autorités publique. Ils permmetent
de rassembler une offre et une demande très disperser. Sous l’ancien régime il y a une
multitude de marché locaux. Les villes sont également des lieux d’échanges. Elles sont très
rarement sous l’ancien régime des centres inductrielles, elles sont tout d’abord des centres
administratifs, culturel, commerciaux et comme au myen age les villes sont toujours des zones
d’activitées commerciales intenses. Elles ont un role de dinamisation de l’économie, elles
permettent l’évolution de la production des campagne. Le grands commerce est pratiquer par
le négociant, les grossistes, les banquier, les armateurs. Cees gens ont des activitées multiple
et menent des opérations mais s’occupe aussi de faire de l’assurance ,du change ou du
commerce de commission (il execute des ordre donné par un autre marchant). Ils se
déplassent dans les rares endroits ou l’on peu faire du commerce de grtandes échelles. Mais
dans le royaumes il y a une multitudes de petit marché mais est très peu communiquant entre
les zones. Le cloisonement des marché est accentué par la différence de mesures entre
certaine régions. De même les transport reste difficile et chère. On utilise les vois d’eaux.
Autres difficulté : existence de taxe sur le circulations des marchandises, il y a des payages,
des douane intérieur et des octroie à la porte des villes. Les payages au XVIII sont très
nombreux et situé sur les routes. Il y a également trois zones douanière dans le royaumes on
l’on doit payer des taxes. Celle ci ne seront suprimer que par la révolution. Toutes ces taxes
peuvent atteindre 30% du prix des marchandise. Ces taxes sucite une très intense contrabande
qui est véritable plaie comme pour le sel, le tabac et le coton.
L’ensemble va entretenir les morcellements des marchés. Le gouvernement
monarchique vas essayer de prnedre des mesures pour y remédiers.
2°) Les mesures d’améliorations tentée par le gouvernement monarchique
Une des première mesure prise va être matériel : facilité le transport des biens en
améliornat les transport routier en contruisant de nouvelle route et en baissant le cout des
transport. Le pouvoir monarchie va s’intéresser au tracer des routes et va les classer par ordre
d’importance. Ces routes hiérarchisers vont être équipé différement selon leur importance.
L’état pour réorganiser le réseau routier va instaurer un budjet spécial. Il va crer en plus une
administration particulier afin de s’oocuper du réseau routier. Les progrets sont lent et le
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réseau ne s’améliore que peu à peu. On constate des porgret que sur les grands axes. On va
réussir à réduire le cout de transport dans tout le royaumes. Le gouvernement va tenter de
racheter certain payage et de les supprimer et si il ne paut pas les racheter il vérifit sa
légitimité. Dans la deuxième moité il n’éxite plus que 2000 payges dans le royaumes.
Lorsqu’on rapport le commerce intérieur par raport au commerce extérieur on constate qu’il
replésent 4/5 des échanges. Même si il est important en volume il ne génère que de petit profit
à la différence du commerce extérieurs.
B°) Moyen d’échnages
1°) La monnaie
Conceernant la monaie métalique, il faut évoquer la cirvulation des métaux précieux à partir
desquels on la crer . Au début des temps moderne jusqu’au XVI on constate un afflut d’or en
Europe issus des colonies. En suite jusqu’au début du XVII , il y a une diminution de l’or por
l’argent. Le cuivre qu’en a lui est aussi dans une période de valorisation car il est utiliser dans
l’industrie et pour la frappe de la petite monnaie. Pendant le XVII il y a une crise du
numéraire. A cause de l’accroissement des domaines coloniaux et donc des échanges, il n’y a
plus assez de monnaie. Au XVIII il y a une reprise du numeraire grace au mine d’or du brésil.
Il faut retenir que pendant les temps moderne, l’extraction, l’exploitation, et la mise en
circulation des métaux précieux est un pent important de l’écoomie. Le XVII est une période
de ralentissement économique car il y a beaucoup de guerre. Il y a également une instabilité
monétaire, sauf en Angleterre. Au début du XVIII on tente une réforme monnétaire en France,
celle ci va assainir la situétion et onrevient donc a ue certaine stabilisation. Mais les moyens
de payement reste insufisant. Même après l’afflue de métal précieux du Brésil , il manque
toujours de la monnaie. Cette crise a favoriser l’apparition de la monnaie fiduciaire. Elle va
provoquer la transformation du crédit. On voit aussi l’apparition de la lettre dechange. C’est
une oppération qui met une relation plusieur personne . c’est une oppération de change et une
oppération de crédit. Elle va évoluer car elle devient négociable, elle va donc finir par circuler
comme un billet. Cela est rendu possible par deux moyens c’est l’endossement et le
réescompte. Le lettre de change se développe e plus en plus au cours du XVII et XVIII est elle
devenue le moyen principale pour faire circuler des capitaux dans le grands commerce.
Les billet sont utiliser deans l’ancien régime pour les transactions de moidre importances.
Tout les billet ne sont pas de nature commercal car il peuvent être utiliser entre particuliers. Il
n’y a pas qu’un seul billet. Le billet de banque vient de l’origine du billet existant déjà sous
l’ancien régime : le billet au porteur, il est utiliser dans le commerce et entre les particulier. Il
met en relation que 2 personnes. A la différence de la lettre de change il n’y a pas de
condition de lieu ni de monnaie. Le payement peut donc être éffecctuer par le souscripteur lui
même et au même endroit. L’état aussi a voulu émettre des billets sous l’ancien régime ; le
sysème le Law (john law : ministre des finances sous Louis XV). C’est un système de billet
destiner à redresser l’économie du pays. John Law veut crer des moyens d’échanges abondant
et qui peuvent ciruculer rapidement. La monnaie va avoir un ro^le très important pour JL, a se
point qu’il estime qu’il faut s’assurer de sa quantité et non de sa qualitée. Il pense que la
monnaie va trouver son souffle par les éhanges qu’en va engendrer. Concrétement il va
essayer de mettre sur pied une banque a qui l’état va donner le privillège d’émetre des billet
de banque remboursable à vue et au porteur avec une valeur nominale du billet fixée sur une
monnaie de compte. C’est la première banque étatique française. Le procédés est bien accepté
par le publique. Au début la banque est privée puis elle va devenir publique : Banque Royale.
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Elle va emmetre une quantité d’argent de plus en plus importante. L’activité banquère marche
bien mais elle soutenue également par le commerce coloiale. Mais les actions qui soutienne la
banque chute et on assite donc a une crise de confiance vis à vis de la banque. C’est donc un
echec financier cuisant qui va susiter une méfiance des français vis ç vis des billet des
banques. Avec la chutes de la banque royales, la France pert sont premire organes régulateur
de l’économie.On revient au espèce monétaire que l’on connaissant avant.
2°) Institution financière qui existe sous l’ancien régime
Les deux nouvelles institutons financière sont la bourses et le système banquaire.
La bourse : Le marché des capitaux se développe dans une contexte libérale et
d’industrialisation. Cela se matérialise par la création de la bourse dans toute les grandes place
économiques. La première est celle d’amstèredam. Celle de Paris sera créer en 1724. La
bourse ne s’occupe pas seulement des actions et des créance, on vend aussi des marchandises
en gros et des valeurs mobilière. Ex : la compagnie des indes : ces actions sont coté en
Bourse. En réalité les société cotées en bourse sont très peu nombreuses. Les acteurs sont les
particuliers (négocians , marcahnt, banquiers), les officier (ceux qui on acheter une charge à
l’état que l’on appel office) Ils interviennent obligatoirement sur des actions émises par
l’état).
La banque : pendant les temps modernes l’activité bancaire est du au négoc. Néanmois
un certain nombre d’entre eux finissent par se spécialiser dans l’emprunt et le crédit. Ceci est
rendu possible par leur réputation de confiance. Il n’y a aucune condition ni réglementation de
l’activitée banquaire. La banque est ouverte a tous y compris aux nobles. AU XVII siècle la
grande ville de l’activité banquaire est paris. C’est la plus importante en Europe.Les banque
parisiennes sont structurer sous la forme de sociétée de personnes . Les plus connus au
XVIII : Banque vernet : elle a des client dans plus de 70 villes europenne. Elle a une caisse de
dépôt, elle pratique le crédit a court therme…) Après l’échec de Law on ne voulait pas
recommencer les même érreur mais l’état se rendait compte d’avoir un organe de régulation et
donc d’avoir une banque publique. L’angleterre au XVII c’était spécialisé dans la pluralitée
des banque. Plusieur banque émettait des billet différents. En France, conformément a sa
mentalité s’ext orienter vers une seule banque avec un monopole mais l’état ne voulait pas
éffrayer les gens avec cette nouvelle tentative, on n’a donc utiliser une autre dénomination
que banque : la caisse d’excompte, sous trugot en 1776. C’était une société en commandite
par action qui était chargé de recevoir des dépôt et de pratiquer l’escompte (présenter son titre
avant échéance). L’idée était de créer des garanties pour soutenir les billets émis par la caisse
d’escomptes. Cette caisse a recu le monopole de l’émission des billet. Lors de cette seconde
expérience, l’utilisation des billet était réserver au gens fortunée, la banque émettait donc des
billets de grandes valeur. Ces grosses coupure circulait entre négociants et gens fortuner. La
caisse d’escompte avait aussi pour mission de réguler l’escompte c’est à dire qu’elle était
chargé de réguler le crédit à court therme. C’est une demande de turgot qui permet de réguler
le taux de rémunération du crédit commercial. A paris le commerce à pu trouver des crédit
peut cher ce qui à stimuler le commerce. Le système était assez saint au départ mais il y a une
dérive, l’état c’est rendu compte des avantage qu’il pouvait tirer de cette caisse d’escompte et
va peu à peu être utiliser pour aider le gouvernement et en contrepartie il va autoriser la caisse
à émettre plus de billet. Les emprunt de létat se sont multiplier , il est trsè endété à la fin de
l’ancien régime. La caisse fin par avoir une très mauvaise réputation au près de commerçant.
