Ce qu’en pensent deux élèves : MÉTHODE CHRÉTIENNE «J’ai beaucoup apprécié la méthode de zoologie. Elle est riche et vivante : on doit réfléchir, se poser des questions, faire des recherches, etc. Elle nous fait voir combien la nature est belle et parfaite.» Carline a été créée pour enseigner et faire découvrir aux élèves les richesses de la création des 5e et 6e jours. Cette méthode, bien organisée et richement documentée, suscite la soif d’apprendre et favorise la recherche personnelle. De plus, elle valorise la créativité : au terme de son étude, l’élève possédera un dossier personnalisé, réalisé de manière progressive grâce aux documents suivants : «Avec cette méthode, j’ai eu du plaisir à étudier les différents groupes d’animaux (mammifères, oiseaux, invertébrés, ...). J’ai pu voir la grande diversité des espèces, de l’éléphant au ver de terre. Les textes étaient faciles à C CARACTÉRISTIQUES 1 DES R comprendre, le travail à effectuer EP T I L ES varié.» Siméon H A PI T R E INTRODU LE SYSTÈME RESPIRATOIRE Un système efficace Le système respiratoire des oiseaux est le plus perfectionné et le plus efficace du règne animal. En plus de leurs poumons, les oiseaux sont équipés de sacs aériens qui servent à la ventilation des poumons, où s’effectuent les échanges gazeux. Il faut 2 cycles d’inspiration et d’expiration pour que l’air passe dans tout le système et en ressorte. Ensemble, les sacs aériens antérieurs et postérieurs jouent le rôle de soufflets qui maintiennent dans les poumons une circulation d’air continue. Il n’y a pas de mélange entre l’air frais et l’air résiduel et la présence de valves empêche l’air de revenir en arrière. Parce que de l’air frais circule continuellement à travers leurs poumons, les oiseaux bénéficient constamment d’oxygène et peuvent la rejeter en quantités beaucoup plus importantes que les animaux terrestres. Les sacs aériens de certaines espèces se prolongent dans les parties creuses des plus gros os, pour une meilleure ventilation. Les plumes empêchent les oiseaux de transpirer; ainsi, les sacs aériens servent également à réguler la température de leur corps. Le chant Située à la bifurcation de la trachée et des 2 bronches, la syrinx est l’organe des oiseaux qui remplace nos cordes vocales. Elle contient une membrane qui vibre sous l’effet de l’air expiré pour produire des sons. La tension musculaire et la différence de pression de l’air définissent le ton et le volume du son. Certains oiseaux sont capables de produire des chants plus complexes grâce au fait qu’ils disposent d’une membrane dans chaque bronche. Cela leur permet de produire simultanément 2 notes distinctes et harmonieuses. Chaque espèce d’oiseaux a un chant spécifique, mais certaines parviennent à rajouter à leur répertoire une imitation du chant des autres. Pourquoi le coq chante-t-il? Pour délimiter son territoire. Bien qu’il puisse aussi chanter tout au long de la journée, mais de façon moins agressive, c’est le matin au lever du jour qu’il est le plus actif! • un manuel, riche en informations et en illustrations Six sujets y sont traités : les mammifères, les oiseaux, les reptiles, les amphibiens, les poissons et les invertébrés. Bien structuré, cet ouvrage regroupe des connaissances d’ordre général et de nombreux détails passionnants. GUIDE SECTION 1 - M A MMIFERES - CH A PITR E 1 - RÈGNE ANIM AL ET CL ASSIFICATION LES VERTÉBRÉS : ANIMAUX À SQUELETTE Lis cette partie. g Ecris le titre «VOCABULAIRE» puis recopie les mots suivants avec leur définition : vertébré, invertébré et tétrapode (avec son synonyme). g Ecris le titre «EXERCICES» puis réponds (par des phrases complètes!) et applique les consignes. • • • Quelles sont les trois caractéristiques que possèdent tous les vertébrés? Cite quatre tétrapodes appartenant chacun à une classe différente de vertébrés. Trouve la référence biblique avant de compléter la phrase suivante : Le verset de . . . . . : «Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et tous les animaux de la campagne, tu marcheras sur ton ventre…» explique la raison pour laquelle les serpents n’ont pas de