1. Remise à niveau orthographe Les mots de la même famille 1. Dans cette liste, entoure les mots de la même famille. ami amitié amical amour amicalement inamical fleur fleuriste flore floral florilège égal égalité égalitaire inégal égaliser égard 2. Trouver les mots de la même famille (nom, verbe, adjectif). l’inquiétude la technique accélérer le mécanicien bizarre triomphal Le présent de l’indicatif 1. Conjuguer chanter, appeler, être, avoir. 2. Mets les verbes à la 3e personne du singulier : Tu donnes Tu prépares Tu jettes Tu es Tu fais Tu cherches BONUS : Paraître : il ...................................., ils ............................................ Le pluriel des noms et des adjectifs 1. Mets les groupes nominaux au pluriel. la légende le magicien un sorcier un autre moyen un jeu un feu un fuseau horaire le cheval un bateau 2. Transpose ces phrases au pluriel. Voici une formule magique. Le magicien l’utilise pour jeter un sort, lancer un sortilège . On la trouve déjà dans une ancienne légende égyptienne. Elle se lève tôt. Elle s’habille et part à l’école. Elle n’est jamais en retard ! Les mots invariables 1.Complète le texte avec ces mots : presque, cependant, d’abord, beaucoup, extrêmement J’ai .................de devoirs à faire, aujourd’hui. Il faut ....................... que j’apprenne ma leçon. Je la connais .......................par coeur. A l’école, je suis souvent interrogée ................... je ne sais pas toujours répondre. Si seulement j’avais une formule magique : elle me serait utile ! 2. Complète les phrases avec à coté, aux sports d’hiver, tandis que. Viens ................ de moi. L’ un est riche ..................................l’autre est pauvre. Cette année nous irons ................................................ dans les Pyrénées. 3. Complète les phrases avec très longtemps, Moyen-âge, Champagne, Orient, car. Au ................., de grandes foires se tenaient en .......................... des marchands proposaient des épices, très rares. Ces épices valaient très cher .......... Elles venaient d’ ..................et il fallait .............................................pour les rapporter. 3. Barre les mots qui peuvent prendre un s ou un x au pluriel. Souligne les autres. Aujourd’hui, pendant, parole, bonheur, doucement, magnifique, heureusement, bientôt, magique, invisible, tant, aussi, loin, certain, demain, ensuite, fin, tôt, pendant, cependant, mystère, aussitôt, une île, mais, presque. L’accord du verbe 1. Mets les verbe entre parenthèses au présent de l’indicatif. Les magiciens (utiliser) ..............................des potions magiques. Ils(jeter) .................... des sorts et (lancer) ............................des sortilèges.Ils (métamorphoser) ............................................. des objets en animaux. Ils (s’entourer) de chats ou de hiboux. Ils me (faire) ............................peur. Les fées (être) ....................plus bienveillantes et je les (préférer) ...................................... ! Les parents de Marie (vivre) ...........................dans un village de montagne. Justement, on (devoir) .................... y partir demain ! 2. Transforme les phrases selon le modèle. On admire les vainqueurs -> on les admire On vérifie les moteurs. Tu entends ce bruit ? Ils voient cette course. L’accord des noms et des adjectifs 1. Complète les mots si nécessaire. Les six princesse.... étaient heureu......., riaient, s’amusaient, dansaient parfois au clair de lune...... Chacune avait sa couleur....... préféré....... : la plus jeune aimait le rouge....... et elle avait l’habitude de mettre de belle...... fleur....... rouge....... dans ses cheveu....... blond....... -Lorsque vous aurez quinze an......., leur dit leur grand-mère, vous aurez la permission de monter à la surface....... des eau...... ; vous pourrez vous asseoir sur les rocher.......pour voir passer les grand....... vaisseau....... et faire connaissance avec les forêt..... et les ville........ D’après Andersen, Contes, « la petite sirène » QUELLE OU QU’ELLE Quelle peut-être remplacé par un déterminant. Quelle surprise ! Une surprise Qu’elle est toujours suivi d’un verbe. J’espère qu’elle viendra. J’espère qu’elles viendront. Exercice : Entoure la bonne orthographe de quelle/qu’elle (Quelle / Qu’elle) bonne idée ! Je pense (quelle / qu’elle) plaira à nos amis. A (quelle / qu’elle) heure viens-tu ? (Quelle / Qu’elle) belle voiture ! Je pense (quelle / qu’elle) sera sage comme une image. Il faut (quelle / qu’elle) se reprenne très vite ! (Quelle / Qu’elle) magnifique robe ! Elle a tellement faim (quelle / qu’elle) pourrait manger un boeuf ! Elle n’avait pas vu la bicyclette (quelle / qu’elle) avait mise dans le jardin. (Quelle / Qu’elle) imagination ! DICTEES A CORRIGER Le but est de corriger toutes les fautes de cette dictée. Il y a 20 fautes à corriger. L'enfant parèssait éfrayé. Il dormait depuis des heures déjà, lorsque soudain un crie vaint fraper ses oreilles et le réveilla. Une engoisse immence le pris, il ne savait pas se qu'il devait faire. Afolé par des bruits étrange, il décidat de sortir de son lit pour allé voir de plus près ce qui ce passait. Tout à cou, son sang se glassa d'effroi: devant lui, a quelque mètres, se trouvait le corps s'en vie d'un homme, dont les yeux pétrifière l'adolescent. Corrigez cette dictée. Le texte est issu du roman : Le chevalier Tristan. ( ne touchez pas aux mots enitalique). << Tristan es le fils d'une passion fraccassée. Sont père se nomait Rivalin, sa mer Blanchefleur. Lui rêgnait sûr le petit royome de Lohonois, en tèrre d'Armorique. Elle, de sant royale aussi, étais la soeur de Marc, le roy cêlibataire de Cornouailles. Ils se son aimer follemment dès leur premié regart.(...) Le soire de sont premiés tournoi, Rivalin avé rencontrer Blanchfleur. Quel'ques mots échengé avait sufi. Ils s'aimaient. La proposiçion du roy arrivat comme un enccouragemment. Rivalin l'acepta. >> A toi de trouver les fautes de cette dictée!!!! Bonne chance ! Ce matin Eric ce levat de fort mauvais humeure .Il n'avaient pas très envie d'allé à l'école ! Pour l'encouragé sa maman lui asura qu'il serai reconpensé s'il aceptait de fair un petit effor. Et c'est ce qu'il fit. Toute la journé il se consentra sur ces cahier, soignat son écriture et fit tous son possible pour participé en cour. Sur le chemin du retour il croisat son papa qu'y venais audevant de lui en voiture. Montes lui dit-il, nous partons tous de suite à la montagne passé le week-end. Ce fus pour lui une supere surprise . Ses effors avaient été reconpansés. 2. LECTURE EXERCICE Lisez les phrases ci-dessous : a - Il fait beau, la mer est bleue, je pense à vous. b - En conséquence, vous soussigné, êtes engagé à vous acquitter d'une amende de 500 euros. c - Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. d - Votre théorie s'est trouvé confirmée par plusieurs expériences en laboratoire. e - Repasserai demain à 10 h. Salut. Quelle phrase pourrait être tirée de : - Une demande d'emploi ? - Un mot glissé sous la porte d'un ami ? - Une carte postale de vacances ? - La lettre d'un biologiste à un autre biologiste ? - Une décision du tribunal administratif ? Pouvez-vous facilement intervertir l'ordre d'attribution de ces phrases ? Pourquoi ? EXERCICE : Lecture et syntaxe La syntaxe vous permet de préciser, en fonction du sens du rôle, du genre, du nombre, quel mot manque dans un texte. Voici une liste de mots (attention au genre et au nombre) : catégories - subvenir à - titulaire - justifier - droit - réglementation - accords - brève déterminée - titre Complétez le texte ci-dessous en vous servant une seule fois de chacun des mots ci-dessus. - Il existe, en pricipe, deux ........................... d'immigrés : les touristes et les travailleurs. - Les touristes résident dans le pays d'accueil pour une ................... période n'excédant pas, en général, trois mois. Ils doivent, à moins que des .......................... spéciaux ne les en dispensent, établir la preuve de leur capacité à .................................... leurs propres besoins pour la durée de leur séjour. - Les travailleurs sont, quant à eux, assujettis à un autre type de ........................... . Ils doivent bénéficier d'un ..................... de séjour, renouvelable