Elle va être dissout pendant la révolution en 1793. Il y a donc eut deux tentative de banque
centrale sous l’ancien régime qui on toute les deux échouées. Cependant la caisse d’escompte
à eut comme effet pôsitif de réabituer au billet de banque. On peut dire également que la
caisse d’escompte est l’ancètre de la Banque de France.
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Après tout cela (guerre, expérience bauquaire ratées …), le déficite des finance
pubique va s’accroitre. L’état va donc émettre des emprunt public mais a force personne de
prète plus rien à l’état. Pour trouver une solution au problême financier le roi est obliger de
convoquer les états généraux. Ils s’ouvrent le 5 mai 1789 mais la question financière ne sera
pas résolue.
§3 : L’industrie
B°) L’industrie et le commerce
La convention prend des mesure drastique, elle fixe les prix. A la fin de septembre
1793 l’assemblée va votée la loi du maximum général. Elle va fixée de manière autoritaire le
prix des denrées mais aussi le prix de salaires. Elle prend les prix de 1790 qu’elle augmente
d’un tiers et les salaires de 1790 qu’elle augmente de la moitier. On observe l’augmentation
de la dissète après cette loi car le marché noire se développe et les denrées sont de plus en
plus rares. Une commission est créer qui est chargé de créer un tarif général. Ceci consiste a
tarifier de manière légale, les prix et les salaires. Malgrés cela le marché noire continue à se
développé et les salaires trop bas suscite des révoltes chez les ouvriers. Toutes la vie
économique du pays (extérieur et intérieurs) est régie par deux commission, celle de
l’agriculture et celle du commerce. C’est a cette époque que s’installe la térreur. L’état se fait
également propriétaire des insdustrie liée à la guerre, il contrôle l’industrie privée en fixant les
prix et les salaire et contrôle également le commerce extérieur. Mais la convention ne réussit
pas à amélioré la situation. L’instrue et le commerce sont directement affecter par les
changement politiques et cours. Il y a également à cette époque une crise du numéraire qui
s’ajoute à une crise du crédit. Tout cela se conjuque et finit par bloquer le commerce et
l’industrie. La France va mettre un certain temps pour retrouver sont niveau de 1789. La
production industrielle retrouvera son niveau en 1789 an 1814.
C°) Les finances
A la fin de l’ancien régime, le pays est au bord de la banqueroute. Mais les problême financier
ne sont pas endiguer par la révolution. Les constituants ont réformer le système fiscale, cela
s’avert néttement insufisant car les impots ne rentre pas dans les caisse de l’état. L’assemblée
est donc obliger de recourir a des expédiant pour trouver de l’argent rapidement. Ces
expédiant sont
- les empruns publiques
- dons a l’état : au début la noblesse et la bourgeoisie vont faire des dons assez généreux
- contribution patriotique : impots révolutionnaire qui serai payer spontanément :
résultat très insuffisant et cette contribution va devenir obligatoire
A plus long therme, la solution trouver par les révoltionnaires est de trouver de l’argent par la
vente des biens nationnaux et des assignats. Ces ventes constituent les principales ressource
de l’état pendant la récolution. Dans les biens nationaux on trouve les biens confissquer à
l’église, les biens de la noblesse émmigré et ceux des condamné par les tribunaux
révolutionnaires. C’est parce que la nation avait confisqué les biens de l’église que l’état
c’était engager à rémunérer les prêtre. La somme des divers enpruns publiques avait été divisé
en titre les assignats ,ceux ci corespondait à l’intérêt des empruns publiques.
Tout a basculé lorsque les assigant sont devenu une monaie légale. On commencé à
leur donné unn cour forcé puis on a supprimé le cout des intérêt qui pésait sur eux. Il sont
devenu de la monaie.
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La révolution se met à émettre des billets de plus en plus rapidement. Il arriva un
moment ou les billets n’était plus soutenue par les biens nationaux. De plus lorsque les biens
étaient vendus, les assignats correspondant n’étaient pas retirer. Il y eut donc une énorme
inflation environ 45% e 1790 et 1795.
Cette politique fut une catastrophe, le cours des assignats s’éffondre. Les principales
ressources entre 1792 et 1795 sont la vente des biens de émmigré, les buttins de guerre et ses
assignats qui se multiplie. La période révolutionnaire se caractérise par un désordre national.
De plus l’impôts échappe à l’état centrale et donc en 92, 93 ,94 l’état continus a émettre des
emprunts qui sont maintenant obligatoire. La ressource la plus importante reste les assignats.
Malgrès ces diverses mesures, la convention ne parviendra pas à remettre de l’ordre dans les
finance.
Thermidoriens
La politique des thermidoriens est modérée. Ils savent qu’il ne pleuvent plus maintenir se
système d’économie dirigée. L’opposition augmente car l’opignon est très défavorable à ces
mesures autoritaire et par conséquant le gouvernement thermidoriens supprime la loi de
maximimum général et on rétablie la liberté du commerce extérieur. En matière financière, les
thermidoriens éssayent de rétablir la situation mais l’inflation est toujours très importante. Il
n’ont pas le temps d’attendre les résultat de leurs actions car ils sont chassé par le directoire
(pouvoir éxecutif confier à 5 directeur). Le directoire va réussir à régulatisé l’économie et les
finances. La ligne général du directoire est le libéralisme conforme à la bourgeoisie. A partir
de 1795 c’est la bourgeoisie qui domine le pays. Au point de vue agricole, le directoire laisse
les paysant complétement libre mais il y a tout de même une suveillance. Du point de
vindustrielle, c’est également le laisser faire qui est instaurer. L’état a une attitude insitative ;
Du point de vue du commerce cherche à moralisé les pratique commerciale.
Malgrès ces différentes mesure, l’activitée économique n’est pas très rayonnante, c’est
surtout dans le domaine financier que le directoire a été éficace. Son action principale est la
création du franc en 1795 face à l’échec financier des assignat. A cette époque, le franc est
seulement une unitée de compte. On brise publiquement la planche à assignat qui était
sysnonime de ruine. Accéssoirement le gouvernement réorganiser va les salaires. Il institue le
payement des salaire en focntion de la valeu du blé. Le directoire prned donc des mesure saine
mais concrétement les finance ne sont pas au beau fixe. Le gouvernement a donc encore
recourt aux empruns. Il réorganise le système fiscale et met un budjet stable. Malgrès cela la
situation s’agrave et finalement en 1799, le directoire est aculé à la faillite. Cela dit , ce
gouvernement pose les base d’une organisation financière saine. En 1799, il y a le coup d’état
de Bonnaparte
Section 2 : Le consulat et l’empire
Le directoire avait tenté de redrésser la situation, mais elle s’améliore pas vraiment.
Cette situation s’arengera sous l’enpire et le consulat (1799-1804). La confiance va renaitre
sous le consulat. On attend que Napoléon pacifie le pays. Napoléon va bénéficier d’un
contexte favorable : ,victoire militaire (paix), nouvelle monaie (assainissement financier)
§1 :organisation financière
L’action du premier consule va porter sur trois point :
-la création d’un administration des impot directe
- dévelepoment des impots indirecte
24
-
la réorganisation des crédit
1°) administration des impots directe
Napoléon a réformé le système fiscale. Il va confier les impots à des fonctionnaires
spécialisés. On va renoncé à une collaboration spontané des impots et on va travailler vers
une organisation très forte et structurer. Il va créer une administration des impôts dans chaque
département. Toutes ces organisation départementale sont diréectements réliées au ministres
des finances. Ces nouvelles administration vont rattrapé le retard qui à été pris durant les
année précédente. Grâce à ces administrations en 1801, les impôts qui sont voté sont mis en
recouvrement à la fin de l’année.
A partir de 1804 on décide que tout les gens qui percevront les impots, nommé sans
exeption par le premiers consul. Cela permet d’assurer un contrôle directe sur la perception
des impotes, L’état se réaproprie définivement des contributions directe. Le pouvoir central
echoisit toute les personne qui s’occupe du rétablissement et du recouvrement des impots.
Les impots directe de l’époque napoléonnienne sont
- l’impots foncier : c’est un impôt créer par le révolution et maintenu s par napoléon.
Napoléon va améliorer de système. Il créer de cadastre
- impôts sur la fortune : contribution directe mobilière.
