15/11/2012 ÉCOLOGIE Écologie : mot forgé par Ernst Haeckel au XIXe siècle • oikos : la maison, le milieu • logos : la science 1 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Partie 1 : Introduction à l’écologie Écologie = Étude scientifique des interactions entre les organismes et leur environnement. « l’environnement » inclus : Les composants abiotiques Composants biotiques 2 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 1 15/11/2012 Les niveaux d'organisation en écologie Individu Étude du comportement et de la physiologie d'un individu face à son environnement Population Étude de la démographie, la distribution ou les rapports sociaux entre les individus de la population considérée. Communauté Étude des relations proie-prédateur, parasite-hôte Étude de l'évolution des différentes populations dans le temps. Écosystème Étude du flux d'énergie ou des cycles biogéochimiques. Biome Écosystème soumis à un climat particulier. Biosphère 3 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Écosystème Énergie lumineuse C. physiques C. biologiques Science qui étudie les organismes (leur distribution et leur abondance), les relations qu’ils ont avec leur milieu ainsi que les conséquences de toutes ces interactions. En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Chaleur 4 2 15/11/2012 Le milieu, au sens écologique du terme Le milieu est l’environnement biotique et abiotique des êtres vivants. • COMMUNAUTÉ (ou biocénose) = composante biologique (facteurs biotiques) Ex. autres individus de l'espèce (densité, rapport sociaux), prédateurs, parasites, compétiteurs, etc. • BIOTOPE = composantes physiques (facteurs abiotiques) Climat et Contexte géologique Ex. minéraux du sol, air, eau, température, lumière, pHddu sol, vent, feu, inondations, etc. En Lien: Campbell, Reece,2 éd./Biologie./chap.50 5 Système ouvert Système fermé 6 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 3 15/11/2012 Que signifie le terme interactions en écologie ? Influences réciproques entre les organismes entre eux et entre les organismes et leur milieu. (4) types d’interactions. Les gros arbres diminuent la quantité de Interaction lumière au sol disponible pour les autres directe plantes. Les excréments des animaux s'incorporent Interaction graduellement au sol avec l'aide des indirecte bactéries et contribuent ainsi à l'enrichissement du sol afin que les plantes en profitent. Interaction Un renard qui mange une grenouille. immédiate Les faucons influencent le patrimoine Interaction génétique des mulots et en conséquence leur évolution car, ils restreignent le succès7 différée de certains individus. En Lien: Campbell,reproductif Reece,2déd./Biologie./chap.50 Qu’est-ce qu’un facteur écologique ? C’est un facteur susceptible d'agir sur les organismes vivants en les éliminant, en modifiant leur densité, en les empêchant de se reproduire, etc. Les facteurs écologiques sont les facteurs biotiques et les facteurs abiotiques. Facteurs relatifs au milieu physicochimique. Température, eau, lumière, vent et sol. Facteurs relatifs aux vivants. Relations entre les individus de la même espèce (intraspécifiques) et entre individus d’espèces différentes (interspécifiques). 8 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 4 15/11/2012 Facteurs écologiques Étude de la distribution et de l’abondance des organismes. Écologie Étude des réactions d’un organisme envers les conditions physico-chimiques de son milieu 9 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Potentiel écologique 10 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 5 15/11/2012 Potentiel écologique •Un facteur limitant : tout facteur écologique qui vient à manquer ou dépasser un des seuils de l’espèce (vis-à-vis de ce facteur) •Cette limitation intervient, même si tous les autres facteurs sont favorables •Loi du minimum : si une espèce présente une amplitude étroite vis-à-vis d’un facteur, celui-ci risque fort d’être un facteur limitant pour cette espèce 11 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Le climat 12 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 6 15/11/2012 Partie 2 : Distribution et adaptations des organismes sur la planète 13 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Les facteurs abiotiques conditionnent la distribution des organismes sur la planète a) Un organisme ne survit que s'il tolère les facteurs abiotiques de son habitat Température* — Eau* — Lumière — Vent — Sol * Facteurs qui influencent le plus, la distribution des organisme b) Les facteurs