selon une périodicité bien ......................... . - Pour être .............................. d'une carte de séjour, un travailleur doit présenter un certificat de travail. Cependant, pour avoir ...................... à un emploi, et donc un certificat de travail, le travailleur doit ................................. d'une carte de séjour en cours de validité. Mots et contexte : Lisez attentivement la phrase suivante : "Le baroque de Rubens s'oppose, par la violence des formes et l'éclat des couleurs, à la simplicité classique qui le précède". Supposons que vous ne sachiez pas ce que signifie le terme "baroque". Considérez néanmoins les questions suivantes dont les réponses sont décelables dans le texte que vous venez de lire. - Le terme "baroque" est utilisé dans l'un des trois domaines suivants : sports, arts, économie . Lequel exactement ? - Le "baroque" est-il particulièrement simple ? - Le "baroque" est-il particulièrement doux et sobre ? - Le "baroque" se situe-t-il avant ou après le classique ? A présent, relisez vos réponses aux questions ci-dessus, et rédigez votre propre définition du terme "baroque". SITUATION DU PASSAGE Morat, qui dispute une compétition de 400 mètres nage libre, prend généralement de mauvais départs. Cette fois-ci, au contraire, son plongeon est réussi et il se retrouve en tête. Persuadé qu'il a manqué son départ et qu'il a, une fois de plus, perdu toute chance, il entend son entraîneur lui hurler des encouragements alors qu'il s'était déjà arrêté. Morat, tout surpris de voir les autres nageurs à sa hauteur, repartit aussitôt. Il avait perdu tout son élan, mais maintenant il était calme. Deux lignes d'eau à sa gauche, il reconnut les soubresauts excessifs et le mouvement de bras trop fermé, en coup d'éventail, de Trévoux(l). Il était devant lui, celui-là ! Ah ! non, tout de même. La première place était perdue, sans doute, mais il voulait prendre au moins une bonne longueur de piscine à Trévoux. Il se mit à nager tranquillement, et prit si bien le second virage que Ribaraud(2) écarta les bras et se mit à danser sur place. Trévoux eut bientôt disparu tout à fait, puis d'autres. Morat nageait sans effort, comme s'il se fût promené. Tout à coup, à un virage, il vit émerger la courte tignasse hirsute de Palmaro(l). Comment ! c'était donc si facile de le rattraper, ce monstre farouche, vainqueur de toutes les rencontres. Morat exulta. Il lui semblait que toutes les divinités marines le portaient comme par miracle vers la victoire. Pendant une demi-minute, il se crut invincible, et il lui sembla que l'arrivée était toute proche. Mais un cadet vint lui crier : « 220 mètres ! » Tiens ! il n'avait donc fait qu'un peu plus de la moitié du parcours. Aucune importance. Il se sentait capable de tenir son allure sur 1 000 mètres... Il chercha Palmaro à côté de lui et ne vit rien. Enfonçant un peu plus la tête, il le chercha en arrière et ne le vit pas. Il fallut bien le chercher en avant. Le gorille avait déjà une avance d'environ 10 mètres ! Morat partit à fond. Ses jambes se refermaient avec une précision de mécanique, ses bras et ses larges mains rejetaient en arrière des masses d'eau toujours plus grandes. Et la tête noire de Palmaro devenait pourtant de plus en plus lointaine. Alors Morat se rendit compte en regardant la ligne d'eau la plus proche, qu'il avançait de moins en moins. L'impression de puissance qu'il avait tout à l'heure n'était autre que l'ivresse malsaine qui précède souvent le terrible "coup de pompe". Son corps continuait à se mouvoir comme une machine indépendante. Impossible d'augmenter l'allure. Morat grimaçait, pleurait de rage. Sa lucidité était entière. Il prenait le temps de s'injurier ; cherchait à se stimuler, murmurait : « Hélène ! Hélène est là! elle te voit... » En vain. Le souvenir du regard féroce que lui avait lancé Palmaro arriva à son tour, précis, intolérable. Rien à faire. Les muscles n'obéissaient pas. Et puis, tout d'un coup, l'espèce de filet où ses membres semblaient enveloppés se déchira. Il put se déchaîner, donner toute sa force. C'était la lutte profonde, décisive, qui commençait, où s'affrontent, non plus