- On rétablit la patante : un impôt sur l’activitée commerciale
- On créer l’impôts sur les portes et les fénêtres
Napoléon crer les outils néssassaire à la gestion des impots. Dans l’ensemble, il y a eut une
diminution l »gère des impots directe, mais cette diminution est compensé par les impots
indirecte
B°) Les impots indirecte
La plus part des impots indirecte avaient été supprimé par la révolution. Le directoire
et le consulat vont les rétablir. On va donc otorisé la perception des octroit sur les produits de
première nésséssité et on va rétablir une taxe sur les produit alcoolisé. On rétablit également
l’impôt sur le sel. Et quelques années plus tard on instaure le monopole du tabac qui est subit
à une taxe.
Une fois ces impots rétablis, il faut les gérer. On va maintenir l’aincien système qui
consiste à confier aux régis la gestion des impôtes indirecte
C°) La monaie , le crédit et la banque de France
Il a jouer un rôle centrale dans la restauration du crédit d’état et de la monnaie. Il fait
voté en Mars 1803 un loi consernant le France. C’est la charte monétaire de 1803 :
- Le Franc devient l’exclusive unité d’échange.
- La valeur du franc sera stable pendant un certain nombre d’année.
Très vite le franc devient la meilleur monae européenne. C’est une monaie saine et stable
Napoléon va s’attacher à réduire la dette publique pour cela , il créé la banque de
France en 1800. AU départ la banque de France est une banque privé. Elle a un capital très
important qui est divisé en action et que le publique peut aquérir. De plus les dirigeant sont
élus par les actionnaire. Dès l’origine elle va bénéficier du soutient de l’état. Ces relations
vont changer peu à peu. Au debut, elle gère le dépôt, l’escompteet peut émettre de billet. Au
début l’état est un client mais cela va changer peu à peu. L’état lui a ccorde le monopole
d’émission des billet de banque, en suite Napoléon va décider que les dirigeants seront élus
par les 200 actionnaires les plus riches, puis il va instaurer un gouverneur nommé directement
25
par Napoléon. Tout cela fait que la banque de France perd son status de banque privée. Il y a
aussi création de sucursalle de la banque de France dans les provinces. C’est comme cela
entre 1804 et 1808 que la banque de France est devenue La banque de La France.
Les remières années sont couronnée de succés , ensuite la situation est relativement
bonne jusqu’en 1812. en suite la situation se dégrade. Mais elle reste une institution éfficace
jusqu’au de but du 20 siècle. Elle va permettre de maintenir une stabilité. C’est la grande
réussite de la banque de France.
§2 : Les secteurs d’activitées
A partir 1799 l’économie de la France se relève mais les résultat varient selon les dommaine.
A°) l’agricultures
En matière agricole, le gouvernement intervient peu (c’est l’indice d’un vision un peu
percantiliste instaurer par napoléon). Ces interventions se limite à l’encouragement de la
culture des pommes de terre et de la bétrave a sucre. C’est aussi le début du recul de la jachère
qui vient du fait qu’un sort d’un système collectiviste et que l’on utilise de plus en plus
d’engrais.
En ce qui concerne l’élevage, Napoléon s’y interesse dans le dommaine ou cela peut
servir à l’armée. Il créer donc des écoles vétérinaire et de haras. C’est donc une intervention
limité dans le domaine agricole.
Pendant toutes la période Napoléonienne, l’agriculture reste stationnaire.
B°) L’insutrie
Le gouvernement se trouve beaucoup plus interventionniste. Napoléon n’a cesser de
mener des campagnes militaire et donc tous se qui concerne l’armement et les munitions est
très importants à ces yeux. Napoléons veut dominer l’Europe, mais le vent tourne à partir de
1812 contre la Russie.
Ces guerres on causé la mort direct ou indirecte de 800 000 mort Français durant le
consulat et l’empire. Durant la révolution, il y aurait eut 600 000 morts. Au total entre 1792et
1815 1 400 000 hommes disparaissent en France.
On conprend donc que dans ce contexte l’industrie militaire est très importante ; de
plus Napoléon veut faire de la France une puissance industrielle très forte.
Napoléon Créer le livret ouvrier qui perméttait de les surveiller. Consernant les
entrepreuneur , il fait voter une loi en 1810 qui réserve la propriétée du sol à l’état. C’est à
partir de 1810 qu’on met en place le système de concéssion. Les matières première
nésséssaire à l’industrie ont du mal à rentrée en France à cause des guerre de plus la France
est isolée et donc les innovations technologique ne viennent jusqu’en France. En effet les
autres nations européennes ont instaurées un blocus.
On voit l’apparition de l’industrie chimique que l’état va aider. Napoélon en matière
industrie à sut alier le dirigisme et le libéralisme. Il faut retenir que l’économie napoléonienne
est soutenus par l’activitée militaire et par l’instauration d’un certain protectionnisme. La
France est un système économique artificièle. A la fin de l’empire la France possède quelques
centre industrielle modernes. Quand la France va s’ouvrir au monde, certain secteur vont
s’éssoufler et disparaître. C’est le cas de l’industrie textile. Pendant la période
Napoléonienne,la France va adopté une attitude protectionnisme.Ce protectionisme va se
pourvisvre après le chute de l’empire.
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C°) Le commerce
Dans un premier temps napoléon veut avoir la main mise sur le commerce. A partir de
1800 et 1803, il y a une multiplcation des traités de commerce entre le France et les autre
spays européens. A partir de 1803, Napoléon veut organiser totalement le commerce, c’est àd
ire que lui même décide des biens exporter et importer ainsi que sur les prix. Il considère le
commerce comme une arme politique. Aucun commerce se fait entre la France et l’angleterre.
Toute sa politique commerciale va s’orienté vers le but de faire chutter l’angleterre. Par
réaction, la France est sujette à un blocus. Ces éffets se font rapidement sentir et en 1806 le
commerce extérieur est très toucher. La croissance économique va donc chutter. Entre 1812 et
1814, le commerce extérieur en volume est deux fois moins important du’en 1789. Il n’y a
plus de relation entre les nations européenne et entre les colonie dont il va d’ailleur perdre une
partie. En rechache le commerce intérieur va bénéficier du protextionisme. Sur un plan
matériel, il est favoriserpar les progret du réseau routier, elles sont hiérarchisé, et donc mieux
entretenus. On généralise le système métrique et on réforme les tribunaux de commerce.
Napoléon va travail sur les instruments qui permettent de développer le commerce. Napoléon
fait reuve de dirigisme sur le commerce intérieur. On règlement le commerce des denrées. Il
va prendre des mesure autoritaire sur les produit que l’on peut exporter ou pas. Il va aussi
faire en sorte de développer le crédit. Quand Napoléon quitte le pouvoir il a asainit la situation
et a créer les outils permttant une reprise monnaitaire et une reprise du crédit.
Vendredi 28 Novembre : 15h10 : « je ne veux pas passer pour un boureau… que je suis »
Les mesures favorable à une rerpise économiques
- consolidation du Franc
- création de la banque de France qui détient le monopole de la création des billet, qui
aide le commerce vaec lescomte et qi fait des avance au trésor publique
- L’encouragement de l’industrie : il y a une augmentation du machinisme et un début
de concentration des entretrises
Ces mesure sont contrebalancée par les effets des guerre :
- le blocus contre les anglais que aboutit a une corte de protectionisme farouche
- perte des colonie
- même si Napoléon a une administration performante et a un groupe industriel porhce
du régime, pour la politique napoléonienne, la bourgeoisie n’est pas satisfaite des
résultats et se désolidarise du régime.
Entre 1789 et 1815, les décision les plus importante sont dans le domaine sociale et politique.
Il y a tout de même un point de rencontre entre la politique et l’économie : c’est le statut de la
terre. L’honnête homme, c’est le propriétaire terrien qu’il soit petit ou grand : c’est le
bourgeois. Le visage de l’entrepreneur va devenir de plus en plus important a mesure que la
France va s’industrialisé.
Chapitre 2 : Le XIX siècle
Entre 1815 et 1914, un fait nouveau intervient, la croissance économique ne repose
pllus sur l’augmentaition de la productivité agricole mais u rl’industrialisation. L’industrie
devient moteur del’économie. C’est le phénomène caractéristique du XIX siècle (1815 –1914)
Section 1 : L’industrialisation
27
Le XIX, sur le plan militaire est relativement, perturber seulement en 1870 par la
guerre contre la Prusse. C’est donc une période ou l’économie peut s’panouire plus
facilement. Ceci va profiter à l’industrie
§1 : Les trois phase de l’industrialisation
A°) 1815-1848
Durant cette période l’industrialisation démarre mais elle n’est pas globale. Elle ne concerne
que quelques secteurs : les secteurs produisant des biens de consommation courante : le sucre
et les bougies. Le second secteurle plus dinamique est celui de l’industrie textile. Il y a deux
catégorie : les tissues traditionelle qui sont en expantion et les tissus moderne (coton) qui sont
produit de manière plus industrielle et qui est donc le secteur de pointe de l’industrie textile.
La métalurgie se dévelope également. Elle sert surtout a créer des biens de consomations
courante. Les usages des biens métallurgique ont des usage qui tendent à se diversifier.