abiotiques varient d’une région à l'autre (dans l’espace) et d'une saison à l'autre (dans le temps) Été versus hiver Équateur chaud et humide versus Saison des pluies Pôles froids et secs versus saison sèche En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 7 15/11/2012 c) Plus les facteurs abiotiques sont favorables, plus les organismes sont nombreux et variés. Et vice versa. En allant de l'équateur vers les pôles, la biodiversité diminue car les conditions abiotiques deviennent difficiles à supporter. Régions désertiques (comme le centre du Sahara) faible biodiversité. Extrême nord de l'Arctique et extrême sud de l'Antarctique faible biodiversité. Forêts tropicales (abondance de lumière, de chaleur et d'eau) grande biodiversité. En Lien: Campbell, Source Reece,2déd./Biologie./chap.50 d) Les organismes ont développé (3) types d'adaptations pour parer aux conditions abiotiques défavorables Adaptation morphologique Structure physique particulière telle la présence de plumes. Adaptation physiologique Processus interne comme le resserrement des vaisseaux sanguins quand il fait froid. Adaptation comportementale Action par l'organisme comme se mettre à l'abri deReece,2 la pluie.déd./Biologie./chap.50 En Lien: Campbell, 8 15/11/2012 Chaque facteur abiotique entraîne des adaptations chez les organismes qui veulent y faire face En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Principaux facteurs écologiques • Hiérarchie de type : Bottom –up • Facteurs abiotiques biotiques 18 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 9 15/11/2012 Autoécologie, Facteurs abiotiques 19 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteur abiotique climatique : L’éclairement. 20 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 10 15/11/2012 Facteur abiotique climatique : L’éclairement (2). Plantes héliophytes Plantes sciaphytes 21 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteur abiotique climatique : L’éclairement (3). 22 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 11 15/11/2012 La lumière est un important facteur de distribution des organismes aquatiques qui font de la photosynthèse car elle est rapidement absorbée dans l’eau. Chaque mètre d'eau absorbe 45% de la lumière rouge et 2% de la lumière bleue. À une certaine profondeur, il n’y a plus de lumière. Spectre des ondes lumineuses visibles Adaptations pour contrer les effets négatifs d’un manque de lumière Les algues rouges ont des pigments qui leur permettent de capter la lumière bleue, la longueur d'onde la plus pénétrante dans l'eau. On les trouve jusqu’à 265 mètres de profondeur. Allez voir quelques algues rouges d En Lien: Campbell, Reece,2 éd./Biologie./chap.50 Facteur abiotique climatique : L’éclairement (4). Activité photosynthétique Rythmes circadiens 24 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 12 15/11/2012 Facteur abiotique climatique : La température. An.poïkilothermes An.homéothermes Règle de Bergmann , Règle d’Allen 25 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteur abiotique climatique : La température (2). La température est un important facteur de distribution des organismes car elle présente de grandes fluctuations sur la planète selon la latitude et la saison. Importance de la température pour le vivant L'intervalle de température viable pour une cellule se situe entre 0˚C à 45˚C. En deçà de 0˚C, les cellules gèlent et se rompent et au-delà de 45˚C, les protéines se dénaturent. À l'intérieur de cet intervalle, les réactions chimiques cellulaires sont possibles ; elles s'accélèrent, cependant, avec l'augmentation de température et elles ralentissent s'il fait plus froid. Il existe un intervalle thermique idéal pour chaque espèce. En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 13 15/11/2012 Exemples d’adaptations pour contrer les effets négatifs d’une température inadéquate Adaptations des ectothermes Morphologique = M Comportementale = C Physiologique = P Adaptations des endotherme Peau épaisse, présence de graisse… (M) Plumes et poils (M) Lézard qui se chauffe au soleil le jour et Changer d'endroit, migrer, se serrer se cache dans son terrier la nuit. (C) Insecte qui se tient sur une patte puis sur les uns contre les autres. (C) une autre sous le chaud soleil du désert. (C) Le chien, pour se refroidir, Les iguanes marins des îles Galápagos diminuent leur débit sanguin cutané et leurs pulsations cardiaques lorsqu'ils plongent en mer (pour perdre moins de chaleur). Ils font l'inverse lorsqu'ils se chauffent au soleil. (P) La