Première ES2. Révisions générales du programme de l’année. Partie I : Le QCM de sciences économiques Chapitre 1. Les activités économiques. 1. Dans les « trois temps de la valse économique », on distingue : La consommation, l’investissement et les exportations. La production, la répartition et la dépense des richesses. Les revenus primaires, secondaire et tertiaire. La dépense, la production et l’emploi. 2. Dans la comptabilité nationale, on parle de : Secteurs institutionnels. Secteurs de l’appareil productif. Secteurs moteurs. Secteurs officiels. 3. Dans la comptabilité nationale, les échanges extérieurs sont comptabilisés dans le secteur : Reste à payer. Restant dû. Restaus du cœur. Reste du monde. 4. Les institutions financières ont un but : Non lucratif. Lucratif. Philanthropique. D’intérêt général. 5. Les administrations publiques sont financées par : Les impôts. La TVA (taxe sur la valeur ajoutée). Les cotisations sociales uniquement. Les prélèvements obligatoires. 6. Dans la comptabilité nationale, la formation brute de capital fixe (FBCF) correspond à : La consommation des ménages. L’investissement. La production. Les exportations. 7. La valeur ajoutée mesure : La richesse réellement créée par une entreprise. La mesure de l’efficacité de la production. La mesure de la richesse réelle des ménages. La mesure de la valeur créée pour les actionnaires. 8. La productivité c’est : La richesse réellement créée par une entreprise. La mesure de l’efficacité de la production. La mesure de la richesse réelle des ménages. La mesure des inégalités économiques. 9. Pour obtenir la valeur ajoutée, il faut retirer de la production : Les coûts. Le capital fixe. Les salaires. Les consommations intermédiaires. 10. Le produit intérieur brut (PIB) mesure : La somme des richesses des ménages durant une année. La somme des valeurs ajoutées des entreprises durant une année. La valeur totale de la production marchande durant une année. La valeur totale de la production non-marchande durant une année. 11. En 2007, la croissance du PIB en France a été de : 9,1%. 4,7%. 0,6%. 2,2%. 12. Les revenus générés par la production et le marché s’appellent : Les revenus initiaux. Les revenus primaires. Les revenus totaux. Les revenus de transfert. 13. Les revenus liés aux opérations de redistribution s’appellent : Les revenus de reversement. Les revenus de transfert. Les revenus intermédiaires. Les revenus sociaux. 14. Lorsqu’on retire des revenus primaires les prélèvements obligatoires, et qu’on ajoute les revenus de transfert, on obtient : Les revenus fictifs. Les revenus illégaux. Le revenu disponible. Le revenu indisponible. 15. Les deux formes d’utilisation du revenu sont : Les importations et les exportations. La consommation et l’épargne. Les salaires et les profits. Les achats et les ventes. 16 Le taux d’épargne s’obtient en faisant : Le rapport entre l’épargne et la FBCF (x100). La différence entre la consommation et le revenu disponible (x100). Le rapport entre l’excédent brut d’exploitation et le revenu disponible. Le rapport entre l’épargne et le revenu disponible des ménages. 17. Le taux de marge s’obtient en faisant le rapport (x100) entre : Les bénéfices et les coûts. La production et les profits. L’excédent brut d’exploitation (EBE) et la valeur ajoutée (VA). Le capital et les bénéfices. 18. Le taux de marge mesure : La part des profits dans la valeur ajoutée. La part des bénéfices dans la production. La part des salaires dans la richesse nationale. La part des coûts dans la production. 19. Le solde de la balance commerciale s’obtient en faisant : La différence entre les importations et les exportations. La différence entre les ventes et les achats des touristes à l’étranger. La différence entre les activités illégales et la fraude fiscale. La différence entre les exportations et les importations. 20. En ce moment, la France est en situation : D’excédent commercial. De déficit commercial. De faillite. D’équilibre commercial. 