Les bassins traditionel sont toujours le centre de la France et lemassif centrale. De
nouveau bassin font leur aspparition dans le Nord qui vont distancer les anciens Bassins.
Il y a deux marqueur de la croissance :
- le nombre d’employer dans le secteur industriel augmente
- les investissments dans le secteur industriel augmente a partir des années 1820, ce qui
permet l’équipement de certain secteur d’activitée ;
L’industrie se développe mais elle reste néanmoins relativement traditionnelle. On considère
que l’industrie se coule dans les strucure traditionelle se qui a amorcer un développement
beaucoup plus important. Ce développement à lieu dans les année 1850 et 1860.
B°) 1850 – 1860
Cette décénie à été déterminant e dans le dveloppement économique rancçais.
L’industrialisation va se transformée. C’est un tournant dans l’industrie mais égalment dans le
système banquaire, se qui permet de financer l’industrie et le commerce. Le chemin de fer
conait une croissance très imortante, il s’étant partout en France. C’est le chemin de Fer qui
permet le développement du commerce et de tirer l’industrie.
L’agriculture est également très performante.
Cette décinie est appelé la décénie dorée. Dans l’industrie ,la métalurgie a maintenant
le rôle primordial. Il y a une modernisation de l’ensemble du secteur métalurgie ; on utilise le
coke au lieu du bois. On assiste aussi a la mécanisationdu secteur métalurgique. Ces facteur
font faire en sorte que la production va augmenter. La France sera bien placé au niveau
Européen.
On découvre également l’acier. Dans le secteur de la métalurgie on assiste à la
formation de « trusts ». Au XIX, la métalurgie va faire un bon fabuleux. Il y a plein de
débouchée nouveau : dans la construction navale, dans la construction des ponts, immeubles,
halles, gares, monuments (tour eiffel).
Les deux orientations principale de la métallurgie visent la construction du chemin de
fer (rails et locomotive) et la construction de machine à vapeur dont l’industrie dans son
ensemble commence a s’équiper massivement.
On constate en outre, une augmentation de la productivitée et une augmentation des
investissement qui s’intensifie pendant la décénie dorée.
Grace a cette mécanisation, la valeur des produits industriel est modifier. Dans un
produit fini, la part du capital est plus importante que la part du travail.
28
Cette décénie est une phase d’industrialisation accélérer de la France. On voit
apparaître une période d’éssoufflement jusqu’en 1890. on enregistre les premiers signe de la
reprise dans les année 1890. On assiste donc à une nouvelle croissance de l’industrialisation.
C°) 1890-1913
Il existe plusieurs signe de le reprise. On voit apparaître de nouveau secteur d’activité
industrielle comme le secteur automobile. Très rapidement la France est le premier
exportateur de voitures dans le monde. Le secteur automobile est l’un des piliers
fondamentaux de l’industrie Française. Les principaux constructeur sont Peugot, Renaut et
Panhard. C’est déjà un secteur qui est dinamique dans le domaine de la recherche. Dès le
dépard les automobile sont chère, mais très étonement, l’automobile n’est pas réserver à une
élite. Le secteur de l’automobile a aussi des repercutions dans d’autres secteurs : métalurgie,
cahoutchou. Il est donc en tête de l’économie française à la fin du XIX siècle.
En raison de l’accroissement de la demande en automibile oblige les constructeurs a
transformer les ateliers initiaux en usines. Cette méthode est basé sur le fordisme (taylorisme).
Cette thèse est basé sur le temps qu’un ouvrier met pour faire une tache seule et unique :
travail à la chaine. C’est donc ford qui met se système en place. Dans ses usine chaque ouvrier
effectue une tache très simple. Il faut donc créer de grande usine pour réunir tout les ouvriers
nécéssaire. Cela marque le commencement de la production de masse (début XX).
La production de voiture a stimuler la production de matère première nécéssaire à la
fabrication de ces voitures : acier et cahoutchou. Entre 1890 et 1913, de nouvelle industrie se
développe comme l’aéronautique et l’électricté. La consomation d’électricité est en très peu
d’année multipliée par 5. AU XIX on invente la pile électrique, le générateur, la dynamo et les
premières centrales hydroélectriques.
En second lieu, des activitée industrielles traditionnelle conaissent un regain d’activité
comme l’industrie textile (coton) et la métalurgie. Le secteur métalurgique redémare en raison
du fait que la métalurgie diversifie son activité.
Sur un plan géographique on constate que l’industrie se concentre. De ce fait, cela
facilite les entente (cartels). Cela vaut pour la métalurgie et pour toute les activitée
d’extractions des minerais. Les cartels repréente un caractère défensifs et sont le plus souvent
tolérer voir protéger par les tribunaux par ce qu’on y voit un moyen d’améliorer la production
et d’améliorer les ventes. En revanche il y a une faibles concentration des entreprises elle
même. En réalite il n’y a plas vraiment de règle fixe sur la concentration industrielle.
Globalement entre 1890 et 1913, l’industrialisation progrèse mais on ne peut pas dire
que la France est une économie entièrement industrialisé tout simplement car la part du
secteur agricoleest encore trop importante. Finalement, il faut retenir que le XIX est période
de grande évolution technologique : bateau à vapeur (transforme le commerce international),
le télégraphe ( premier cable reliant Angelterre et France : 1851, puis Europe-Amérique :
1866), le téléphone (1880) , la radio et de la télévision et enfin la réfigération (la première
conséquence concerne le commerce international de la viande).
Le monde matériel va assez peux évoluer jusqu’en 1970.
§2 : Le soutient de l’industrialisation
A°) L’essor du réseau des transport
C’est une activité éscenciel qui a été orchetrer par l’état. Cela a permit la maitrise de
l’espace national. Jusqu’en 1830 l’esentiel des changement a consiter à l’amélioration des
moyens de comunication éxistant comme les routes, les coixd’eau et les canaux.
29
1°) amélioration des route
Après la révolution et l’empire les route sont dégradés. Elle font donc l’objet d’un
mesure de rénovation mais elles ne sont pas considérer comme unne priorité. Cependant on
peut noté la réduction des cout des transport terrestre, par conséquent le traffic des
marchandise et des voyageurs va augmenter. Il faut aussi noté l’invention du mac Adam. Ces
routes sont très vite concurencé par les chemin de fer
2°) les voie d’eau
Elles sont dans une phase de déclin ; en revanche l’état s’intéresse de plus en plus aux
canaux car on va les utiliser dans un but industrielle. Ces canaux vont permetre le
désenclavement des régions industrielles.
Il faut surtout retenir le construction et le grand dévelopement des voie de chemin de
fer. C’est la grande priorité de l’état au XIX, ainsi que les entreprises. La construction
commence en 1837. La construction du chemin de fer est Européen. Les premiers troncon ont
une finalité industrielle. Tout va changer lorqu’un on se met à transporter des voyageurs. Les
frère Péreire décide de créer une ligne allant de Paris à saint germain en laie. En 1837 cette
ligne est inaugurée par la famille royale et imédiatement c’est un grand succés. On s’appercoit
que c’est un transport qui permet de gagner du temps et de l’argent. A partir de ce moment la
d’autre capitaliste vont s’intéresser au chemin de fer comme les Rotschild qui vont construire
la ligne Paris Versaille. Peu à peu les chemin de fer vont devenir affaire de l’état. En 1842,
l’état vote une loi qui va définir des status des chemins de fer en France. Cette loi décide que
les entreprise privé pourront entreprendre ces création. Mais on décide de mettre sur pied des
conséssion, qui vont être accorder après présentation de projets. L’état va donc observer un
droit de regard sur le ligne et les prix pratiquée par les entreprise. L’état va même aller jusqu'à
imposer les prix et le tracé.
L’état a contraint les entreprises a se fournir en acier Français malgrès qu’il soit plus
cher.
Les lignes qui sont créer sont des lignes qui partent de paris. Le rail attire énormement
de capitaux. A partir de 1842, il y a 28 entreprise qui créer des lignes. Ce sont des SA dans
lesquelles ont peu acheter des actions. L’achat d’action est devenue le placement premier de
la bourgeoisie. En 1860, le réseau est quasiment achever. Le premier effet de la création du
chemin de fer est la stimulation du secteur métalurgie mais surtout la création d’un marché
nationale unique non cloisoné. Il permet aussi de fournir beaucoup d’emplois pendant environ
25 ans.
Il y avait a l’origine une 30aine de compagnie privée ; on a voulue réorganiser les
chose et dans les année 1850 il ne reste que 6 entreprise dons la PLM (Paris , Lyon,
Marseille). Ces compagnies sont très rentables, cela dit, elles ont été très rentable que
lorsqu’elles ont exploiter les grandes lignes, dès lors que l’ont se met a créer de petite lignes,
les dividende commence a baisser.
Face a ces dificultés, l’état va commencer a s’investir de plus en plus dans le
développement de ce résaux notament a partir de 1870.