grenouille des bois ne subit pas l’effet du gel à cause d’un antigel naturel. (P) d halète, dilate ses vaisseaux sanguins cutanés et transpire. (P) Le chien, pour se réchauffer, frissonne et resserre ses vaisseaux sanguins cutanés (P) En Lien: Campbell, Reece,2 éd./Biologie./chap.50 Facteur abiotique climatique : L’eau. Dissous et distribue Essentielle à leur survie 28 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 14 15/11/2012 Facteur abiotique climatique : L’eau (2). Les êtres vivants peuvent être classés selon leurs besoins en eau. Plantes poïkilohydres Plantes homéohydres La neige 29 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteur abiotique climatique : L’eau (3). 30 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 15 15/11/2012 Facteur abiotique climatique : L’eau (4). L’eau est un important facteur de distribution des organismes parce que sa concentration est rarement la même que celle de organismes et qu’elle n’est pas toujours très disponible. La concentration de l’eau est rarement la même que celle des organismes Concentration — définition La concentration d’une solution est la quantité de soluté (substance dissoute) par unité de solvant (substance qui dissout les solutés : dans les organismes c'est l'eau). Plus la concentration du soluté augmente dans une solution, plus celle du solvant diminue. Et vice versa. Plus la concentration du soluté déd./Biologie./chap.50 diminue, plus celle du solvant augmente. En Lien: Campbell, Reece,2 Concentration en milliosmoles de chlore par litre de solution Facteur abiotique climatique :L’eau (5). Concentration moyenne des liquides biologiques des animaux en milliosmoles de chlore par litre de solution. La concentration moyenne des liquides biologiques des organismes est de 180 mosmol Cl- /L de solution. Poissons cartilagineux Invertébrés 600 marins EAU DE MER (550) (requins et raies) 500 400 300 200 100 Poissons osseux marins Poissons osseux Reptiles dulcicoles Oiseaux Invertébrés dulcicoles Amphibiens Mammifères EAU DOUCE (35) ANIMAUX MARINS ANIMAUX DULCICOLES déd./Biologie./chap.50 Inspiré de Mader, p. 489, éd. 1988 (EAU DOUCE) En Lien: Campbell, Reece,2 ANIMAUX TERRESTRES 16 15/11/2012 Qu’arrive-t-il lorsque l’organisme est plus concentré que son milieu ? Qu’arrive-t-il lorsque l’organisme est moins concentré que son milieu ? 550 milliosmoles Cl-/l 35 milliosmoles Cl-/l Perd ses solutés, surtout du NaCl Gagne des solutés, surtout du NaCl 180 Perd son eau Se gonfle d'eau . Ainsi, nos globules rouges gonfleraient et éclateraient. 180 Ainsi, nos globules rouges se ratatineraient. Ces mouvements du soluté et du solvant tendent à rétablir l'équilibre entre les concentrations (pour chaque situation) mais feraient mourir l'organisme s'il n’y avait pas d’adaptation compensatoire. Voici quelques adaptations ! En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Cas des invertébrés marins et des agnathes De même concentration que l'eau de mer «isotonique» Lamproie 554 Na+, 532 Cl-, 6.8 K+, 3 urée Total = 1002 mosm / l Eau de mer 460 Na+, 540 Cl-, 10 K+ Total = 1000 mosm / l Une lamproie (agnathe) Pas de déséquilibre hydrique déd./Biologie./chap.50 Les compartiments des métazoaires, voir le tableau 1.2, lampetra En Lien: Campbell, Reece,2 17 15/11/2012 Cas du poisson osseux marin Moins concentré que l’eau de mer «hypotonique» Eau de mer Déséquilibres 460 Na+, 540 Cl-, 10 K+ Total = 1000 mosm / l Capte du sel Perd son eau Poisson marin 180 Na+, 160 Cl-, 4 K+ Total = 337 mosm / l Adaptations Peu d’urine Boit beaucoup Rejette le sel dans l’environnement par les branchies très concentrée déd./Biologie./chap.50 Les compartiments des métazoaires, voir le tableau 1.2, En Lien: Campbell, Reece,2 li hth Cas du poisson osseux dulcicole (eau douce) Plus concentré que l’eau douce «hypertonique» Eau douce (moyenne des rivières d’Amérique du Nord) Déséquilibres Perd son sel Capte de l’eau 0.39 Na+, 0.23 Cl-, 0.004 K+ Total = < 5 mosm / l Poisson d’eau douce 142 Na+, 107 Cl-, 2 K+ Adaptations Total = 293 mosm / l Ne boit pas Capte le sel de son environnement par les branchies Abondante urine très diluée déd./Biologie./chap.50 Les compartiments des métazoaires, voir le tableau 1.2, carassius En Lien: Campbell, Reece,2 18 15/11/2012 Cas des poissons cartilagineux (requins et raies) L’accumulation d’urée dans leurs tissus (sans être intoxiqués) les rend plus concentrés que l'eau de mer, donc hypertoniques. Par contre leur concentration en NaCl est moins élevée que celle de l’eau de mer. Capte de