membres. • un guide, qui conduit pas à pas l’élève dans son étude L’élève progresse dans son apprentissage grâce à des activités multiples et variées. exoslées et un pattes articu autres arthrodes te a des Un insec différencie ntes : mais il se ités suiva quelette, te, les particular un insec podes par i est bien ailes! es; ctes : La fourm s ont des ns distin ède 6 patt s les reine ennes • il poss en 3 régio mais seule ; s se divise 1 paire d’ant • son corp thorax et l’abdomen es. la tête, le e d’antenn 2 seule pair ment 1 ou • il a 1 tes ont égale rt des insec les insectes La plupa s. Si tous ment paires d’aile nécessaire inn’ont pas tous les des ailes, eux, ailés, vertébrés papillon, (mouche, es , etc.) en 3 parti coccinelle corps divisé insectes! sont des 6 pattes RT H 1-A O ROP DES ent, . Généralem is insectes ou parfo de vie des vivent pas très longtemps ho semaines d’environ rp tes ne mois, en est mo rt des insec se mesure en d commun insecte; celle Méta La plupa vie un vie du cafar rance de érance de plus de 5 nt long pour leur espé jours. L’esp qui est relativeme et fourmis est de eurs même en vivre plusi les e, ce t de e et demi de certaines abeil es puissent cigale des Etats terre avan cigal une anné les sa vie sous que pour la partie de ans. Bien u’à 17 ans la majeure insectes ins années (jusqlarve doit passer Chez certa , le jeune Unis ), leur insecte parfait! un œuf. ent») vie dans nt son d’arg ence sa devenir un aussi «pois Il grandit simpleme re insecte commlépisme (appelé matu parents. Chaque un adulte en comme le ture de ses minia ailes, ue nt par une sans développe fois, passe est une répliq qu’il mue, et se qui éclot ectes, toute forme adulte. Cette fois à chaque e. Beaucoup d’ins jusqu’à leur iennent à maturité en taille, éclosion ger de form insectes parvincomplète. sans chan gements depuis leur les lle laque ou complète série de chantransformation par peut être se merveilleu amorphose». Elle «mét s’appelle Le cycle G re l’ord tte nt à ce U ES Q enne plus de res ces parti s anou R IS TI espè apauds apqueue». Enue, les s de des au it AC TÉ les vu té la nu , tiq de les cr «sans ctéris pour s et be r tête ue. adap arité inettes et i signifie cara es sont stérieurs trapu, leu ent fend umidité sur le glo0 m. icul qu gem t de l’h rtout adult bres po rps est 4 00 ande part illes, les raot grec en he lar u pa de de co em gr S - CHAPITRE 2 - CAR ACTÉRISTIQUE S DES M A M MIF ÈR E S LES MEMBRES g «EXERCICE» • Noms des membres : membres antérieurs (ou supérieurs) et membres postérieurs (ou inférieurs). Par exemple : le chien se déplace en marchant sur ses doigts, c’est un digitigrade. La marmotte est un plantigrade, elle marche sur la plante des pieds. Le chat est un digitigrade, il se déplase en marchant sur ses doigts. p Remarque pour en «Savoir Plus» : parmi les plantigrades, on trouve la marmotte, le blaireau, le raton-laveur, le singe et en partie l’ours. En fait, l’ours est digitigrade des pattes avants et plantigrade des pattes arrières. L’homme est également un plantigrade. Parmi les digitigrades, il y a le chien, le chat et le cochon d’Inde. Parmi les onguligrades, on trouve la vache, la chèvre, le cheval, l’éléphant. Le daman est un plantigrade avec des petits sabots. g Réponse au défi : en fait, il ne s’agit pas du genou, mais de la cheville. Chez un onguligrade, le genou est beaucoup plus haut, tout proche de la cuisse. LES POILS g «EXERCICE» • g Le pelage d’un animal a deux principales fonctions; il sert à lui tenir chaud et à le protéger de ses prédateurs. «OBSERVATIONS» • La fouine, la belette et l’hermine sont toutes trois des mustélidés avec du blanc sur le ventre. Mais la fouine est plus grande (50 cm sans la queue) et produit parfois des ravages nocturnes. La belette est la plus petite (17 cm). L’hermine (27 cm) devient blanche en hiver, sauf le bout de sa queue qui reste toujours noir! LA RÉGULATION DE LA TEMPÉRATURE g «VOCABULAIRE» • • • animal à sang chaud : animal qui régule sa température au moyen de mécanismes internes animal à sang froid : animal qui régule sa température au moyen de facteurs extérieurs (sa température varie en fonction de son environnement) hibernation* : abaissement permanent de la température pendant l’hiver chez des animaux à température constante. • un corrigé, qui facilite le travail de l’élève (pour une méthode individualisée) ou celui de l’enseignant (pour un enseignement magistral) Les informations importantes à savoir y sont indiquées de façon claire et complète. 