L’état se met a subventioner la création de petite ainsi que leur esploitation. Le loide
1842 avait acorder des concetion a des entreprise privée pour des durée limitée. En 1938, les
concession arrive a therme. On créer alors la SNCF qui regroupe l’ensemble de 6 société
privées. C’est une compagnie publique puisque l’état en possède 51 % du capitale. Cette
société a deux mission : achévé la construction et instaurer un budjet équilibrer. Rapidement
la SNCF va avoir des problêmes financiers chronique.
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Le réseau férér permet de développer le transport des denrée agricole. Il existe quelque
ombre au tabelau. L’essor du chemin de fer a drainer énormément d’épagne mais cela a nuit a
certain investissement dans d’autre branche.
B°) L’essor des investissement
On décèle Trois phase. Dans la première moitier on voit un essor régulier de
l’investissement : 1850-1860. Dans les années 1850 les investissement augmente dans tout les
domaines. Il y a en suite un tassement puis un regain à la fin du siècle. Cette croissance est
permit par :
- la modernasation du système banquaire,
- -l’épargne augmente peu a peu et les particulier commence à s’interresser au finances
et place leur argent plus facilement qu’au part avant.
- l’intervention de l’état ainsi qu’une justice clémente
Cette acccroissement est considérer comme un évenement important. Les société sont en
majorité des société anonyme ce qui permet de drainer des capitaux.
La situation initiale de la législation sur la création des entreprise était faite d’un loi
qui obligeait d’avoir une autorisation pour créer une entreprise. Mais en 1867 une autres lois
est créer qui permet la création libre d’entreprise.
L’autofinancement reste durant cette période assez important
Tout ces facteurs font que les investissement augmente.
C°) L’agriculture
La France au XIX est encore un pays très rurale. Dans lapremire moitier du XIX on
enregistre assez peu de progret technique mais cela n’empèche pas qu’il y ai un dévelopement
agricole. Les année les plus faste sont entre 1881 et 1896. Cette croissance est probablement a
relier avec la modernisation des technique culturales.
Pendant la première moirier du XIX on a encore 47% des terres qui sont exploiter
selon le système de la rotations triénales. La principales énergie utiliser est la traction
animales jusqu’en 1850. Quelques régions se développe avant les autres : la région parisienne
et l’alsace par exemple.
Dans la seconde moitier du siècle on voit une augmentation des progret technique qui
sont surtout dut a de nouvelle culture. Ce n’est que dans la deusième moitier du siècle que la
jachère recule. On commence a utiliser l’engrais. Les mode d’exploitation de la terre vont
changer. Le métayllage et le fermage recule en faveur du faire valoir direct. On sort d’une
agriculture presque ancestrale. Il y a une augmentation des moyenne et grande exploitation.
On commence a drainer les sols de plus en plus fréquement. Le bœuf et les chevaux sont
toujours l’énergie principale mais il y a un début de mécanisation. Elle n’est pas énorme mais
elle sufisante pour peser dans l’économie.
On voit également un éxode rural massif. Il s’intensifit à paritr de 1850. Ils partent car
il y a une forte préssion démographique dans les campgne qui contribut de faire baisser le
niveau de vie des ruraux qui décident alors de s’éxiler.
Après la guerre de 1870, il y a une phase de stagnation de la production ainsi qu’une
baisse des revenus des ruraux.
L’agriculture a été un moteur de croissance pour l’industrie car elle a été demandeuse
de produit industriels.
31
§3 : Le raentissement de la croissance industrielle
A°) Les manifestations de la décélération
La période la plus mauvaise sur le plan économique est la décénie 1880 1890. Quand
on éxamine la production de certain secteur ou la consomation de certain produits clé on
constate que la France pert sa compétitivité face a l’Allemagne et l’angleterre. Ces secteur
sont les secteur agricole et de la fonte. La France se laisse distancer et acumule un certain
retard. Le ralentissement du secteru agricole a un éffet néfaste sur l’économie, de plus les
déboucher de l’industrie diminue du a la baisse de revenues des ruraux. Les produits français
on du mal a s’exporter car à partir de 18970 beaucoup de pays entre dans un système
protectioniste. Cela se solde donc par un ralentissement industriel en France. De plus les
chemisn de fer sont presque achevés donc le secteur métalurgique décroit. A partir de 1880 le
programme de soutient de la création des petites lignes s’arrètes. A la fin du sicèle il y a une
stagnation de la mains d’œuvre.
Le nombre de faillite d’entreprise augmente, les profit baisse dans la métalurgie et le
textile. Or ces différent secteur intéragissent les uns avec les autres ce qui crer un cercle
vissieux.
Paradoxalement d’industrie se prote mal mais cela va la forcer a voluer. Il y a aussi
une augmentation des salaires réels. ; les investissement s’oriente différament, on se prote sur
les machine industrielles et cela va conduire l’industrie a se développer dans des sens
différents ; c’est le cas des industrie textile et métalurgique. La métalurgie va se développer
en Lorraine et le Textile dans les Voges.
L’industrialisation ne s’arrète mais elle ralentie. Par contre il y a une véritable crise
dans le secteur agricole.
B°) Les causes de la décélération
La principales cause du ralentissement industriel provient du ralentisseent agricole de
1870. Ce ralentissement est du a la concurrence internationale forte. L’agriculture française ne
fait pas du tout le poid. Ceci contribut a l’éfondrement des cours du Blé. La France souvre de
l’importaion des céréales a bas prix des pays d’outre mer. Cet aflux a été favorisé en France
par un changement de politique doianière car a partir de 1860 la France s’ouvre au libre
échange ; dès lors arrive des denrée exteemement compétitive. On voit don les revenus des
agriculteurs chutter. Face a cette situation le secteur agricole ne s’adapte pas du tout au
contraire, il se referme. L’état ne réagit que très tardivement. Les agriculteur au lieux d’inover
et de baisser leur prix, charhe a subvenir à leur propre besoin. Il y a donc une crise dans le
millieu agricole, il va y avoir dès lors une baisse de natalité dans le millieu rurale. De plus le
libre échange qui est instaurer par l’Empereur Napoléon III qui signe à partir de 1860
plusieurs traités commerciaux avec l’angleterre et d’autre pays européens. Ces différents texte
mettent fin à la politique protectioniste française. C’est une politique commerciale qui
favorise les bonne entente politique avec la France. Les agroculeurs critique cette politique de
napoléon III. Il y a cohincidence entre la signature de ces traité et la baisse des exportations
industrielle et agricoles. L’agriculture française est très pénallisé par cette concurrence
étrangère. La France recule sur le plan commerciale. De plus la France navique a contre
courant car au même moment les autres pays européens se mettent au système protectioniste.
A partir de 1880 on met de nouveau en place une politque plus protectioniste.
Une autre des causes est la guerre contre la prusse. C’est une défaite cuisante contre la
prusse. En 1871, le traité ente la France et la prusse est signé. La France doit versé à la prusse
des indémniter très importante. Les années suivante vont être consacrer au versement de ces
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indemniter. De plus la France pert l’Alsace et la Lorraine qui étaient une source de richesse
pour la France. Elles abritaient une bonne part du secteur métalurgique ainsi que de
nombreuse entreprise industrielles. En 1871, la métalurgie chute violement et ne se remettra
de cette perte qu’en 1880.
Concusion : la classe ouvrière
La croissance de la classe ouvrière suit la progression du secteur industrielle. Les
conditions de vie des ouvriers sont très dure. DU XVIII au XIX on passe de l’atelier a l’usine.
On voit le développement du prolétariat (ceux qui ont pour seul biens leurs enfants). Leurs
conditions de vie sont palpable grace aux écrits de Dickens et Zola. Ces conditions difficile se
concrétise par des temps de travail très élevé, pas de congés payer et pas de retraite. On assiste
néammoins a une ébauche de protection sociale. Elle se caractérise par le fait qu’elle est
proposer par des bourgeois et non pas l’état. Par contre, le gouvernement, sous la préssions de
ces gens va prendre des messures. Le livret ouvrier créer par Napoléon comportait des
annotations noté par les patrons et la police. Ce livret est supprimer a la fin du XIX xiècle en
1890. C’est un libertée de mouvement qui est accorder au ouvrier. On voit aussi la
suppréssion de le loi le Chapelier qui interdisait les regroupement d’ouvrier en 1864. A partir
de 1864, les ouvriers ont le droit de s’assembler pour faire valoir leur revandication. On
commence a réglementer le travail de enfants en 1841, on réglemente le nombre d’heure que
peuvent effectuer les enfants. Concrétement les enfant de 12 à 16 ne devait pas travailler plus
de 12 heures par jours. On va également réglementer le travail des femmes.
L’assistance sociale n’éxiste pas au début. Certain patron ont pris des initiative et ont
créer des sytème d’assistance sociale dans leurs entreprise c’est le paternalisme. Peu à peu les
ouvriers vont s’organiser pour porter leur revandications. Il y a eut au cour du XIX siècle
beaucoup de grèves, de révoltes et de manifestations. Les première ont lieux à Lyon en 18311834. Ce sont de véritable insurections. Les représailles sont très violentes. Peu à Peu des
courant politique se créer comme le socialisme ( Marx et Proudhon). Ces cournat de penser
naissent de la vision qu’ils ont sur la classe ouvrière. Leur but est de trouver des remède aux
pervertions du capitalisme. Il y a également des partis qui se sont constituer. Leur éxistence
sont tolérer par le gouvernement. A la toute fin du XIX se forme les premier syndicas ouvrier
qui sont autoriser depuis 1864. Les revandication ouvrière se multipli au fur et à mesure du
XIX . Leur principale revandication porte sur les changement dans leur conditon de travail.