21. Le rapport entre les exportations et les importations (x100) mesure : Le taux de pénétration commerciale. Le taux de fermeture. Le taux de couverture. Le taux d’ouverture. 22. Le taux d’ouverture rapporte : Les importations au PIB (x100). Les exportations à la FBCF (x100). Le solde de la balance commerciale au PIB (x100). Les exportations au PIB (x100). 23. Les grands indicateurs comptables de l’économie nationale s’appellent : Les agrégés. Les agrégats. Les conglomérats. Les magmas. 24. La bonne équation de l’équilibre emploi- ressources est : P + X = C+I+M. P= C+X. P+C = I+X. P+M = C+I+X + vS 25. La macroéconomie est surtout liée aux travaux de l’économie : Néoclassique. Keynésienne. Marxiste. Classique. Chapitre 2. Analyse monétaire et financement de l’économie. 26. A long terme, on peut parler pour la monnaie d’un processus de : Déconcentration. Dématérialisation. Déflagration. Déconnexion. 27. Les chèques, cartes bleues sont les supports de la : Monnaie scripturale. Monnaie électronique. Monnaie de singe. Monnaie divisionnaire. 28. La monnaie scripturale vient du fait que : Les opérations bancaires sont consignées dans les livres de compte des banques. Les opérations bancaires sont toujours écrites à la plume. Les opérations bancaires sont toujours liées à des chèques. Les opérations bancaires doivent toujours garder une trace écrite sur du papier. 29. Le troc nécessite : La double coïncidence des revenus. La double coïncidence des nationalités. La double coïncidence des besoins. La double coïncidence des opinions politiques et religieuses. 30. Selon Adam Smith, les individus ont : Un penchant naturel à la magouille. Un penchant naturel à l’échange. Un penchant naturel à la dissimulation. Un penchant naturel à l’avarice. 31. Dans la conception libérale, la monnaie et l’échange permettent : De favoriser la cohésion sociale. De déliter le lien social. De générer des conflits sociaux. De réduire les inégalités sociales. 32. L’Union économique et monétaire (UEM) a réellement débuté en : 1969. 1979. 2002. 1999. 33. A l’heure actuelle, il y a dans la zone euro : 12 pays. 9 pays. 27 pays. 15 pays. 34. Dans l’Union européenne, on compte : 15 Etats membres. 12 Etats membres. 30 Etats membres. 27 Etats membres. 35. Dans la conception classique et néoclassique, la monnaie a surtout une fonction : De réserve de valeur. D’unité de compte. D’évasion fiscale. D’intermédiaire des échanges. 36. La loi des débouchés affirme que : L’offre et la demande sont toujours en déséquilibre. Les entreprises anticipent la demande. L’offre est toujours supérieure à la demande sur les marchés. L’offre globale est toujours égale à la demande globale. 37. La loi des débouchés est due à : Jean-Baptiste Say. Adam Smith. John Maynard Keynes. Karl Marx. 38. Le pouvoir d’achat est lié à : La variation des revenus et la variation des prix. La variation des revenus seulement. La variation des prix seulement. La variation des revenus et des prix des matières premières. 39. La création monétaire « ex nihilo » signifie que : Les banques commerciales ont le pouvoir de création monétaire (crédits). La banque centrale seule crée de la monnaie à partir de rien. La création monétaire ne provient que des devises obtenues de l’étranger. Les banques commerciales n’ont aucun compte à rendre aux autorités bancaires. 40. La formule « les crédits font les dépôts » est liée : A la création monétaire par les banques commerciales. Aux crédits accordés par la banque centrale. Aux crédits accordés par l’Etat ensuite déposés sur des comptes chèques postaux (NMS). Aux crédits du fonds monétaire international (FMI) à la France. 41. La banque centrale dirige le marché monétaire en utilisant surtout : Le taux d’intérêt correcteur. Le taux d’intérêt catalyseur. Le taux d’intérêt directeur. Le taux d’intérêt diviseur. 42. La Banque Centrale européenne (BCE) se situe : A Nice. A Francfort. A Copa Cabana. A Berlin. 