10 Nom, prénom : ....................................................................................... Note : ....................................... Date : ........................................................................................................ Pts : ........................... / 40 pts Biologie 7e TEST n°2 : Les mammifères (2ème partie) 1. Complète le texte suivant : Quand le . . . . . . . . . . . . . . . et les muscles qui soulèvent les côtes se contractent, le volume de la cage thoracique . . . . . . . . . . . . . . . et l’air riche en . . . . . . . . . . . . . . . (de formule chimique . . . . . . . . ) entre dans les poumons : c’est l’ . . . . . . . . . . . . . . . . Quand les muscles précédents se relâchent, les poumons, comprimés sous le poids de la cage thoracique nm uc m ur souv un pe altitu plus r bo . Le e la saut ie et leu profitent ésents ’à une pr trouv aplat oures Ils sont er jusqu ’on en m an qu r. Les chasse au de la piques pour is le nive les tro us depu c’est so Mais sité. s ue er tiq div aqua unies m t être . uven et sont arbres x et pe es verte lisse boricol per au euse et ouille ar gu peau grim che Gren t une tes sont tent de peau ru la mar nt et et es on ne éfèrent tourne x ouill Les rain r perm ts d’u i eu Ils re rent er Ils pr . i leu gren aud arbo nce Les rrestres sifs qu recouv rrues ). ferme. e parm es en Crap nn hé ta tes – ou te igts ad ds sont des ve la terre occasio les adult roba e subs rte dend éter un s. de do crapau (qui po ôt sur , ce qui ps, car lées cr iliste ut appe de sé Les queuse ent pl oduire printem tomob pr au les – tation éven verru ut et vivur se re lité, au r les nin pica pu s, pa ta t les le ve ouilles tro ont la ré. au sa l’eau po de mor écraser évien phibien ur et pr es les d en am au s nn gr Su . Le dans rt taux se font s. El e du certain édicales ine. t La pe es petitesagnifiquetribus indie un fo emen m ériqu par orph in m ac d’Am crétés erches e la m r les dépl Certa uleurs ille sé ch ée pa co enou venins t de re issant qu gr des ue utilis s tte pu bje Le de ce xicité ! sont l’o is plus toxiq fo to eurs ou gren res, Les anou des M A M M I FER E ION 1 - d’u Lézard commun s, 0 ul s co rs de sa robate être 20 nd belle eu it s à Les prédat r les de pourra seule tuels rticulie ésique es les pas s gland é en paoir analg sont se. Le majorit pouv ne de la s meu pes ouille veni au de n 2 ty crétio gren au pe Ces une pe us la crètent us (sé venin. r it du chez muc avoi tes so ens sé en un peau, so comme prés amphibi soit la il, idifie ère l’œ s. es : des rp tanc hum rri subs te ) qui ées de ut le co to gluan es, plac es sur ure rti ibl te az pa ba vis ré ro re t êt Dend tes et uven discrè es pe , ou gland auds Ces ins crap certa elas com te leu roba Dend Le syst èm Com en sem paré er à l’odo ent co d’autre veux nç La rat, le u. Con s verté vue br touc des her, trairem és, le est aux eaux so un sens le go ent au cervea ût voie change uterra qui es , ains x autre u des po i qu nt pa men ines s an t pl iss s trè ts de . Les us dé e le se imau ons es ve s lo ns vi x, le ye t in. luminos ux of loppé brat s po simple fre ch isson mai oire ité. Ils n’ nt au ez les . s so s il n’ poiss ont x po nt do en es iss pas on tés t de paons un s d’ea de 6 pas m u cla upiè larg sens oins e ire res : la merve mob champ que vue, illeuchez iles, de l’ouï ceux dist visio e, ingu n ent et sont qui vive mal nt les très se dans coul ns eurs ibles et ne Si vous voulez en savoir plus, contactez : Association Alliance Pierres Vivantes Place de la Gare CH-1678 SIVIRIEZ colonne vertébral e rate os du mem bre antérieu r d'un système digestif système respiratoire système circulatoire système reproducte