On voit la multiplication a la grève générale. Leur but est de paraliser l’économie du pays.
Les résultat obtenus par ces divers moyens sont assez limités :
- les enfant de moins de 13 ans ne travail plus car l’école est obligatoire laïc et gratuite
depuis 1881 (Jules Ferry)
- La diminution de la journée de travail : les ouvrier ne trvails plus que de 9 à 10 heures
par jours
- On commence a organiser un système d’assurance sur la protection du travail et de la
maladie.
Section 2 : Le commerce
§1 : Le commerce intérieur
Les nouveau myens de transport, la télégraphie et le téléphone favorise le commerce intérieur.
Il n’y a donc plus d’enclavement du commerce. De plus l’urbanisation et du transport longue
distance favorise le commerce
33
A°) Les nouvelles forme de commerce
Pendant le XIX siècle on constate que le volume des produit sur le marché est de plus
en plus important . ON n’est dans une période ou le niveau de vie augmente se qui va tirer la
production. Il y a une urbanisation croissante se qui va augmenter le volume des biens en
circulations sur le térritoire. A cour du XIX siècle l’auto consommation décline. Il y a une
forme augmentation des produit sur le marché. Ces nouvelles forme de commerce se résume a
la création de grand magazin et les magzins a sucursalles multiples. Une succursales est un
établissement qui dépend du magasins initiale qui l’a créer. Le grand magasin est une création
française. C’est un mode de distribution qui va s’exporter dans d’autre pays. L’histoire de la
grande distributions commence par la création des magasins de nouveautée. Le premier a
ouvrir est la belle jardinière. Elle ne fermera qu’en 1970. Le premier a développer la grande
distribution est aristide Boucicaut. Il va créer le bon marché. Il va donc transformer les
méthode de vente et de distributions.
Jusqu'à Aristide Boucicaut on praticait la vente au procédé. Le vendeur avait un
certain nombre de produit qu’il ne renouvelait pas. Il n’y avait d’étiquette ; on marchandait le
prix. Le but du vendeur c’est de faire le maximum de bénéfice au coup par coup. De plus on
vit avec une petite clientelle. Boucicaut va achetre un immeuble entier pour créer le bon
marché. C’est donc une énorme surface. Il va ddéfinir en suite un certain nombre de règle de
vente :
- il faut des locaux très grands
- trsè article variers, il faut tout trouver
- les marchandise sont organiser en rayons : chaque rayon a son budjet, sa politique de
vente et un responsable.
- La clientèle est celle de la ville
- On fait de la publicité
- On va tout faire pour que les gens achéte : on peut acheter par catalogue…
- On va favoriser les ventes en inventant les soldes : ceci correspond a une nouveauté
dans la manière de vendre, c’est aussi une nouvelle vision de la trésorerie du magasin.
Dans un grand magasin il y a des stock très importants, le principe est que ces stocks
doivent tournés. Le magasins doit accépter de faire de petit bénéfice pour écoulé les
stocks.
Les grands magasins se multiplies très vite : on voit apparaître le BHV, les galeries
Lafayette… Non seulement c’est une révolution dans les méthodes de ventes et de gestions
mais c’est aussi dans le cadre des grand magasins que c’est développer le paternalisme. Dans
les grand magasin mettent en place certain avantage en nature plus leur employer.Mais en
contre partit cela s’accompagne sur un droit de regard sur la vie privée des emplyés. Certain
mettent en place une caisse de retraite. Il faisait cotiser ces employers et une fois qu’il
n’avaient plus l’age de travailler, ils touchait leurs cotisations. Ils font dont de leur fortune a
des œuvres. Les grands magasins font des commandes massives se qui stimule l’industrie.
Les magasins a succursales multiples se développe dans le seconde partie du XIX. Les
premiers sont Felix Potin. Dans ces magasins ont fait des ventes a faibles bénéfices. Un des
principe nouveaux est le renouvellement continuelle des stocks. Après sa mort, l’entreprise va
continuer à croitre. En 1870 FP avait 1500 succursale sur le térritoire. Ces magasins
représente une concurrence non négligable pour le commerce traditionnel.
B°) Le commerce Traditionel
34
Il s’effectuait par le biais des foires. Mais celle-ci ne cessent de décliner. Elle
conservent au XIX siècle un aspet purement locale. A partir de 1830 on ne trouve même plus
de grossiste.ni de grand négociants. Elles sont déserter car les commecant utilise les nouveau
moyens de communications.
Les colporteurs : les gens se déplacaient de maisons en maisosn pour proposer leut
produit. Ce mode de commerce décline au court du XIX. Ils se rendaient également dans le
halles.
Les bourses de marchandises ; leurs activitées s’ameunuises au cours du XIX siècle.
Elles sont fagositer pat les grossistes.
Les professions qui prennent de l’envergure sont toute les professions intermédiaire.
Ils sont de plus en plus nombreux. Les représentants sont également en expansions
§2 : Le commerce extérieur
On voit une augmentation globale du volume du commerce extérieur. On distingue deux
périodes
A°) 1815 – 1860
Les exportations augmentes, elles concernent éssenciellement les produits industriels.
La clientels visés est essencielement celles des pays anglo-saxons. Cette clientelles achéttes
des produit de luxe, a forte valeurs ajoutée et des produit textiles. Durant cette période les
importations sont limité. En effet le tarif douanier sont très importants. Pendant la monarchie
de juillet on met en place une politique plus libérale. On réduit notament les tarifs douanier.
Le libre échanges et le libéralisme s’accentue après la révolution de 1848, cela va avoir des
repercution sur la politique commerciale. Le gouvernement décide à partir de 1860 de ce
porter vers l’extérieur. Durant cette période 80 % des échanges se font avec les pays
euriopéens. Lors que la France se tourne vers le libre échange, la France apparaît en retrait.
B°) 1860 – 1914
Comme en matière agricole, les exportation ne vont pas suporter la concurrence
étrangère. Il y a stagation des exportations. Cela dit les exportations de la France sont
principalement des produit manufacturer et des produit de luxe ainsi que des instrument de
hautes précision. Pour le reste, le commerce extérieur n’est pas très flotissant et est largement
dépasser par l’Allemagne. En revanche la France deumeure durant cette période, le seconde
exportateur de capitaux. Par ailleurs la France est obliger d’importer des denrée agricole.
Dans le même temps l’industrie s’est contracter se qui va nuire au commerce international. La
France va se lancer dans de véritable guerre douanière notament avec l’Italie. C’est un
problême économique et politique.
Les divers nations recherche des débouchers vers les colonies. La France va revenir a
une forme de protectionisme et imédiatement cette attitude va avoir des effet positif ;
- l’agriculture se relance
- amélioration de la balance commerciale extérieur des produits industriels (elles
doublent de 1887 à 1913)
Les expérience de libres échange fait par la France se soldes par des échecs.
Section 3 : L’organisation bancaire et Financière
§1 : La banque et les organismes para-banquaire
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L’idée qui se développe est que la Banque doit aidé les commercant. On voit l’apparition des
banque d’affaire. Ce développe également la haute banque. Plus tard apparaisse les banque de
dépôt et de crédit. Dans ces banques ont utilise l’argent de petit particuliers. Paraléllement a
tout cela se crer des organisme para-banquiare, et l’état va très vite instaurer un contrôle sur
ces organisme.
A°) La Banque de France
Napoléon veut asseoir son pouvoir sur la banque, il crer donc un poste de gouverneur
nomé par napoléon lui même ainsi que deux poste de sous-gouverneur. On également
l’apparition de succursales de la banque de France dans le provinces.
La banque de France est très jalouse de son statut et elles s’oppose donc a la
dénomination de banque pour d’autres établissement banquiare créer après elle. La loi de
1815 proroge le monopole de la banque de Frane à émmettre des billets. Une autre loi lui
assurera se monopole jusqu’en 1945.
La banque de France doit soutenir le Franc à létraznger et pratiquer une politique de
régulation de la monaie sur le térritoire. Elle va également gérer les crédit.
La seconde dérive concerne l’émission de billet. En effet elle va peu à peu obtenirr un
monopole total. Elle va donc quand elle prète de l’argent à l’état, faire valoir ses
revenditcation. C’est donc comme cela que la banque de France va obtenir le monopole de
billet dans toute le ville de France en 1840. Puis en 1848, l’état l’autorise à absorber toute les
banque départementale qui deviennent des succursales. Au millieu du XIX siècle la banque de
Frnace à obtenue un monopole sur tout le térritoire. Cette situation est encore amplifier à
partir de 1870.
Ce n’ »est qu’a partir de 1914 qu’elle travail dans un but collectif et pour l’état. C’est
une entreprise extrêmement puissante. Elle appartient à des particulier. Les action qui forme
sont capitale sont très élevés et ne peuvent donc être acheter que par la grande bourgeoisie.