43. Par rapport aux Etats membres, la BCE est : Relativement indépendante (elle peut aider les Etats membres de temps à autre). Strictement indépendante des Etats membres. Totalement dépendante des Etats de la zone euro. Absolument déconnectée de toute institution politique. 44. L’objectif prioritaire de la BCE est : La stabilité des prix. Le plein emploi. L’excédent de la balance commerciale. La croissance du PIB. 45. La BCE est actuellement dirigée par : Nicolas Sarkozy. Darth Vader. Angela Merkel. Jean-Claude Trichet. 46. La banque centrale américaine est : La banque cérébrale. Fort Knox. Le Pentagone. La Réserve fédérale (FED). 47. Dans ses statuts, la banque centrale américaine a comme objectif : Uniquement la stabilité des prix. Le plein emploi, la stabilité des prix et des taux d’intérêt modérés. Le plein emploi uniquement. Une consommation des ménages la plus dynamique possible. 48. La théorie quantitative de la monnaie signifie que : Une variation de la masse monétaire implique une accélération de la vitesse de circulation de la monnaie. Une variation de la masse monétaire implique une augmentation des échanges de biens et services. Une croissance de la masse monétaire implique une croissance proportionnelle du niveau général des prix (vitesse de circulation de la monnaie et quantité de biens et services stables). Une croissance de la masse monétaire entraîne une décroissance proportionnelle du niveau général des prix. 49. La théorie monétaire keynésienne implique que la politique monétaire : Favorise l’activité économique en abaissant le coût du crédit (stimulation de la consommation et de l’investissement). Favorise l’inflation en augmentant trop fortement la masse monétaire. Favorise la déflation en réduisant les taux d’intérêt. Crée des externalités négatives comme la pollution par exemple. 50. Dans la théorie keynésienne, pour atteindre le plein emploi, il faut en priorité stimuler : La demande effective (anticipée par les consommateurs). La demande anticipée par les entrepreneurs. La demande prévue par la banque centrale. La demande anticipée par l’Etat central. 51. L’Etat et les entreprises sont des agents qui sont structurellement : En situation de capacité de financement. En situation de découvert bancaire. En situation de faillite frauduleuse. En situation de besoins de financement. 52. Les ménages sont des agents économiques qui sont structurellement : En situation de capacité de financement. En situation de découvert bancaire. En situation de faillite frauduleuse. En situation de besoins de financement. 52. La finance de marché correspond à : La finance directe. La finance indirecte (intermédiée). La finance place du Vieux Marché. La finance uniquement dans une économie de marché. 53. Le crédit bancaire correspond à : La finance directe. La finance indirecte (intermédiée). La finance bancaire. La finance uniquement dans une économie de marché. 54. A partir des années 80, on assiste à un essor de la : La finance directe. La finance indirecte (intermédiée). Les flux financiers liés aux trafics illégaux. La finance anglo-saxonne. 55. Le processus de libéralisation des flux de capitaux porte le nom de : Mondialisation commerciale. Mondialisation de la production. Mondialisation financière. Mondialisation du capital. Chapitre 6. Economie de marché ou société de marché ? 56. Quelle serait la bonne définition du marché ? Le marché est un lieu d’échanges réels. Le marché est un lieu de confrontation de l’offre et de la demande. Le marché est un lieu fictif où se fixent des prix. Le marché est un lieu (réel ou fictif) de confrontation de l’offre et de la demande et où se fixe un prix. 57. Quel est l’auteur qui a montré que la logique marchande s’était progressivement séparée du lien social et politique : Emile Durkheim. Karl Marx. Karl Polanyi. Adam Smith. 58. Que signifie la métaphore de la « main invisible » d’Adam Smith ? Que l’intérêt général est toujours supérieur à l’intérêt personnel. Que les intérêts particuliers sont toujours supérieurs au bonheur collectif. Que l’intérêt général n’a aucun intérêt. Que la recherche de l’intérêt individuel permet d’atteindre l’intérêt général. 