ur système nerveux système urinaire reptile Tous les - le cro reptiles codile ont une espèces compten respiratio t 2 pou mons, maisn aérienne, mêm Bien que e ceux la plupart presque qui des repti tous les serpents vivent dans l’eau les raison de n’en ont sa grande aient un cœur qu’un seul, . La plupart des à 3 cavi taille est tés, celui très allon constitué du crocodile gé. de 4 cavit és. en Exemple MIE La ET m PHY SIO type âcho LOGI ire E ci es d’alim du po cons t sépa entatio isson du titué ré de n. Sa est équi l’o bouc de ph pée petit uver l’esto aryn he de tu inte mac, x donn es aile re de s’ouvre dent s s st pu e tt Qua inales is da sur l’œ es sit branch sur le adapté ns phar es . boive nt aux Les dé les in soph uées ies pa à sur r un ynx. son chet te ag déch nt Le s so stins; e, tu l’arc e so Celui et ph énor rte lides les él be qu br tionn énom mém s liqui anch de fil ém de ai en i èn elle tre men e inve t, élim s prés nsi que ents nucondui ial. L’a en t in tà la qu rse se ent trè ts da les mat tritifs à l’esto rrière ns ière qu’il antit prod m s é d’ uit ch peu d’ le sang s indi s cont ac. Le urin urin geste ienn s al , ils e qu ez les M poisse mais sont fil s sont ent so iments d’om âcho ’ils élim be tré sont excr nt ab ble ire on inen s d’ea auco s par so étés di t. les u do up de au trarbés pa gérés rein uce, se vers r les dans qui l par le s. Les pa de ingè s poiss l’anu rois rent reins s. très et le ons de peu s bran mer d’ea ch u pr ies. opor - CAR Les ovaires cloaque cerveau Anatomie opodes. des arthr la classe est dille typique à d’ailes. Son corps s d’exemple plète. : la sautere uns et sert de chitine et 2 paire morphose incom typique plus comm osé à méta insectes les exosquelette comp C’est un insecte un est un des men. cts et La sauterelle s de pattes articulées, le thorax et l’abdo rs, les conta tête, voir les odeu Elle a 3 paire s distinctes : la nt à perce partie lumière qui lui serve la visé en 3 les flexib détectent s 2 antennes simples composé • La tête 3 yeux relle porte 2 yeux ses saute ses la La tête de d’air. chaque côté, les mouvements. nts et la tête, les coura couleurs de u au milie Disposés es alors que, de et les ombr les formes, les t 87 CHAP distinguen ITRE 2-A Un insecte : ET RS L ES TEU UIL AU NO ES S RE L G ES ET DIF FÉR ENCES La morph olo gie et l’an Bien que atomie la diversité des rep leur taille tiles et leur coul des reptiles soit Tous sont très gran eur, ils ont de quan plusi verte d’un des vertébrés à sang froid eurs caractéristiqu t à leur forme, fonction e couche protectri et es commun ce d’écaille à peau sèche, es. survivre première est de dure s. Grâce sans eau retenir l’hum à cette peau et recoupendant Périodiqu de longues idité du corp ement, sa , dont la mue. s, beau couc pério En mua coup peuv la des. serpents tortues, nt, les lézar he superficielle, ent , la couc il n’y a pas appelée «épiderm de véritable he extérieure se ds perdent des lambeaux retrousse e», chan mue, mais ge : c’est de peau en une une crois sance des seule pièce. Che alors que chez les z écailles liée à celle les crocodiles et oesophag les de l’animal. e intestins muscle du conduit membre estomac urinaire antérieu reins r foie moelle épinière poumons trachée m élé on panthère coeur NAT O CH 23 SECT plus famites les Les insec par la méta passent sont les liers qui complète les morphose les mouches, papillons, coléoptères (scara es les abeill puces, les nelle, etc.), bée, cocci is. et les fourm E 2 UDS te ITR APA ver AP te et CR SQUELETTE DU RENARD Les repti les sont tropicale très répa s, aux clima mais de nombreundus dans les régio ts entrent en tempérés. Là où ses espèces s’ada ns hibe l’hiver est ptent la températu rnation lorsq rude, les ue reptiles dans le sol re diminue. Dura les jours racco urcissent ou se cach nt et que ent dans la saison froide, Lézard la souc ils s’enfouiss fait, plus (Camerou ent basse est he d’un arbre, à n) l’abri la températu Ainsi, dès re du corp du gel, et mèn le retou refuge, rede r des beaux jours s de l’animal, ent une vie ralen plus lents tie. En venant actif , le repti