Dans les assemblée générale on ne convoque que les plus grand actionaires ; les 200 plus
importants. Ce sont eux qui choisisent les régents. On retrouve au XIX les Mallet et les
rotschild qui sont rentré dans le banque de France au millieu du XIX, ainsi que le schneider.
Ils élaborent une politique qui favorise les bénéfice de la banque. A Parir de 1870, les
gouvernement républicain vont lutter contre l’homonie potence de la Bnaque de France. Les
véritable changement vont s’oppérer à l’extrême fin du XIX ; la le pouvoir de l’état sur la
banque va augmenter. On va simplement renforcer le pouvoir des gouverneur, ce qui amène
une diminution du pouvoir des régents. On commence ainsi à s’orientée vers une fonction de
banque beaucoup plus étatique. Après la guerre 1914-1918, la banque de France devient
moins indépendante par rapport à l’état. En 1936, le Front populaire considère la Banque de
France comme une deuxième bastille et veut la nationaliser. Après leur victoire aux élections,
le frond populaire ne va pas la nationaliser mais il va supprimer le conseil de régence et le
remplace par un conseil constituer de personne représentant divers environnement financier.
Il faut attendre 1945 et la fin de la seconde guerre mondiale pour voir arriver la
nationalisation proprement dite. Elle devient donc LA banque de LA France. Elle ne travail
que au service de l’état.
Au XIX la Banque de France va adopter le système d’étalon or. La monnaie n’est
gagée que sur l’or. Le métale Or doit toujours être convertible en or monnaie ; l’or métal et
l’or monaie doit circuler librement dans le marché internationale. Le papier monnaie doit
toujours pouvoir être échanger contre de l’or. Cette idée se généralise et est adopter par
d’autres pays comme l’Allemagne.
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Cette forme d’organisation a contribuer à la stabilliter monnaitaire qui caractèrise le
XIX siècle. C’est donc aussi cela qui a favoriser le commerce extérieur ainsi que les
investissement internationaux.
B°) Les autres organismes bancaire
1°) Les banques d’affaire
Ce sont les banque les plus importante pendant la majeur partie du XIX siècle car elle
vont aider au développement industrielle. Elle doivent aider le progret industriel, elle doivent
servir les affaires. C’est donc un nouveau secteur qui s’ouvre pour ces banque. Certaine vont
se spécialiser dans le secteur des affaires. On e met à pensée que les banque doivent pratiquer
le crédit à faible interet pour aider les commercant et les industrielles qui se lancent.
Peu à peu l’intermédiaire naturel de l’investisseur va devenir le banquier.
La première personne à se lancer dans cette activitée est Laffite. Il présente sont projet
au conseil d’état. Laffite connaît se domaine puisqu’il a été gouverneur de la banque de
France. Il veut que sa banque finance toute les nouvelles inventions dans le commerce,
l’insutrie, l’agriculture ou la finance. Il n’accorderai de crédit que pour les activitée nouvelle.
Mais le conseil d’état refuse le rpojet car le conseil d’état est assez conservateur mais aussi
car Laffite est dans l’opposition. Il va donc qui attende quelques année pour concrétiser son
projet. Il va recevoir l’apuis du roi Louis philipe, et il va donc crer sa première banque
d’affaire : la caisse générale du commerce et de l’industrie en 1837. Mais cette banque va
rapidement faire faillite.
L’idée est reprise sous le second empire par les frères pérères. Il reprène l’idée de la
banque d’affaire en 1852, le crédit mobilier. Il veulent aider tout les commercant et les
entrepreuneurs. Elle a d’ailleur pour but d’investire elle même dans de nouvelles affaires.
Elle va financer les grands travaux comme l’expansion des chamins de fer et la métalurgie.
Les frères pérrère ont voulus concurencer la banque de France et ils ont cherhce à obtenir du
gouvernement le monopole de l’aide financière à l’industrie et au commerce. La banque de
France va s’y opposer et elle va donc faire préssion sur le gouvernement qui va refuser
d’accorder le monopole au frère pérère. Le gouvernement va retirer son aide au Crédit
mobilier et il fait faillite en 1866. Après cette faillite, il y a plusieur année sans qu’il y est de
banque d’affaire en France. Mais le procéssus redémare avec la fusion de la banque de Paris
et celle de Pays-Bas après la guerre contre la Prusse. Cette fusion va donner PariBas.
Les activitée nouvelle se centre autour de l’électricité, du pétrole et de l’industrie
chimique. L’idée est toujours de facilitée le développement d’industrie nouvelle. Paribas
s’engage également dans le crédit à long therme se qui est nouveau à l’époque. Ces deux
activité forme le noyau dur de la banque. En 1981, il y a aut la nationalisation de paribas
pouis en 1987, sa reprivatisation. Cette fusion est du a un phénomène de concentration.
Une autre banque d’affaire est la banque de l’indochine créer en 1875. Comme son
nom l’iondique son objectif est de s’occuper des affaire économique et industrielle dans les
territoire coloniaux asiatique. Elle va avoir le monopole de l’émission des billet dans ces
colonie. Elle fusionna avec la compagnie de suez, se qui donna Indosuez. Elle fut nationaliser
en 1982 et privatiser en 1988.
2°) La haute banque
Se sont toujours des compagnie privée qui se sont constituer au XIX siècle. Se sont
des banque de structure familiale qui sont des soicèté de persone. Elle forme groupe distainc
des banque d’affaires.
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On les distingue par la religion de leur propiétaire. La banque protestante est la plus
renomé comme la banque Mallet ou schlumberger. La banque de religion isrélite on peut
nomé la banque de rotschild.
Ces banque on aussi une autre activitée. Elle préte de l’argent à l’état ou elle place
l’argent de l’état. Depuis en trentaine d’année,beaucoup d’entre elle se sont reconvertie en
banque de dépôt.
Une des famille la plus marquante dans le monde de la finance est la famille rotschild.
Ce sont plusieurs frère d’origine allemande qui vont s’instaler en France. Ils vont aider le
gouvernement Français contre la guerre contre la Prusse et pendant la seconde république. La
maison rotschild éxiste toujours, une partir qui gère les proteufeille de gens fortuner et ue
autre partie qui s’occupe de gens beaucoup plus moyen.
3°) Les banques de dépôts et de crédit.
Elle fonctionne toute avec le même principe. Elle recoivent les dépots et le crédit
qu’elles offre a ceux qui en ont besion ne dépasse pas le montant des dépôt qu’elles ont recut.
Elles cherchent a attirer les dépôt afin de pouvoir faire plus de crédit. Pour cela elles offre un
intérêt sur le dépôt d’affaire. Les première ébauche de banque de dépôt apparaisse au millieu
du XIX , ce sont les comptoires d’escompte. Leur capital est consituer pour 1/3 de l’état, 1/3
de la ville ou elles sont et 1/3 de particuliers. La première véritable banque de dépôt est créer
en 1860 avec le CIC. Le CIC s’inspire d’un pratique anglaise, et va crer un réseau en France,
de plus le nom de CIC n’est pas présent dans les province. En effet le nom qui est utiliser est
celui du la banque locale avec laquelle elle a fusionner. L’expérience est une réussite pour
plusieur raisons : Elle va mettre en œuvre une politique de groupe. C’est le CIC qui a eut le
première l’idée de rémunérer les fonds inactifs. Grace a tout cela elle va réussir a attirer des
fonds industriels et commercant.
Mais le plus important a été la création du Crédit lyonais par Henri Germain. Avec
cette création on va assister à la démocratisation de la banque. Il est le premier a pener qu’on
peut auss i si’nterresser à la petite épargne. Il réalise que le niveau de vie des français a
augmenter et que le patrimoine des grandes famille à été frationer. Tout cela fait que de plus
en plus de gens possède de l’argents.
L’idée est qu’en drainant tout ces petit pécule cela pourrait faire une somme
conséquante.
Henri Germain fonde alors à Lyon en 1863, le crédit Lyonais. Il va attirer les petits
porteur en créant de petite agence de cartier. Il va aussi instituer un certain nombre de service
aveec l’ouverture d’un compte : un coffre fort, un chéquier, virement gratuit. Il va également
proposer des opération de bourse. L’ouverture du compte est subordonné à un dépôt de petite
valeur, environ 50 franc Or.
Très vite la banque va créer de nombreuses succursales. En fait le crédit lyonais éssait
dès le départ de devenir un grand magazin banquaire. Tout est fait pour ne pas géner le client.
L’expérience est une réussite, son capital va pouvoir augmenter et le nombre de ces
succursalles aussi. Après le crédit de lyonais l’autre banque du même type vont se créer
comme la société générale quia été nationaliser en 1945.
1965 : fussion de la BNCI et de la CNEP qui va donner la BNP.
C°) Les organisme para-banquaire
Il n’ont pas a l’origine d’exercer une activitée banquaire.
Tout d’abord il y a le crédit municipal (mond de piéter), qui pratique le prèt sur gage.
C’est une création napoléoniaine. Deux type de clientelle sont visée : les particuliers ainsi que
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les commercants. Le crédit municipale emprunte a un taux très bas et préte à un taux très
élevé. Le crédit municipale a le monopole du prèt sur gage.