59. A qui est due la formule « laissez- faire, laissez passer » ? Vincent de Gournay. Adam Smith. Karl Marx. John Maynard Keynes. 60. Comment peut-on définir une « société de marché » ? Une société où l’Etat centralise la gestion des ressources. Une société où le marché est régulé par l’intervention de l’Etat. Une société où tous les rapports sociaux sont déterminés par des mécanismes de marché. Une société où le marché ne se situe que dans des lieux réels. 61. Quelles sont les deux institutions fondamentales du marché (vues en cours) ? Les droits sociaux et politiques. Les règles sociales et le don. Le respect des libertés politiques et des libertés de tout acheter et de tout vendre. Les règles juridiques et la monnaie. 62. Qu’est-ce que le potlatch ? Un plat mexicain très épicé. Un nouveau jeu de société. Une cérémonie qui montre l’importance du don et des échanges hors- marché. Une règle de politesse d’origine slave. 63. Sur un marché, on peut dire que : L’offre est une fonction décroissante du prix de vente. L’offre est une fonction croissante du prix de vente. L’offre est une fonction égale au prix. L’offre est une fonction strictement supérieure au prix. 64. Sur un marché, on peut dire que : La demande est une fonction décroissante du prix de vente. La demande est une fonction croissante du prix de vente. La demande est une fonction égale au prix. La demande est une fonction strictement supérieure au prix. 65. Pour un fonctionnement optimal du marché, deux hypothèses doivent être réunies (vues en cours) : La rigidité des prix et les conditions de la concurrence imparfaite. Des prix administrés par l’Etat et la nationalisation des entreprises privées. La flexibilité des prix et les conditions de la concurrence pure et parfaite (CPP). La flexibilité des prix et le contrôle de la demande par l’Etat. 66. L’économiste qui a démontré l’existence d’un équilibre général des marchés (travail, capital, biens et services) est : Adam Smith. Jean-Baptiste Say. Karl Marx. Léon Walras. 67. La loi de l’offre et de la demande entraîne : Une aggravation des déséquilibres dans l’économie (crises cumulatives). Un retour instantané à l’équilibre sur le marché (marché autorégulateur). Un retour à un niveau de prix qui satisfait les consommateurs les plus aisés. Un retour à un équilibre parfait entre la part des salaires et celle des profits dans le PIB. 68. Un monopole se définit comme : Une situation de marché où un consommateur fait face à de multiples producteurs. Une situation de marché où un producteur fait face à quelques acheteurs. Une situation de marché où un producteur fait face à un seul acheteur. Une situation de marché où un producteur fait face à de multiples acheteurs. 69. Un monopole implique que : Le prix de vente est supérieur au prix d’équilibre. Le prix de vente est inférieur au prix d’équilibre. Le prix de vente est égal au prix de marché. Le prix de vente permet l’optimum du producteur et du consommateur. 70. Un oligopole se définit comme : Une situation de marché où un consommateur fait face à de multiples producteurs. Une situation de marché où quelques producteurs font face à de multiples acheteurs. Une situation de marché où un producteur fait face à un seul acheteur. Une situation de marché où un producteur fait face à de multiples acheteurs. 71. Les principales limites théoriques du marché sont : Les externalités et la fourniture des biens collectifs. Les externalités et les inégalités sociales. L’indépendance de la banque centrale et le pacte de stabilité et de croissance. Le marché n’a pas de limites. 72. Une entreprise se définit comme : Une organisation à but non lucratif. Une organisation dont le seul but est la recherche du profit. Un lieu de conflit fondé sur l’exploitation et la confiscation de la plus-value. Une organisation qui combine des facteurs de production pour produire des biens et des services et les vendre sur un marché. 