sont ses le qui pour se nourrir et a hiberné sort petit mouvements. se repro à petit de SIM ILIT duire. son UD soleil pour temp quand celle -ci est trop érature interne chissent et, élevée, à l’ombre. ils se rafra î- Squelette du renard à découper au chapitre 2 LES IGÉ CORR ET CLA Le mot «reptile» SSI F vient du survécu latin repe jusqu’à nos jours re qui signi Scinque sentent . Les les fie aussi sphé 4 ordres principa squamates (léza «ramper». Parm i les 16 nodon, qu’on ne ux. Un autre ordrrds et serpents nombreu ), les tortu ordres de reptiles trouve que ses espè e compren ces étein es et les seuls 5 ont La caractéri d un tes, telles sur de petites crocodile stique com îles au large seul représen que les dino s en repr phologie tant, le mun édes , c’est la saures, e nous sont côtes de la Nou tuatara, appe classe de aux reptiles est lé velle-Zéla une peau connues vertébrés nde. Les grâce aux qui com sèche reco prend le fossiles. uverte le plus de Mue de libellu activité variétés. d’écailles. Qua nt à leur dit. Son hose cte gran morduquel l’inseDurant la métamorp te uelet au cours e! Cla exosq celui vorac ssifi est Groupes relles cation fois son appétit larvaire aire son des rep t plusieurs Le stade ce. Les saute est de satisf tiles changean l’espè Léza à chaque fois, principale la larve mue en mues varie selon , plète et,rds de principale incomplète petit. Le nombre hose incom ment tétra métamorp e. pattes avec pode devenu trop s 3 fois durant la griffes, queu s, à écailles, avec relle adult Exemples moin à la saute ente e fuselée, des paup muent au peu plus très différsans patte ières, geck mue en te apparaît. mble un une larve sont lambeaux s, o, camé cte ailé adul loppe et éclôt en la larve resse Certainesres, presq longs et cylindriqu léon, iguan ille» ue sourd à un ver. finale, l’inse déve es, e, orvet se ent «chen à f mue écail la s, ou souv mue en , l’œu Après stique) de une seule les, sans paupièet ressemble entpode tétra e complète vase» (mou cause souv pièce couleuvre, s, morphos x composés(mouche), «ver de elle sans dents avec une carap vipère, cobra s et d’yeu de la méta appétit : ot» ace, peau , queue , boa Dans le cas Elle est privée d’aile hanneton), «astic donne un fervent rugueuse très cour are à la , mâchoires te te lui abée et prép se tétra nnan (scar de l’adulte. » elle pode essio r tortue mari itive, à partis, pattes avec : «ver blanc croissance impr taille défin tes. appelées lé «cocon», griffes, à Sa Galápago ne, tortue des t atteint sa et aux récol et mite). abri appe peau dure s s Ayan un llon s. arbre ent (papi mue et écailleuse ages aux tétrapode série de y édifie souv , alliga s, rares grands domm la larve subit une it favorable. Elle tor, caïm , ressembla nt, an, croco endro gavial nt à des dile, En grandissa recherchant un lézards, en avec des ) ou de manymphose tuatara tion (soie . d’une sécré onnement son envir tériaux de parfois A l’opposé G FRO ID – appelée La nymphe«chrysalide» chez froid parc des mammifères e se nourrit «pupe» ou de leur corp que leur températuet des oiseaux, les repti lons – ne ralement s baisse re varie les les papil pas géné sont avec pend nécessair cons celle reste ant la nuit he ement plus et de nymp supérieur et qu’elle de leur environn idérés comme La phase des e, à celle le sang froid; la augmente ement. Il phase de immobile. températu d’un mam en résulte animaux à sang le Parce que comme une l’insecte mifère.) re du corp jour. (Notons que la temp la temp apparaît qu’un s d’un lézar doivent ératu le corps de éviter les érature de leur d peut être animal à sang froid re repos, mais en fait un miracle corps dépe températu aussi élevé n’a nte te res extrê expérime e, si ce n’est é en insec mes, trop nd de leur envi transform ronneme à la fin chaudes qui l’aura nt, les anim ou trop lé «imago») Les lézar froides. aux à sang ds adulte (appe hose. augmenter se chauffent morp froid au leur de sa méta e morphos de la méta est Dans le cas le développement sa te, commence incomplè . L’insecte éclôt en une progressif et mais un œuf à l’adulte, ns vie dans ressemble proportio larve qui et avec des on 11 des Envir sans ailes . par différentes passent de corps s d’insectes incomplète. 