l’eau Capte du sel Déséquilibres Eau de mer 460 Na+, 540 Cl-, 10 K+ Total = 1000 mosm / l Adaptations Requin 263 Na+, 249 Cl-, 4.3 K+, 357 urée Total = 1007 mosm / l Ne boit pas Beaucoup beaucoup d’urine très diluée. Rejet de sel par la glande rectale. déd./Biologie./chap.50 Les compartiments des métazoaires, voir le tableau 1.2, Squalus En Lien: Campbell, Reece,2 Cas des mammifères marins Cas des oiseaux marins Glandes nasales Narines Campbell (3eéd.) — Figure 44.7 : 1008 Mammifères marins Moins concentrés que l’eau de mer Oiseaux marins Moins concentrés que l’eau de mer = hypotoniques = hypotoniques Déséquilibres Déséquilibres Se déshydratent et gagnent du sel Se déshydratent et gagnent du sel Adaptations Adaptations 1. Boivent de l'eau de mer. 1. Boivent de l'eau de mer. 2. Concentrent fortement leur urine. 2. Excrètent l’excès de sel par leurs glandes nasales. En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 19 15/11/2012 L’eau n’est pas toujours très disponible Face à la rareté de l’eau il faut des adaptations qui permettent de maximiser son utilisation et de minimiser ses pertes. Cas du rat-kangourou (vit dans le désert) 1. Ses anses de Henlé sont très longues de sorte qu’il perd très peu d’eau dans son urine. 2. Son métabolisme lui fournit presque tous ses besoins en eau. Rat Apport d’eau par jour Perte d’eau par jour Humain Boissons 0% Boissons 60% Aliments 10% Aliments 30% Eau métabolique 90% Eau métabolique 10% Vaporisation 73% Vaporisation 36% Urine 23% Urine 60% Un néphron (une unité du rein) Sang Anse de Henlé déd./Biologie./chap.50 En Lien:Fèces Campbell, Reece,2Fèces 4% 4% Facteur abiotique climatique : le vent 40 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 20 15/11/2012 Le vent est un facteur mineur de distribution des organismes sauf s'il est intense et régulier. Effets négatifs du vent sur les organismes 1. Le vent refroidit les organismes. Le vent accentue les effets de la température froide car il accroît la perte de chaleur par vaporisation. 2. Le vent assèche les organismes. Le vent accentue les effets d'un manque d'eau car il accroît les pertes d'eau en augmentant la transpiration. Adaptations des arbres pour contrer le vent Les bourgeons situés au vent se développent moins bien et les branches cassent. Les bourgeons situés sous le vent sont mieux protégés et se développent mieux. La dissymétrie observée n'est donc pas un mouvement dû au vent comme celui d'un drapeau mais une dissymétrie du développement. En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Campbell (3eéd.) — Figure 50.9 : 1181 Facteurs abiotiques climatiques : Ccl. Précipitations Et température Échelle macroscopique 4 zones éco climatiques Échelle plus grande régions du globe avec des écosystèmes comparables. 42 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 21 15/11/2012 Facteurs abiotiques non climatiques : conditions topographiques En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteurs abiotiques non climatiques : si milieu aquatique En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 22 15/11/2012 Facteurs abiotiques non climatiques : si dans le sol En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Le sol est un facteur abiotique qui influence la distribution des végétaux et par conséquent, celle des animaux via la chaîne alimentaire. Importance du sol • Le sol fournit l'eau et les sels minéraux (phosphates, nitrates…) nécessaires à la photosynthèse des végétaux. • La structure physique du sol (argile, sable ...) et son pH déterminent le type de végétal qui s’installe. • La nature du sol conditionne les types d'organismes qui peuvent s'y fixer ou s'y enfouir. SOL CALCAIR Adaptations Un sol sableux sera habité d’animaux fouisseurs comme les pétoncles. Un sol rocheux sera recouvert déd./Biologie./chap.50 capables deReece,2 se cramponner. End’algues Lien: Campbell, SOL LOURD ET ARGILEUX 23 15/11/2012 Facteurs abiotiques non climatiques : En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteurs abiotiques tolérance • De la tolérance à l’adaptation 48 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 24 15/11/2012 Facteurs abiotiques déplacements • Migrations • Exodes • Émigrations 49 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 Facteurs biotiques Parmi les facteurs biotiques, on distingue • Les relations homotypiques et • Les relations hétérotypiques • les relations entre espèces (parasitisme, compétition,…) et • Les facteurs anthropiques. 50 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.50 25