73. En économie, on distingue traditionnellement : Les innovations technologiques organisationnelles. Les innovations de méthode et les inventions. Les innovations pédagogiques et méthodologiques. Les innovations théoriques et cartésiennes. 74. La différence entre une invention et une innovation est que : L’invention est toujours et partout un phénomène monétaire. L’innovation permet au capitalisme d’intensifier l’exploitation des travailleurs. L’innovation est produite et commercialisée. L’invention est liée à la recherche appliquée. 75. L’économiste qui a montré que l’innovation constitue le moteur du capitalisme est : Joseph Stiglitz. Joseph Staline. Joseph Schumpeter. Vladimir Illich Oulianov dit « Lénine ». Chapitre 7. Le rôle économique et social de l’Etat. 76. Les administrations publiques sont composées : Des administrations publiques centrales et locales. Des administrations publiques centrales et de sécurité sociale. Des administrations publiques centrales, locales et supranationales. Des administrations publiques centrales, locales et de sécurité sociale. 77. Les trois fonctions de l’Etat au sens de R. Musgrave sont : Les fonctions de répression, de délation et d’extermination des opposants. Les fonctions d’allocation, de stabilisation et de redistribution. Les fonctions de déréglementation, de décloisonnement et de désintermédiation. Une seule fonction : la libéralisation de l’économie. 78. Les prélèvements obligatoires comprennent : La TVA et les cotisations sociales. La taille et la gabelle. L’impôt révolutionnaire et la dîme royale. Les impôts et les cotisations sociales. 79. La politique conjoncturelle correspond surtout à la fonction : De stabilisation. De redistribution. D’allocation. De détermination. 80. La politique conjoncturelle comprend : La politique centrale et locale. La politique budgétaire et fiscale. La politique monétaire et budgétaire. La politique sociale et la politique de l’emploi. 81. La politique conjoncturelle cherche à : Augmenter la productivité des facteurs de production. Réguler la demande à court terme. Réduire les inégalités sociales. Baisser la fiscalité sur les facteurs de production. 82. La politique structurelle cherche à : Réduire le poids de l’Etat dans l’économie. Stimuler la consommation et l’investissement. Baisser les impôts et les taxes. Stimuler l’efficacité de l’appareil productif et celle des marchés. 83. Le budget de l’Etat voté au Parlement s’appelle : La loi de rectification. Le besoin de financement L’impasse budgétaire. La Loi de Finances. 84. Le Pacte de stabilité et de croissance impose des déficits publics inférieurs à : 3% du budget de l’Etat. 3% du PIB. 6% du PIB. 1% du PIB. 85. Dans l’Union européenne, la déréglementation des monopoles publics s’accompagne de l’impératif : De supprimer tous les services publics. D’appliquer les textes sacrés des religions du Livre. D’imposer une logique de marché dans tous les rapports sociaux. De mettre en œuvre le service universel. Première ES2. Révisions générales du programme de l’année. Partie II : Le QCM de sociologie et de science politique. Chapitre 3 et 4 : L’organisation sociale. Question 86. En sociologie, la structure sociale est décrite dans : Le marc de café. Les astres et la cartomancie. La nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles (PCS). Le Capital de Karl Marx. Question 87. Alexis de Tocqueville est un auteur du : XVIII ème siècle. XIX ème siècle. XXème siècle. XVI ème siècle. Question 88. Pour Tocqueville, la démocratie est caractérisée par : La soif de liberté. Le péril révolutionnaire. La passion pour l’égalité. Le besoin d’autorité. Question 89. La loi de la bipolarisation explique que la société capitaliste va se diviser en : Sept classes sociales. Deux classes sociales, les cadres et les ouvriers. Deux couches sociales, les chefs d’entreprise et les chômeurs. Deux classes sociales, aux intérêts irréductiblement opposés, la bourgeoisie et le prolétariat. Question 90. Le 1er tome du Capital de Marx a été publié en : 1818. 