25 ordre morphose ins insectes une méta cas de certalibellules, les C’est le les comme les relles ou communs s, les saute éphémère termites. 49 g E PITR CTION Ca CH A d’ un el ibe llule à 4 taches Zoologie se DE BIOLOGIE EN FRANÇAIS ! Ra in UNE 63 s de pré sentatio n L’odo grâc rat et nour e aux le go su où riture, bsta ût sont nc ils loca sont se pr es ch bien m otég imiq ar parfolisés au nés. Les er des ues di qués (p is m ni êm veau récept préd ssoute lus qu at e de de e s s na s lèvr eurs du eurs ou dans chez Le sa les l’e geoi es, eau umon res. des bagoût so retrouv au. Pl chiens plus douce. atla rbillo nt pr er l’e usieur ). Le ntiq En s s in nd ns, Grâc ieurs ue pé ce de cipalem roit utilisent poisson il re e à so ntain riode vit en la bo leur s pe uche ent rent trouve n souv es de de fra eau «flai rçoive salé i, il et r» po nt son s. Aprè son lie enir ol kilom fact ètre entre e mai ur tro les od lieu s u de s’être de na if et s en prend s se re uver eurs repr re issan au ch franc un prod L’ouï de e oduc prod am ce la dans p m hissan migratiouit en tion. uit, il bass e se t de ag meu fa n le rt gé s eauxnétique s ch de l’équ es fré it sans quen utes néra ili te fro or br rr . Le eille id lem e et ces. es se ent, es de tre, son; ns du de l’o L’oreilles exte épui s torrn rie il to sé es com s’ass uche ntatio intern , su et r e es se lim de pensé ocie so r n’es n. t ég petit ite par uven t pa alem au sona le 6e t à l’o s le ent x sons pl r qu se uï l’org i pe ns co e pour us déve ane de nt rçoi de t le rôlé pa «toucheloppé s lé ch r la r ligne à dist ez le po an islaté ce». Il es ra gère le, so t rte s vi grâc bratio ns et eà Lign des e lat term change érale visib - san aux le ch inaisons ments dre de ez la ligne ondes ne plup rveu pressio d’un latéra de bass n de écai art de ses. C obst prédat le perm es fré lles, l’eau s po ette qu qu’à depu isson ligne es sons acles et eur, de et aux ence is s aux la qu l’ope s, sur t Plus vivant de se se dirigpoisson de l’e le eu rc au dé té expoisson e. El ule ju s com ieurs po ensem plac er vers s de dé . Le le ser en s sy bl tra m te e) iss un ra stè e ce par . nts, ordina une se donne ons banc e proi cter l’a me lu nsib aux ire se di le systè i de pe sont s (g e, d’ ppro de la iliau tu do ch m ro x rig év rc rb tés e e co upes iter très ep er la pr ulence ule long d’ap nerveu tion du de se de essio s, à pois- s ues rès le x d’au cham ns su dist n et Le ance cham tres an p él pplém syst ec en pm s. èm Les agné imaux trique taires, tique ou la prod du organe e rep m terr faculté uit les âle pr s de re rodu estre cteu de , su de tale ux se oduise produc r r de nt ), la fé localis xes, ce des tion d’ cond é un s ce sper un po atio peu llules matoz isson so n ex à l’a oï so tern rrière nt libér des; nt sit ués les e– de l’a ées ov à au les œuf nus. La trave aires de l’arrière s so rs nt fé plupar de l’o la fem de sa cavi elle cond t de rifi és à s po ce ur un gr té corp and l’ext isson ogén ita s no orelle érie ur du osseux l (ouv mbre . Les corp se re erture d’ovul testicu les s de prod ur es la fe uisent inaire . Che z et mel le. au moy génien de 101 rejettent l’air riche en . . . . . . . . . . . . . . . (de formule chimique . . . . . . . . ) : • un set de tests et de corrigés des tests Les notions essentielles que l’élève aura relevées dans son dossier sont évaluées de façon objective en utilisant divers niveaux taxonomiques. c’est l’ . . . . . . . . . . . . . . . . /8 2. A l’aide des mots donnés, complète le schéma suivant : accouplement, fécondation, fœtus, femelle, gestation, mâle, naissance, nouvel être, ovule, petit, spermatozoïde, testicule Remarque : Les quatre étiquettes de gauche concernent les étapes nécessaires à la transmission de la vie. Tél. : +41 (0)26 656 18 18 Fax : +41 (0)26 656 18 19 E-mail : [email protected] / 12 OGIE - TEST 1 - MA MMIFERES ZOOL - SECTION 1 1 Site Web : www.apv.org En projet : Botanique – la même méthode de biologie, mais qui traite des végétaux