Telechargé par Mohamed Aymene Merad

NEISSERIA

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Gonoccoque
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les formes généralisées, plus fréquentes chez la femme.
bactérie est très fragile, n'est pathogène que pour l'espèce humaine
La reconnaissance d'une infection gonococcique impose une enquête épidémiologique à la recherche des
partenaires contaminants ou contaminés pour les traiter efficacement et éviter le risque de dissémination.
On peut également révéler les antigènes gonococciques par co-agglutination ou technique
immunoenzymatique.
L’infection à chlamydia est le plus souvent associée à une infection à gonocoque.
Les infections cutanées du gonocoque sont des purpura.
méningocoque
 apparaissant parfois capsulés et en situation intraleucocytaire dans le liquide céphalo-rachidien purulent.
 Elle peut se cultivée sur milieu ordinaire.
 une bactérie fragile, craignant le froid, les variations de pH, la dessication. Il ne survit que très peu de
temps dans le milieu extérieur.
 Lactose(-) (ce dernier caractère le différencie de Neisseria lactamica, commensal souvent confondu avec
Neisseria méningitidis)
 Facteurs de virulence : Le méningocoque ne produit pas d'exotoxines mais possède une endotoxine à
structure lipopolysaccharidique. Les souches pathogènes possèdent des pili facilitant leur adhésion et
produisent des IgA protéases.
 "purpura fulminans" de Henoch ou syndrome de Waterhouse-Frederichson, est caractérisée par une
infection méningée et septicémique accompagnée de purpura hémorragique et de collapsus.
 C'est dans les tranches d'âge où les taux d'anticorps circulants sont les plus faibles que la maladie est la plus
fréquente (6 à 24 mois)
 L'immunisation naturelle se produirait par la colonisation du rhino-pharynx par des méningocoques ou par
des commensales proches telle que Neisseria lactamica.
 La fixation est facilitée par l'IgA protéase
 rares souches produisent une pénicillinase (des souches de sensibilité diminuée aux bêtalactamines)
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