1889. 1867. 1864. Question 91. Quelles sont les dates de Karl Marx ? 1864-1920. 1858-1817. 1883-1946. 1818-1883. Question 92. En plus de la position dans les rapports de production, quel aspect doit-on ajouter pour définir une classe sociale au sens de Marx ? La prise de la Bastille. La prise de conscience du sens de l’existence. La prise de conscience de l’existence de traîtres à la cause. La prise de conscience des intérêts communs et la mobilisation pour les défendre. Question 93. La distinction entre classes sociales, groupes de statuts et partis politiques est due à : Ernest Renan. Emile Durkheim. Max Weber. Louis Chauvel. Question 94. Parmi cette liste, quelle est la PCS dont la part a fortement augmenté au cours de l’après-guerre ? Les ouvriers. Les agriculteurs. Les cadres et professions intellectuelles supérieures. Les professions indépendantes. Question 95. A partir de quand constate-t-on une baisse importante de la part des ouvriers dans la structure sociale ? Dans la première moitié des années 90. A la fin des années 80. Dans la seconde moitié des années 70. Dès les années 60. Question 96. Comment appelle-t-on le phénomène de la montée de la part des emplois de services dans l’emploi total ? La désindustrialisation. L’internationalisation. La terminaison. La tertiarisation. Question 97. Combien représentent aujourd’hui les emplois de services dans l’emploi total ? 50%. 25%. 75%. 95%. Question 98. En sociologie, qu’appelle-t-on la « moyennisation » de la société française ? La pertinence de la loi de la bipolarisation marxiste à long terme. L’émergence puis la montée des classes moyennes dans la structure sociale. La croissance des effectifs de la PCS Cadres et professions intellectuelles supérieures. La croissance des effectifs de la PCS ouvriers. Question 99. La fourchette de salaire net mensuel pour se situer dans les classes moyennes va environ de : 1050 euros à 1250 euros. 450 euros à 1000 euros. 4000 euros à 9000 euros. 1500 euros à 3000 euros. Question 100. Le seuil de pauvreté situé à 50% du revenu médian est calculé par : EUROSTAT. L’INSEE. Le Bureau international du travail. L’ANPE. Question 101. Au seuil de 60% du revenu médian, on compte environ en France : 2 millions de pauvres. 15 millions de pauvres. 7 millions de pauvres. 25 000 pauvres environ qui ont choisi un mode de vie en marge de la société. Question 102. La société de « l’entre- soi » et les travaux relatifs à la ségrégation sociale étudiés en cours sont dus à : Louis Chauvel. Henri Mendras. Eric Maurin. Emile Durkheim. Question 103. A propos des inégalités salariales, l’écart entre les cadres et les ouvriers va de : 1 à 3. 1 à 5. 1 à 10. 1 à 7. Question 104. A propos des inégalités de patrimoine, les écarts aujourd’hui en France vont de : 1 à 5. 1 à 1000. 1 à 25. 1 à 70. Question 105. Les classes populaires en France représentent aujourd’hui : 20% de la structure sociale. 80% de la structure sociale. 60% de la structure sociale. 10% de la structure sociale. Question 106. La distinction entre nature et culture vue en cours est due à : Claude Lévi- Strauss. Emile Durkheim. Karl Marx. Max Weber. Question 107. La règle qui fonde le lien social et la règle d’exogamie est : La prohibition de l’alcool. La prohibition de l’inceste. La recherche du bonheur privé. Le goût du lucre. Question 108. Le processus d’intériorisation des normes et des valeurs est : Le processus de dématérialisation. Le processus de sociabilité. Le processus de socialisation. Le processus d’intégration. Question 109. La famille joue un grand rôle dans la : Socialisation primaire. Socialisation secondaire. Sociabilité primaire. Société primitive. Question 110. Les valeurs sont des : Erreurs qui masque les vrais rapports sociaux de production. Mensonges. Artefacts. Idéaux. Question 111. La définition de la culture vue en cours est due à : Taylor. Tylor. Lévi-Strauss. Max Weber. Question 112. Dans sa sociologie de l’école, Pierre Bourdieu insiste surtout sur la notion de : Capital