les hommes habiles ou entraînés, mais les mâles rués, qui jettent dans la bagarre toutes les réserves de leur énergie vitale, de leur sang. Morat, maintenant, nageait sans pensée, sans volonté, sans règle. Il ne savait pas quel mouvement son corps faisait ; il ne savait pas comment il respirait. Rien n'existait que le bruit de forge de ses tempes, l'approche périodique de cette paroi grise qu'il fallait saisir pour prendre appui et s'élancer encore, de tout son être. Il lui semblait que la course durait depuis longtemps, qu'elle ne finirait pas… Tout à coup, au moment où il saisissait l'arête grise d'où il allait s'élancer encore, un vacarme éclata qui le fit s'arrêter. On l'applaudissait, il avait gagné. « D'un mètre à peine », disait Ribaraud, congestionné de joie, mais c'était très bien. C'était donc fini ? C'était tout ? D'après Georges Magnane (L'Epée du Roi) Notes lignes d'eau : Le bassin est divisé en six "couloirs" dans lesquels, les nageurs sont obligés de demeurer du début à la fin de l'épreuve. cadet : Il s'agit d'un jeune licencié de son club. (1) Nom de concurrents de Morat. (2) Nom de son entraîneur. Exercice 1 1° Pourriez-vous donner un autre titre à ce passage ? 2° Expliquez les expressions « Son corps continuait à se mouvoir comme une machine indépendante. » : et « L'approche périodique de cette paroi grise ». ECRITURE Exercice 1 Reprenez les phrases suivantes et transcrivez-les plus élégamment : Je prenais alors un petit sentier dans le maquis grimpant à pic au-dessus de la mer. Les lames font comme des coups de canon, à la pointe de l'île, sur les brisants. Fuseline, la petite fouine à la robe gris brun était venue chercher sa pâture, comme à l'ordinaire, ce jour-là, vers le village. Un grand feu d'ajoncs éclairait un cercle de figures naïves et bienveillantes de ses reflets. On distinguait, sous la brume transparente, des villes, des villages, des bois… Elle (la fouine) l'a regardé d'un bord du ravin à l'autre, par-dessus le ruisseau, se glisser avant le jour, dans son arbre. Il s'en allait sur sa mule, dès les premiers beaux jours, le long des petits chemins, au bord des blés verdissants. Pierre plongeait dans la rivière le large filet, debout, à l'avant. Le pollen des conifères sortit comme une fumée d'or des branches. EXERCICE 2 : En une vingtaine de lignes, rédigez en alternant l’imparfait et le passe-simple ce que vous avez fait durant vos vacances au mois de Juillet. Votre récit devra comporter le champ lexical de la joie. EXERCICE 3 Un grand-père et son petit-fils dialoguent à propos de l’école. Chacun parle de son expérience. Naturellement, cet échange fait apparaître des différences importantes. Imaginez ce dialogue en incluant dans les propos de chaque interlocuteur une argumentation visible (pensez notamment à des thèmes comme le décor, la tenue vestimentaire, les méthodes d’enseignement, la discipline…). Vous penserez également à adapter la façon de parler à chacun des personnages. Consignes : - Vous veillerez particulièrement à la mise en page du dialogue et à tous les procédés qui s’y rattachent : respect des alinéas, tirets, diversité des verbes de parole, usage de propositions incises. - Vous présenterez et conclurez ce dialogue par un passage narratif. EXERCICE 4 Décrivez la profession que vous aimeriez exercer à l’avenir. Quelles seraient vos responsabilités? Quels seraient les avantages et les inconvénients du travail que vous feriez? Quelles qualifications est-ce qu’il faudrait avoir (quels diplômes, quelles sortes d’expériences)? A votre avis, quelles qualités avez-vous qui conviennent à cette profession ? EXERCICE 5 Vous tenez un journal intime dans lequel vous notez tous les soirs les événements de la journée. Choisissez DEUX jours de fête dont vous vous souvenez bien et rédigez ce que vous auriez pu écrire dans votre journal au sujet de votre façon de célébrer ces deux fêtes. Écrivez au passé et faites attention à l’usage du passé composé et de l’imparfait. EXERCICE 6 Racontez, à votre choix, la journée la plus triste ou la plus gaie de votre jeunesse. Donnez les raisons de votre tristesse ou de votre gaieté en ce jour mémorable.