Il y a aussi la caisse des dépots et des consignations. C’est un organisme privée qui
gère les somme d’argent déposer chez lui ou les somme d’argent qui sont affecter à une
destination particulière ou des sommes que l’on doit immobiliser.
L’argent des caisse de retraite et d’apargne est siture à la caisse des dépôt des
consignation. Elles possède beaucoup de liquidité. Elles spécule et place cet agrents. Cet
organisme a beaucoup d’influence dans le monde financier.
La caisse d’épargne est aussi un organisme parabanquire. Elle est créer en 1818 par un
groupe de financier philanthrope. Ils veulent aider les gens a constituer un épargne en cas de
besion. Ce sont au départ des organise de prévoyance. Elles visent à l’origine les domestique
et les ouvriers. La caisse d’épargne va répunérer l’épargne et on va créer le livret de la caisse
d’épargne. Le second but de la caisse d’épargne est plus moralisateur, car un des grnad fléau
du XIX est l’alcollisme et donc les fondateur pensent que si l’ouvrier ou le domestique dépose
sont argent à la caisse d’épargne, il n’ira pas de dépenser pour boire. Un troisième but est
aussi de faire basculer les ouvrier vers le concervatisme politique. On veut qu’en épargant, les
ouvriers et le domestique soit préocuper par l’avenir de leur argent et donc ne veulent plus
faire de révolution. On veut embourgeoiser les prolétaire. Ce système va très bien fonctionner.
On va compléter le système en créant dans le dernier quard du XIX les ciasse d’épargne
postale se qui va permttre au gens habitant à la campagne d’ouvrir une épargne. La caisse
d’épargne est une sorte de paliatif à l’absence de sécurité sociale.
Le dernier organisame para-banquiare est le crédit focnier. Il est créer au millieu du
XIX siècle. C’est aussi un moyen qui a été créer pour palier la carence de l’état en matière
d’assurance sociale. C’est un organisme dont le but est de procurer de l’argent aux
propriétaire fonciers. C’est surtout une clientelle d’agriculteur. Cette argent est rembourser
grace à des anuitée payable à long therme. Ces prèts sont garantit par le système des
hypothèques. Ce système va avoir une importance considérable sur la société française de la
fin du XIX et du début du XX car il n’éxiste par de retraite pour les profession libérales. Un
médecin va par éxemple prendre un prèt au crédit foncier et achetre un immeuble. Pendant la
durée du prèt, les loyer servent a rembourser le prét et lorsqu’il s’arrète de travailler le loyer
sert de rente. L’essentiel de la bourgeoisie française à fonctionner comme cela entre les deux
guerre.
§2 Les assurance
Deux phénomène sont a l’origine du dévelopement des assurance en France. La
première c’est que la France va chercher à pacifier la vie du pays et on va pousser
l’investissement. Les banquier vont donc chercher d’autre formules de financement. Cette
techniques est importer de l’angleterre et de l’Allemagne.
Les compagnie d’assurance on un double but. Les compagnie d’assurance on vocation
de se prémunir des risque de la vie. Deuxièmement les assurances servent le capitalisme car
se n’est pas l’assurer qui est propriétaire de l’assurance mais une société de commerce. La
compagnie d’assurance fait un bénéfice par le rapport percut des assurer et l’argent que la
compagnie doit verser en cas de domage. Au début du XIX le gouvernement français est assez
réticent face au assurance. Il favoriser donc l’apparition des mutuelles. Ce n’est que plus tard
que le gouvernement va autoriser la création de sociétée d’assurance.
A°) Les mutuelles.
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Avec la restauration, on revient a un gouvernement monarchique ce qui veut dire
qu’on met en place un gourvenement qui promeut des valeeur chértienne et paternaliste. Il
préfert donc le système des mutuelles. Car tout le monde se connais dans une mutuelle, de
plus la mutuelle ne cherche pas à faire de gains. A partir de 1815, le gouvernement encourage
l’apparition de mutuelles. On ne voit apparaire que des mutuelles couvrant les risque
d’incendie. Laffite va créer un mutuelle qui s’appelle la royale. Le système est simple mais est
aléatoire. On fait un contrats et a la fin on calcule la somme que l’on doit payer pour
indemniser les dommages. Il n’y a pas de cotisations fixe. Donc très rapidement le système
évolue dans deux direction dans le domaine de calcule des cotisation mutualiste. On va créer
un fond de reserve. Leur domaine de couverture va s’étendre au meubles ainsi que les risque
de gel, d’inondation… Peu à peu les mutuels vont perdre leur caractère initiale et vont se
transformer en sosciété d’assurance à caractère mutuels. Elles ont donc un fonctionement
identique au société d’assurance,mais il faut un carctère particulier pour y rentrer. Ex : mutuel
agricole… Elles ont donc un caractère sécurisant pour les adhérants.
A coté des mutuelles il y a le monde des technocrates et des financiers, et on vas donc
admettre la création des scoiété d’assurance à primes fixe
B°) Les compagnies d’assurance à prime fixe
Dans ces compagnies l’assuré n’est pas actionnaire de la société et pay chaque année
une prime fixe à partir d’un contrat. La société récolte toutes les primes d’assurance de ses
cients. Elles vont investire dans de portefeuille d’action ou préter de l’argent en banque si elle
s’y sont affilier. Elle sont donc vu comme de véritable entreprise. Certaine compagnie
d’assurance éxiste toujours comme les AGF, le GAN…
Ces sociéter fon voir leur domaine s’agrandire. Dans le domaine maritime ; on
commence par permettre la création de sociéter prenant en charge le risque maritime. On voit
en suite des société d’assurance vie. Au XIX siècle, l’assurance vie est très mal percut. Se
sont des contract qui présente un risque particulier car si la compagnie fait faillite, le cotisat
perts tout.
Les compagnie d’assurance vont considérablement se dévloper car elle vont profiter
des innovation technique du XIX ex : le gaz en ville : création d’un assurance contre les
risque lié au gaz ; la création de l’automobile : création de l’assurance automobile… Il y a
également des assurance lier au contexte particulier du XIX s iècle. Durant cette époque il y a
beaucoup de mouvement insurectionelle. Les compagnie vont donc créer un contract sur les
risque lier a la dégradation du matérielle en cas de grèse ou d’insurection. Il y a aussi un
assurance créer pour couvrir les accidents professionnel. A partir de 1804, on aplique les
principes généraux de la responsabilité civile. C’est à dire qu’il faut prouver la faute de celui
qui a causé le dommage. Si cette personne est responsable, elle doit réparer la faute sous
forme pécunière.
A partir de 1865, a la demande de Napoléon III, les compagnie d’assuranec commence
à prendre en compte ce risque de l’assurance professionnelle. Comme elles se font très
rétissante, on vote une loi sur les accidents du travail. Cette loi se substitut à la responsabilité
civile. Dans cette loi on va détreminer comment on va évaluer la responsabiliter et on va
donner injonction au assurance de prendre en compte se risque. La responsabiliter est partager
entre l’employeur et l’employer. On va donc établire une réparation forfaitaire qui se répartir
entre l’employer et l’employeur.La moitier à la charge de l’ouvrier et la moitier à la charge de
l’entreprise. La part qui est payer par le patron est payer par une assurance obligatoire.
L’ouvrier de son coté est aussi obliger de souscrire une assurance. Donc celui qui est vistime
est sure d’être indemniser.
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Toute l’évolution va consister à faire pesée de plus en plus la balance vers l’employer.
La cotisation des ouvrier va baisser et la cotisation des patroin vont augmenter.
Finalement a la fin du XIX la France compte neviron 80 société d’assurance à prime
fixe et de très nombreuse mutuelles. Ces mutuelles constituent des société maniant de masses
de capitaux très important. Les compagnie d’assusrance sont constituer sous la forme de
société par actions coté en bourse. Se placement est le placement privilégier du bon père de
famille.
Les assurance se multiplie et pour éviter un développement anarchique, la loi va
freiner ce développement. On assiste à l’émergence du droit prive de l’assurance.
Le développement du système banquaire et des assurance refléte la monniatarisation
de l’économie. Le role de la monnaie devient de plus en plus important au cour de cette
période. Quatre facteur se sont conjusguer et expliquer cette monétarisation :
- l’urbanisation croissante : en effet le mode de vie urbain inplique des échange
nationaux et internationaux. En ville il n’y a pas d’autconsomation et
- elle baisse dans les campagne car l’agriculture se spécialise au XIX et que le
agriculteur ont besoin d’acheter les produits qu’ils ne produisent pas
- L’augmentation du niveau de vie et augmentation des échange de marchandise
- La modification des système de distributions
Le développement du role de la monnaie a pour indice plusieur chose. On voit au cours du
XIX que la valeur des billet croit. Entre 1850 et 1913, la valeur des billets est multiplier par
13. On voit aussi l’aumentation de la vitesse de circulation de la monnaie pendant tout le XIX.
Il y a ausssi de dévelopement du role considérable du capitalisme.
Tout cela a pu se faire grace à la modernisation du système banquaire.
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