social. Capital financier. Capital économique. Capital culturel. Question 113. Les travaux de Pinçon et Pinçon- Charlot portent sur : La nouvelle classe ouvrière. La grande bourgeoisie. La classe moyenne. La noblesse d’Etat. Chapitre 5. L’organisation politique. Question 114. La science politique est la discipline qui étudie : Les relations entre l’Etat et les citoyens. Les régimes démocratiques. Les phénomènes de pouvoir et les institutions dans les sociétés. Les institutions sociales. Question 115. Le pouvoir d’injonction est un pouvoir basé sur : Seulement l’usage de la force. La contrainte. La corruption. Les relations sociales. Question 116. Quel est le sociologue qui s’est illustré par sa définition du pouvoir : Max Weber. Ernest Renan. Robert Dahl. Carl Schmitt. Question 117. Pour Max Weber, l’Etat a la particularité de : Disposer de l’autorité religieuse. Disposer de la capacité de monopoliser les forces militaires. Disposer du monopole de la contrainte physique légitime. De pouvoir contrôler les libertés publiques. Question 118. Pour Max Weber, la forme de la légitimité qui tend à s’imposer dans les sociétés : La légitimité légale- rationnelle. La légitimité traditionnelle. La légitimité charismatique. La légitimité religieuse. Question 119. L’Etat de droit est caractérisé par : Le fait que l’Etat se soumet lui-même à des règles de respect des citoyens. Une intervention minimum de l’Etat dans l’économie. Un Etat qui intervient dans le domaine social. Le fait de garantir la souveraineté du territoire. Question 120. Le fait de donner davantage de pouvoir à des institutions internationales s’appelle : Un processus de désinstitutionnalisation. Un processus de nationalisation. Un transfert de souveraineté. Un abandon de pouvoir. Question 121. Les partis qui prônent le retour à l’autonomie de la France en Europe s’appellent : Les partis extrémistes. Les partis centristes. Les partis fédéralistes. Les partis souverainistes. Question 122. Les premières lois de décentralisation en France datent de : 1986. 1982. 1995. 2002. Question 123. La France devient officiellement un Etat unitaire décentralisé en : 1958. 1974. 2003. 1998. Question 124. Les premières lois de décentralisation restent attachées au nom de : Edouard Balladur. Jean Lecanuet. Gaston Defferre. Jacques Chirac. Question 125. Le fait de nommer des représentants de l’Etat comme les préfets s’appelle : La décentralisation. La déconcentration. La délégalisation. La nationalisation. Question 126. Selon les critiques de la reconnaissance du droit des minorités, celle-ci pourrait présenter un risque de : Communisme. Communautarisme. Désocialisation. Républicanisme. Question 127. Le traité de Maastricht de 1992 crée : L’espace Schengen. La Communauté économique européenne (CEE). L’Union européenne (UE). La communauté du charbon et de l’acier (CECA). Question 128. Le traité d’Amsterdam est connu en matière économique car il instaure. La Monnaie unique. Le Pacte de stabilité et de croissance. L’OTAN. Le pouvoir de la Banque Centrale européenne. Question 129. La conception française de la nation a été définie notamment par : Max Weber. Jean Jaurès. Ernest Renan. Charles Maurras. Question 130. La conception française de la nation : Reconnaît officiellement tous les particularismes. Reconnaît un citoyen abstrait détaché de toute appartenance particulière. Reconnaît un citoyen abstrait mais n’accepte pas la pratique des cultes religieux. Reconnaît les appartenances régionales mais pas les appartenances religieuses. Question 131. La conception allemande de la Nation : Est liée aux travaux de Goethe. Reste associée aux écrits de Herder et Fichte. Rejette toute forme d’immigration. Est fondée sur le droit du sol. Question 132. Traditionnellement on distingue deux types de démocratie : La démocratie plébiscitaire et la démocratie libérale. La démocratie formelle et la démocratie réelle. La démocratie directe et la démocratie représentative. La démocratie oligarchique et la démocratie pluraliste.