Macroéconomie : les courants de pensées

publicité
Macroéconomie : les courants de pensées
Classiques, néo-classiques => individu (marché) => équilibre social , marché fonctionne
librement, non intervention de l’Etat
J.B. Say, « l’offre crée sa propre demande »
Grandes influences et politiques économiques
Profils : New Deal, Thatcher
sur le marché du travail, on donne son travail( on le vend), on reçoit un salaire
LES CLIVAGES DE L’ECONOMIE / EXEMPLE / LES FONDEMENTS ECONOMIQUES
DE L’ETAT
Après la diapo 59
Ces trois défaillances du marché justifient :
 Le rôle de l’Etat
 Sa politique économique
o L’allocation
o La stabilisation
o La distribution
En récompensant les comportements égoïstes, le marché les renforce. Les comportements
égoïstes renforcent le fonctionnement du marché jusqu’à un certain degré.
Diapo 64 :
Crise 1929 : chômage + baisse des prix + récession
Keynes : l’équilibre de plein emploi postulé par els classiques et els néo-classiques n’est pas
automatique.
L’emploi ne dépend pas du prix du travail mais de la demande effective = demande anticipée
par les producteurs/entrepreneurs
Module II
Introduction : Deux formes principales de représentation de l’économie
Macroéconomie : cf. schéma 1, une économie fermée à deux agents
En contrepartie du travail fourni aux entreprises, les ménages recevront un salaire
Biens vendus aux ménages
CF consommation finale
CI : consommation intermédiaire, disparaît dans processus de fabrication
Macroéconomie : l’économie comme un circuit
Macroéconomie : terme créé en 1933
Partie de la science économique qui s’intéresse aux questions suivantes :
Qui produit ?, comment distribue-t-on la richesse ? Comment se font les échanges de
marchandises ? Qui consomme et qui investit ?
1- les entreprises
2- rémunération des facteurs essentiellement els salaires (société salariale)
3- actionnariat salarié
4- conso finale, intermédiaire, investissement
1.1 La comptabilité nationale
La comptabilité nationale est une représentation chiffrée de l’activité économique d’un pays
En fait, la comptabilité nationale établie au moment de la seconde guerre mondiale est très
inspirée de l’économie de John Maynard Keynes (1936)
1.2 Les grandeurs macroéconomiques
Pour juger comment une économie dans son ensemble fonctionne, les économistes mesurent
le revenu total gagné par l’ensemble de ses habitants
Au niveau d’une éco, le revenu national doit être égal aux dépenses parce que :
Il y a un vendeur et un acheteur pour chaque transaction
Chaque euro dépensé par des acheteurs correspond à un revenu gagné par les vendeurs
Cela suggère trois méthodes pour mesurer le niveau d’activité d’une économie
Mesurer la production
Deux indicateurs économiques servent à calculer le revenu national et la croissance
Le PIB qui est la somme totale des biens été des services produits à l’intérieur d’un
pays, que ce soit par les entreprises du pays ou les entreprises étrangères
Le PNB qui est la somme totale des biens et des services produits par les citoyens
d’un pays, que ce soit dans leur pays ou à l’extérieur de ce pays
Valeur ajoutée = chiffre d’affaires – achats intermédiaires
PIB : si on additionne els chiffres d’affaires, on compte plusieurs fois els biens et service
intermédiaires livrés par les entreprises les une s aux autres
C’est pourquoi on calcule la valeur ajoutée, celle-ci est l’apport net d’une entreprise à
l’économie
En faisant la somme des valeurs ajoutées de l’ensemble des producteurs on obtient le PIB
PIB = Somme des valeurs ajoutées + (impôts-subventions sur els produits) +(droits de
douane)
La valeur ajoutée va servir à rémunérer les facteurs de production :
Rémunération des salariés
Revenu d’exploitation des indépendants
Revenu de la propriété échéant aux ménages intérêts loyers dividendes
L’épargne des sociétés
Etc.
L’optique revenu : Pib = rémunérations des salariés +excédent brut d’exploitation + (impôts –
subventions sur la production et els importations)
Téléchargement